Découvert à l'instant.
J'aime beaucoup.
www.paolosebastian.com.
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Chers amis.
En cette semaine de fêtes de kippour et d'Aïd el Kebir, notre agenda sera un peu allégé.
Les inscriptions pour notre soirée Elégance/Hard pour les couples sont closes, je démarre celles pour les hommes seuls à partir de ce lundi.
Bonne semaine à toutes et tous et vous souhaite de bons jeux.
Z.
Mardi 22 Septembre
18h
Paris 17eme
Sms : COMPLET
Aude, soumise aura un scénario très spécial.
Vendredi 25 Septembre
21h30
Paris
Sms : COMPLET
Samedi 26 Septembre
22h
Une soirée dans un Manoir. THE Manoir.
15 couples
15 hommes
Un dîner debout, un pianiste, une fourrure jetée au coin du feu (mais il n'y aura pas de feu), des jeux, des discussions. Des hommes sur leur 31.
Si cela vous interpelle.. contactez moi par sms au 06.58.29.97.49
Messieurs, vous pouvez dorénavant vous inscrire. Attention, il n'y a que peu de places.
Cet événement, malheureusement, n'est pas éligible à la carte Z'illimitée.
La nouvelle édition vient de sortir.
Vous pourrez la trouver via le site de la Musardine (cliquez sur la photo ci-dessous).
Bonne lecture.
Z.
Un tour d’horizon de la sexualité et de ce que lui réserve la
loi.
Les mœurs ont évolué, la France a réformé son droit, mais les prétoires
retentissent encore régulièrement d’anodines provocations entre époux comme des perversions les plus incroyables. On trouvera dans cet ouvrage les réponses à de multiples questions : quelle peine
encourt-on à harceler sa secrétaire ? À quels tracas s’exposent les couples sadomasochistes ? Que risque-t-on pour un viol de cadavre ? etc. Quelques affaires retentissantes et beaucoup
d’anecdotes illustrent des situations parfois sordides mais bien souvent rocambolesques. De sa plume ironique, Emmanuel Pierrat recense les rapports ambigus qu’entretiennent encore le sexe et la
loi dans une enquête remise au goût du jour : le mariage pour tous a été autorisé, les clients de prostitués peuvent désormais être poursuivis, le débat sur la sexualité criminelle ou délictueuse
s’est accru et le Conseil constitutionnel en viendrait presque à autoriser le harcèlement sexuel.
Emmanuel Pierrat est avocat au barreau de Paris, ancien membre du
Conseil de l’Ordre et membre du Conseil National des Barreaux. Essayiste et romancier, il est notamment l’auteur de nombreux ouvrages sur la censure, le droit de la culture et la sexualité,
Emmanuel Pierrat est également un grand collectionneur de livres érotiques.
Quatrième édition revue et corrigée
Kidnappée à Montmartre
Cette semaine-là, P. suit une formation professionnelle sur Paris. Loin de son amoureux, son envie est vorace. Elle dévorerait littéralement le moindre mâle assez audacieux ou courageux pour lui déballer sa queue dressée. Car pour satisfaire notre pulpeuse libertine, le mot clé est « beaucoup ». Beaucoup de charme, beaucoup d’originalité, beaucoup de surprise, beaucoup de bites. Et cela, l’ami Z. le sait fort bien. C’est pour cela qu’il a organisé cette jolie surprise pour notre coquine affamée, en cette belle soirée de juin. Surprise à laquelle j’ai eu la chance et la joie de participer.
Le piège est posé. La complicité du mari joue en notre faveur. Rendez-vous est pris dans un lieu très fréquenté : place des Abbesses, dans le quartier de Montmartre. Notre van, loué pour l’occasion – Z. ne compte pas à la dépense pour satisfaire ses amis -, attend bien sagement, garé sur le bord du trottoir, face à l’église. Nous nous tenons prêts à agir, animés par un mélange subtil d’excitation et d’impatience, ne sachant guère trop comment anticiper la suite des évènements. Nous, c’est J., un complice de confiance à l’imagination et la perversité débordantes, E., venu pour filmer la scène afin de permettre à la dame de conserver un souvenir de ce plan mémorable, et moi-même, votre narrateur préféré. Z. se tient, lui, à deux pas de là, devant l’église, servant d’appât pour notre coquine, qui est sensée le rejoindre pour boire un verre. Tous, nous gardons un œil attentif sur la sortie du métro, d’où devrait émerger notre cible prochainement. Nos mains sont moites, les cagoules autour de notre tête, prêtes à être déroulées sur nos visages en quelques secondes, nous font suer. La caméra paraît, elle aussi, prête à l’action. Son propriétaire transpire déjà.
