Samedi 15 juin 6 15 /06 /Juin 12:18

IL reste 3 places pour hommes seuls ce soir.

M'appeler directement au 06.58.29.97.49

Merci

Z.

 

Samedi 15 Juin

22h30

Paris

Samedi soir, nous recevrons la belle Satie... Qui raffole des coins sombres, des mots crus et des insultes pendant qu'elle se fait prendre.

 

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Nous recevrons aussi Miss C.

Blonde, jeune, gourmande et folle de sperme. J'adore ce couple personnellement. Toujours de bonne humeur, toujours bienveillant envers moi.

2011-10-01 - Zoheir - 0057 DxO

JFTC-Bukkake-Slut 0482

Céline sera parmi nous pour déchirer nos chemises (c'est pas des conneries, prenez une chemise que vous n'aimez pas...) et accessoirement fêter son anniversaire. Un gâteau sera à partager ce soir là

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Et enfin la belle Alexandra qui raffole des jeux de sperme, je ne vous en dis pas plus.

net1

SEXY

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Publié dans : Soirées - Par Z.
Vendredi 14 juin 5 14 /06 /Juin 15:26

Excellente nouvelle que je viens d'apprendre à l'instant.

Nos amis de Bordeaux se lancent enfin dans l'organisation de pluralités sur mesure.

C'est tout nouveau, n'hésitez pas à les contacter de notre part.

David se fera une joie de vous renseigner.

Notre façon de faire fait des émules et j'en suis particulièrement très fier (c'était pas gagné à nos débuts).

Cliquez vite sur le lien ci-dessous.

De passage ou vivant en Aquitaine, une nouvelle référence est née.

Félicitations pour la naissance de ce beau projet, bon vent et tenez bon; le plus excitant ne fait que commencer.

Amis organisateurs, faites leur de la pub (c'est toujours moi qui m'y colle :)

 

WWW.LUXURE33.NET

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Publié dans : Ces personnes qui... - Par Z.
Vendredi 14 juin 5 14 /06 /Juin 10:41

Anne-Claire, inspectrice de chantier




Voici la suite du récit « Anne-Claire et les éboueurs » en espérant qu’elle rencontre le même succès auprès de celles et ceux qui ont apprécié la première histoire. Si vous n’aimez pas, n’hésitez pas à me contacter pour me critiquer vertement. J’invite ceux qui apprécieront à échanger avec moi ces rêves communs qui nous font frémir. BCBG.



Anne-Claire essaie d’oublier cette « aventure » pendant les trois jours suivants, mais en vain. Elle prend la précaution de ne rien changer à ses habitudes de vie et veille à ce que son mari et ses enfants ne décèlent rien du mal qui la ronge. En effet, elle ne peut s’empêcher d’attendre chaque matin et d’observer discrètement par la fenêtre de la cuisine les éboueurs qui procèdent à leur besogne.


Elle a l’impression de ne pas être une mais deux femmes. Il y a l’Anne-Claire, pétrie de principes issus de son éducation et de son milieu, tandis qu’une autre femme, son double, meurt d’envie de goûter de nouveau à ce plaisir méconnu il y a peu de temps encore.


Le troisième jour, peu après le départ de son mari, elle guette les employés de la ville, le cœur battant et la gorge sèche. Elle sait déjà quelle est l’Anne-Claire qui a gagné. Au son du bruit du moteur du camion se faisant de plus en plus net, elle se lève et se dirige vers la porte d’entrée qu’elle ouvre. Elle regarde le véhicule se garer et les hommes en descendre pour commencer leur travail. Elle observe et avance pour les rejoindre, comme téléguidée.


Franck, le chef d’équipe, est le premier à la voir et se fige, une lueur d’inquiétude dans les yeux. Les autres ne s’aperçoivent de la présence de la jeune femme qu’au dernier moment et sursautent.


  • — Bonjour !
  • — Bonjour Madame, répondent en chœur les éboueurs visiblement inquiets.