L’attente devient cruelle. La belle prend son temps. Ce qui accroit considérablement notre envie d’elle, en fait. « En sept secondes, c’est bouclé », précise J., pourtant aussi novice que moi en la matière. Je me demande bien comment il visualise la scène dans sa tête pour se permettre pareille certitude. « Merde, la voilà ! », lance-t-il soudain en tournant la tête. P. déboule donc bien sur la place, mais par le mauvais côté ! « Elle a dû passer par son hôtel », précise Z., « planquez-vous, je vais l’attirer sur le trottoir ». Un bref coup de fil plus tard, et voilà notre jolie salope, vêtue d’un ensemble printanier noir et blanc, embrassant innocemment son ami pour le saluer. « On y va », j’entends. Donc, on y va.
La scène ne dure, en effet, qu’une poignée de secondes. Premier arrivé, je me glisse souplement derrière les deux amis en me penchant pour attraper les jambes de notre victime. Un mouvement de jupe protestataire me gratifie d’une vision furtive de sa chatte, nue, dans tous les sens du terme. J. l’attrape par le buste, l’enserrant entre ses deux bras. Elle crie. Nous la soulevons. Elle rit. « Mais qu’est-ce que c’est ? Non ! Qu’est-ce que vous faites ?! » Elle hurle. La porte latérale du van s’ouvre. Nous la jetons sur le matelas posé à l’intérieur. Nous montons à sa suite. La porte claque. Dans la cabine du conducteur, isolée de notre coin câlin improvisé, Z. démarre et notre baisomobile se met en route.
Maintenue, tant bien que mal, allongée sur le matelas, P. oscille entre le rire et le fantasme. Alors que nous nous efforçons à lui lier les poignets et les chevilles – car la garce se débat comme la diablesse qu’elle est – elle nous insulte, de plus en plus sincèrement, comme si le rôle de la victime prenait corps en elle. Comme si elle réalisait, petit à petit, qu’elle était vraiment à notre merci. Je suis en charge des jambes, qu’elle balance en espérant des coups. « Laisse-toi faire, salope, de toute façon, tu vas y passer ». Vite, nous parvenons à la maintenir sur le ventre, et à lui attacher les mains dans le dos. Nous échangeons nos places, et j’entreprends de lui maintenir la tête et le buste. J. soulève sa jupe sans ménagement et commence à lui tâter le cul, une croupe ronde et gourmande que la chienne sert aussi fort que les cuisses pour ne pas se laisser faire. Il la fesse, prenant sa voix la plus reptilienne et perverse possible :
« Alors, comme ça, on veut pas se laisser faire ? Pourtant, on est bien excitée, là, petite salope.
-Non, laissez-moi. Je vous en prie.
-Ta gueule et écarte », ma voix se fait volontairement plus caverneuse, pour contraster avec celle de mon complice.
Ce dernier parvient à bien lui écarter les jambes, ouvrant ainsi sa croupe sous le projo de la caméra, faisant bailler sa raie pour nous dévoiler sa fente rose et humide et son anus, bien dilaté, qui se contracte par intermittence. Toujours en bloquant fermement ses jambes, il se met à la doigter vigoureusement, s’immisçant brusquement dans sa cramouille ruisselante et son anneau ouvert. P. gémit, hurle, insulte, tente plus que jamais de s’échapper de nos prises, le tout ponctué de « Oui, c’est bon » et de « Prends-moi, oui » encourageant. Elle penche la tête pour gober mes doigts qui lui tiennent la tête. « Comme ça, te faire ouvrir la chatte et le cul te suffit pas, il t’en faut dans la bouche aussi ?
-Non, je ne veux … hum… oui… non… non !