Anne-Claire se tient face à eux, les bras croisés et leur sourit timidement, gênée. Elle se rapproche de Manuel et se plante devant lui. L’homme la scrute rapidement mais sans oublier une seule partie de son corps.


  • — Je voulais tout d’abord m’excuser pour la dernière fois. J’ai été un peu loin dans mes propos.
  • — Ce n’est pas grave !
  • — J’ai réfléchi à votre proposition de la dernière fois et… Heu, comment dire, j’en ai très envie !


Anne-Claire a prononcé ces dernières paroles d’une voix cassée, presque en sanglotant et en détournant son regard. Manuel la regarde un moment, pétrifié.


  • — Heu… vous êtes sûre Madame ? dit-il d’une voix douce et sur un ton semblant essayer de faire entendre raison à la mère de famille.


Les autres individus se regardent sans trop parvenir à croire ce qui vient de tomber dans leurs oreilles.


  • — Oui, je ne pense qu’à cela depuis la dernière fois ! Je veux aller voir ces hommes, je le veux, oui !


La voix de petite fille est presque inaudible. Anne-Claire regarde les éboueurs d’un mouvement circulaire de la tête puis, la respiration sifflante, ferme légèrement les yeux et se cambre sensiblement. La proximité de ces hommes décontenancés dont elle peut percevoir les souffles et qui la considèrent avec un mélange d’intérêt et de crainte l’enveloppe d’une chaleur qu’elle ne parvient pas à repousser.


Elle est à quelques centimètres d’eux, toute proche. Un silence règne, lourd d’une ambiance dérangeante.


  • — Bon et bien, puisque c’est ce que vous voulez, lance Manuel, dépité. Il y a un chantier à la sortie de la ville dans la direction du périphérique Nord. C’est un magasin en construction. Vous ne pouvez pas le louper, il faut prendre la sortie de la ZAC, c’est au bout de la zone. Mon frère est contremaître. Je vais le prévenir. Allez-y dans l’après-midi, la plupart des ouvriers seront absents car certains matériaux sont en commande. Il restera une équipe pour les travaux courants. Cela devrait, comment dire, heu… suffire.


Manuel a lâché cette phrase d’un seul trait, presque embarrassé. Anne-Claire est morte de honte, n’osant plus adresser un regard aux éboueurs.


  • — Bon ça va comme çà ! Retournez chez vous Madame, laissez-nous faire notre boulot.


Le chef d’équipe, de peur que la situation ne se dégrade préfère reprendre la situation en main. Anne-Claire, apeurée, tourne les talons pour rejoindre sa maison.


C’est assise dans le salon, la tête entre les mains, qu’elle tente de reprendre ses esprits et de se raisonner. Mais c’est en vain. La boule de feu autour de laquelle ses entrailles se sont enroulées n’a pas l’intention de s’éteindre, du moins pas avant de s’être rendue dans cet endroit qui commence à l’obséder.


Il est environ dix heures lorsqu’elle démarre sa GOLF pour rejoindre le périphérique. Les battements de son cœur se font de plus en plus puissants lorsqu’elle aperçoit quelques minutes après le panneau de sortie indiquant la zone commerciale en question. Peu après la sortie, elle se retrouve sur un rond point et localise rapidement la sortie qu’elle doit prendre pour rejoindre le chantier. C’est le seul axe qui se dirige vers un terrain vague assez vaste. Après avoir parcouru deux cents mètres environ, la route goudronnée fait place à un chemin de terre au bout duquel la jeune femme voit les grilles du chantier se dessiner.


Le souffle court, Anne-Claire décide de laisser sa voiture sur le bas-côté et de terminer le reste du chemin à pied. L’endroit est désolé et désertique. Ses jambes flageolent légèrement lorsqu’elle arrive à proximité du chantier. Elle décide de ne pas trop s’approcher et profite de la présence d’un monticule de terre pour se dissimuler discrètement et observer l’endroit en question.


La zone de construction est entourée d’un grillage percé d’une porte métallique. Un panneau réglementaire est accroché au-dessus et indique en épaisses lettres rouges que le chantier est interdit au public. Un autre est fixé juste à côté et énumère les entreprises prenant part à la construction du complexe.


Le chantier fait l’objet d’une animation intense. Des engins de terrassement et des pelleteuses, dégageant une puissance mécanique imposante circulent en soulevant des nuages de poussières, des véhicules utilitaires vont et viennent en klaxonnant, des ouvriers s’activent sur leur outil et d’autres transportent toutes sortes de matériaux. Un vacarme assourdissant accompagne toute cette activité. Les fondations du bâtiment sont terminées et les premiers murs semblent sortir de terre.


Anne-Claire est impressionnée par cette ambiance, voire même effrayée. Une femme comme elle n’a normalement rien à faire ici. Son cœur résonne dans sa poitrine. Elle se concentre sur les ouvriers occupés à leur tâche et sent peu à peu un engourdissement prendre possession de son bas-ventre.


Bien que relativement éloignée, elle peut néanmoins observer deux manœuvres dont les postes de travail se trouvent à quelques mètres au-delà du grillage de l’enceinte. Le premier, de taille moyenne, a les jambes légèrement arquées et courbées sur un marteau piqueur dont les soubresauts font trembler son corps sur un rythme sec et régulier. Il est coiffé d’un casque de protection blanc, porte un chandail de laine rouge dont les manches sont relevées sur des bras maigres mais nerveux et à la peau dorée, ainsi qu’un jean poussiéreux, large, usé et dont les bas de pantalon reposent sur des chaussures de sécurité.


Le visage de l’homme est peu visible mais Anne-Claire parvient à discerner un visage brun à la peau ridée et aux joues creusées ainsi qu’une moustache épaisse et noire surplombant des lèvres déformées par un rictus dû à l’effort provoqué par le maintien du marteau piqueur. L’individu doit être âgé d’une quarantaine d’années. Anne-Claire ne peut s’empêcher de fixer son attention sur les coups de reins que donne l’homme afin de compenser les secousses de l’outil pneumatique.


Le deuxième ouvrier est un colosse d’environ un mètre quatre vingt. Plus jeune que son collègue, il est roux, massif et nettement plus grand. Sous le casque, Anne-Claire parvient à deviner une face ronde, joufflue, rouge et en partie mangée par une barbe de plusieurs jours. Un tee-shirt sans manches de couleur bleue découvre une paire d’épaules larges, musclées, dont la peau claire, parsemée de tâches de rousseur est recouverte de poils clairs, ainsi que deux bras épais terminés par des mains larges, aux doigts courts et épais. Un ventre proéminent tend le tissu du tee-shirt rentré dans une paire de pantalons de velours noir usé. Anne-Claire observe l’homme durant quelques minutes pendant qu’il décharge du ciment frais d’une brouette à l’aide d’une pelle et peut fixer son attention sur le corps épais, presque bestial. La bouche sèche, elle ne peut s’empêcher de serrer ses jambes l’une contre l’autre et rester ainsi pendant de longues minutes à regarder les ouvriers occupés par leur labeur.


Une sensation de chaleur possède son bas-ventre. Elle se sent transportée par un nuage de plaisir sourd et presque malsain. Tout respire la puissance dans cet endroit ; les engins, le bruit, les outils et les hommes. Des images fugaces traversent son esprit. Elle se voit au milieu d’ouvriers casqués qui s’approchent, le visage sévère, tendant leurs mains larges. Elle imagine la chaleur des paumes parcourir les endroits les plus secrets de son anatomie et semble entendre les respirations de plus en plus haletantes des mâles.


Parvenant brusquement à reprendre ses esprits, la jeune femme, prise de panique et ressentant un sentiment intense de culpabilité décide de rejoindre sa voiture et de quitter cet endroit. Une fois sur la voie rapide, sa respiration devient plus régulière et son cœur cogne moins fort dans sa poitrine.