-Tiens, tu vas en bouffer de la bite, si c’est ce que tu veux, putain ! »
Je déballe ma queue, dure et gorgée, et n’ai même pas le temps de l’approcher de sa bouche qu’elle l’avale déjà pour de bon. Elle me pompe, m’aspire vigoureusement. Comme si elle voulait déjà que j’inonde sa gueule de foutre. Ce faisant, elle me lance des regards de chatte, comme pour me mettre au défi.
E. et son œil électronique n’en loupent pas une. La torche promène sa lumière blanche et crue sur toute la scène, ajoutant à l’ambiance déjà nue et perverse. J. broute la garce avec faim, tout en la doigtant. Celle-ci m’avale jusqu’à la glotte en pompant dur. Pourtant, tout est un combat. Entre elle qui se tend, frétille, tape et se démène, la chaleur étouffante de la cabine, sans ventilation, et l’embardée du véhicule qui brusquement cahote, bondit, freine ou repart en trombe, nous suons abondamment et essuyons tant bien que mal le moindre choc contre la carlingue. J. retourne la belle, lui maintenant les jambes écartées. J’en profite pour me pencher enfin sur sa fente, gonflée, écartelée et suintante. E. s’amuse aussi à la tripoter, le sein, la fesse… Je commence à astiquer sa chatte vaillamment. Elle se tord et gémit. « Non, s’il vous plaît », mais ses yeux et son sexe hurlent le contraire.
J’enfile une capote et me place entre ses cuisses maintenues tant bien que mal par mes acolytes. Puis je rentre en elle, d’un coup, d’un seul. Elle hurle et miaule d’aise. Je la lime sans ménagement, tentant tant bien que mal de tenir ses jambes et d’esquiver les coups de genoux. Plus je la laboure, la fourre comme un sac, plus elle aboie son plaisir, plus elle se débat. Soudain, par je ne sais quel coup du sort, la voilà libre. Le corps-à-corps est encore plus physique. Une lutte s’engage. Se battre, s’y accrocher, accompagner le moindre de ses mouvements pour continuer à la baiser. Toutes les positions y passent. La voilà qui pompe l’un de mes camarades pendant que je la fourre à quatre pattes. La voilà qui me branle pendant que je la maintiens sur le dos afin de permettre à un autre de la culbuter. Le tout dans un chaos de corps, de cris, d’injures, de sexes et de foutre.
Mais voilà que le van s’arrête, enfin. Z. descend, ouvre la portière pour laisser un grand courant d’air frais et salvateur emplir la cabine et rafraîchir nos corps endoloris. Nous nous allongeons, rions.
« Alors, ma belle, c’était bien, ton premier viol ?
-Espèce de salaud ! – elle le frappe - C’était super ! ». Elle accepte sa main, galante, qui l’aide à descendre du véhicule. Elle réajuste sa robe et paraît flotter, encore saoulée par la jouissance.
« Et bien ce n’était que l’apéritif, attends de voir ce qui t’attend au donjon, là, en bas… »
Le reste de la soirée se révèlera tout aussi bouillonnant pour notre belle chienne. Dix hommes rien que pour elle, dans une gang-bang des plus brûlants. Baisée par tous les trous, elle n’aura qu’une seule idée en tête : nous faire tous jouir dans sa bouche. Et elle y parviendra ! Plusieurs heures et autant de bonnes gorgées de sperme plus tard, après avoir essuyé et vidé le moindre mâle présent, elle rentrera à son hôtel tôt dans la matinée, fourbue mais ravie. Seulement, connaissant l’animal, je doute fortement qu’elle sera, alors, rassasiée…
Certes, nous l’avons kidnappée, attachée, palpée, malmenée, tournée, retournée, passée de main en main, de bite en bite, fourrée, limée, bourrée, engorgée… Mais j’en suis encore à me demander qui, dans cette affaire, était réellement une victime ?
A vous faire aimer la grisaille et la pluie et des stan smith ruinées lorsqu'on marche main dans la main avec sa chérie en une fin de journée pluvieuse dans le quartier de l'Arsenale à Venise..
Reste 2 places
Vendredi 18 Septembre
12h30
Paris 1er.
Sms : 06.58.29.97.49
Nous recevrons Nathalie, jolie brune, fougueuse (et bronzée) pour un après-midi hardissime.
Nath souhaite assouvir toutes ses envies pour une rentrée vraiment hard.
Ce gang bang est ouvert à tout le monde.
A tout de suite.
Z.