  • — Ce n’est pas possible, cela ne va pas recommencer, je deviens complètement folle ! se dit la jeune femme la gorge nouée.


Une fois chez elle, elle court à la salle de bain afin de se rafraîchir le visage. Elle se rend ensuite dans la cuisine et se rend compte de l’heure tardive de la matinée. Il est déjà midi. L’estomac noué, elle avale un repas frugal et décide de s’allonger quelques instants sur le canapé du salon. Elle parvient à se détendre et somnole un moment tout en réfléchissant à la décision à prendre.


Des images du spectacle offert par le chantier lui reviennent à la mémoire et sa bouche s’entrouvre peu à peu sur un sourire. La jeune femme se lève et se rend dans la salle de bain pour une toilette et une retouche légère de maquillage. Elle choisit ensuite une jupe bleue marine plissée, fendue sur le devant et tenue par une ceinture large de cuir noir et enfile un chemisier de soie couleur crème sur les épaules. Sa poitrine est libre et le contact du tissu sur les bouts de chairs déjà fermes ne tarde pas à faire son effet. La douceur du temps l’autorise à laisser ses jambes et ses cuisses bronzées nues. Une culotte rouge en satin recouvre sa motte intime dont quelques boucles rebelles et épaisses dépassent des rebords du vêtement. Elle ramène ses cheveux en arrière et les attache à l’aide d’un nœud de velours noir. Seule une petite mèche rebelle lui barre le front sur un côté. Le temps de glisser ses pieds à l’intérieur de deux sandales de cuir noir et la voici installée au volant de son véhicule.


Elle vient d’effectuer tous ces gestes de manière procédurière, avec calme voire conviction.


Ses deux mains sont refermées sur le volant et elle écoute le moteur ronronner. Elle ferme les yeux un court instant et démarre tranquillement. Il est près de 13h30. À cette heure, la zone commerciale est tranquille. Elle s’engage sur le chemin menant au chantier et fixe le grillage du portail d’entrée comme un objectif à atteindre. Elle gare sa voiture discrètement sur le côté et approche de la porte grillagée. Elle est aussitôt impressionnée par le silence oppressant. Les engins sont immobiles, stoppés nets dans leur dernier geste. Les outils et matériaux divers ont été laissés sur place et à terre ; pelles, brouettes, marteaux piqueurs, rouleaux de câbles électriques, sacs de ciment, etc.


La jeune femme pose la main sur la poignée de la porte et appuie tout en poussant doucement. La porte s’ouvre en émettant un léger grincement. Anne-Claire s’engage dans le chantier, les jambes flageolantes et une crampe vissée au creux de son ventre. Elle avance d’un pas régulier et lent en scrutant le décor s’offrant à elle.


  • — C’est vous dont mon frère m’a parlé ce matin ?


Le sang de la mère de famille ne fait qu’un tour et elle pivote par réflexe dans la direction d’où est venue cette interpellation. L’homme qui l’a apostrophée était dissimulé par une benne. Il est court sur pattes, ses épaules sont larges et puissantes. Il est vêtu d’une chemise à carreaux rouges et blancs dont les manches sont retroussées sur des bras épais, poilus et mats, terminés par des mains épaisses aux doigts courts. Il porte également un jean et un ceinturon de cuir marron de type militaire surplombé par un ventre déjà rond. Son visage, ovale, joufflu et mangé par une barbe drue comporte également un nez court et légèrement busqué de même que deux lèvres épaisses. Sa tête nue montre une chevelure noire clairsemée et coiffée en arrière.


Anne-Claire le regarde approcher et remarque immédiatement ses deux yeux rapprochés, d’un vert profond et en permanence en mouvement. Elle se sent dévisagée voir déshabillée en l’espace d’un moment. L’homme a vite fait de procéder à un inventaire serré des formes féminines.