Photo Internet
Comme le dit l'adage : "Les absents ont toujours torts".
Merci à tous les participants, merci à la belle.
Sublime soirée.
Gang bangs hards dans un restaurant parisien
Diner
Exhib derrière l'ambassade de Russie
Un dernier verre au Concorde Lafayette.
Des rires qui fusent, des discussions mélangeant aussi bien libertinage que religion, aussi bien Venise que Bombay, aussi bien nourriture casher que comparaison de foie gras.
On s'est connus libertins, on s'est quittés amis.
Vivement l'Italie, belle Vanessa, vivement l'Italie.
Z.
ps : à la question : "Veux tu que je floutte ton visage ?", la réponse fût : "Non, je suis une salope qui assume".
Dont acte.
Mercredi 16 Septembre
Paris 1er
18h30
Sms (et seulement sms svp) : 06.58.29.97.49
Chers amis,
Un gang bang et bukkake inratable viennent de m'être commandés par un couple que je connais depuis quelques années déjà. Leur organisateur ne donnant plus de réponse d'une part et eux venant de province d'autre part et enfin (surtout) que c'est l'anniversaire de la miss font que je sors de cette semaine sans événement pour reprendre du service :)
Hommes européens seulement.
Mademoiselle, la belle trentaine, RAFFOLANT des jeux de sperme souhaite avoir le max d'éjacs à boire (oui, oui, z'avez bien lu).
Elle belle brune à lunettes, jeune, souriante et prenant de plus en plus confiance goût à ces pervers jeux.
Photo Internet.
Chers amis, je vous invite à me recontacter pour la soirée de Samedi, l'adresse à changé. Indépendant de ma volonté :)
Samedi 12 Septembre
21h30
Paris 1er
Sms : 06.58.29.97.49
Nous organisons une soirée d'anniversaire pour Gaëlle.
Une limousine ira la récupérer chez elle. 3 beaux hommes seront présents afin de lui tenir compagnie durant le trajet l'amenant à notre soirée où d'autres couples et hommes seront présents pour lui souhaiter un anniversaire très particulier.
Là aussi messieurs, une certaine prestance vous sera démandée. Merci de jouer le jeu :)
Vendredi 11 Septembre
11h30
Paris Xeme
Sms : 06.58.29.97.49
3 hommes là aussi, quadra, VICIEUX pour Miss M. accompagnée de son mentor.
Jeux hards, vicieux pour cette fin de matinée lumineusement perverse.
Je n'ai pas de photos de Miss M. (son officiel n'étant pas au courant de ses escapades).
Elle est juste belle. Dans tous les sens du terme.
La photo Internet est à l'image de son univers :
Vendredi 11 Septembre
21h30
Paris Xeme
Sms : 06.58.29.97.49
Nous organisons en l'honneur de Biche, superbe eurasienne une soirée avec 4/5 couples et une quinzaine d'hommes.
Messieurs (maris y compris), nous vous demanderons une belle tenue de ville. No Jeans, No baskets, ainsi qu'une belle bouteille de champagne.
Je m'occuperai du buffet :)
Photo Internet :
Je vous invite à cliquer ci-dessous et écouter.

maricomplice001
par Z.
Samedi 12 Septembre
20h30
Trajet : Ablon sur Seine (94) - Paris*
Sms : 06.58.29.97.49
* La limousine pourra vous prendre au vol durant le trajet aller vers la porte de Bercy si vous le souhaitez.
Une limousine passera chercher Miss G. en bas de chez elle.
Dans cette limousine 2 hommes.
Costume, cravate, champagne et virilité débordant de leur pantalon (là, vous devez avoir une image bien sympathique de vous :).
Le but du jeu est pour Miss G. d'avoir une compagnie hard, aventureuse et un poil luxueuse durant cette soirée.
Hommes minces et bien montés si possible. En tous cas endurants.
Photo Réelle :
Dans le style porno-chic.. C'est une référence !!
Un vrai coup de coeur.
Son site est visible en cliquant sur la première photo ou ici : en.alisaverner.com/about/
Bonne visite.
Z.
Le site www.gangbangshards.com est la propriété de La société Z MACHINE, SAS immatriculée au R.C.S. de Paris sous le numéro 517 862 538, dont le siège social est situé 73-75 rue de la plaine, 75020 Paris.
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