  • — Oui, c’est moi, heu… ! répond la jeune femme d’une voix peu sûre.
  • — Oui, je sais, vous êtes envoyée par l’inspection du travail, c’est cela, non ? Je m’appelle Miguel et suis contremaître sur ce chantier, dit l’homme en souriant et en dévoilant une rangée de dents blanches et régulièrement alignées.


Il n’est qu’à quelques centimètres d’Anne-Claire. Bien que légèrement plus petit qu’elle, il l’impressionne néanmoins et elle se sent peu à peu envahie par une sensation faite d’un mélange d’angoisse et d’une chaleur croissante, pour ainsi dire dérangeante.


Un peu surprise par la raison invoquée, elle parvient à se maîtriser.


  • — Oui, c’est cela, je viens pour vérifier la conformité des équipements !


C’est sur un ton faussement rassuré qu’Anne-Claire prononce ces paroles.


  • — Ben, oui, c’est bien sûr ! rétorque l’homme avec un léger ricanement. Venez, suivez-moi, nous attendons une commande de poutres, le chantier est vide d’ouvriers, hormis deux d’entre eux, qui avancent les travaux dans le petit bâtiment qui se trouve là-bas. Vous pourrez vérifier la conformité de leurs équipements puisque vous êtes venue pour cela.


Tout en parlant, Miguel lui montre un petit local distant d’une cinquantaine de mètres.


  • — Cela m’ira très bien !
  • — Allez, venez !


Anne-Claire est un peu offusquée par le ton employé et fusille du regard son interlocuteur qui plante ses yeux dans les siens sans l’intention de les baisser. Il semble lui faire comprendre que c’est de plein gré qu’une femme comme elle se trouve dans un endroit comme celui-ci. La jeune femme baisse son regard et tressaille lorsqu’elle sent la main chaude de l’homme se refermer suffisamment fermement sur un de ses bras pour lui indiquer qu’elle ne peut plus à présent modifier sa décision.


Ils se dirigent vers le bâtiment sans prononcer un mot dans un silence uniquement perturbé par le bruit des graviers écrasés sous leurs semelles. Le local est une bâtisse toute simple uniquement composée d’un rez-de-chaussée dont les quatre fenêtres sont encore obstruées par du plastique transparent. Au fur et à mesure qu’ils approchent, Anne-Claire entend le bruit croissant du moteur d’un outil électrique.


Arrivés au niveau de l’entrée dont la porte est grande ouverte et laisse s’évacuer un grondement de moteur assourdissant, Miguel laisse Anne-Claire passer devant lui. La jeune femme s’arrête net, le souffle presque coupé. Elle découvre le décor qui s’offre à elle.


La pièce est vide si ce n’est une table en bois située en plein milieu et au-dessus de laquelle pend une ampoule suspendue à un fil électrique. Des outils et des objets divers sont posés sur le meuble et le sol encore nu de tout revêtement : quelques tournevis, une clé à molette, des gants de manutention, un réchaud à gaz, etc. Anne-Claire a l’impression qu’une boule de laine vient de se loger brusquement dans sa gorge lorsqu’elle reconnaît les deux ouvriers qu’elle a longuement observés ce matin.


Le Maghrébin est à genoux face à un mur et tient fermement un perforateur. La puissance de l’engin fait tressaillir le corps de l’homme dont l’attention est concentrée sur son travail. Le roux est face à un autre mur et manie un tournevis afin de fixer une goulotte à un des autres murs.


Anne-Claire ouvre la bouche et les yeux en grand lorsqu’elle sent les deux mains de Miguel lui saisir les hanches et le contact du ventre chaud contre le bas de son dos. Une onde électrique se diffuse dans ses entrailles. Il la pousse délicatement afin de la faire pénétrer dans la pièce.


La femme entre dans le local et sent les mains libérer ses hanches. Elle se dirige d’un pas lent et presque mécanique vers le Maghrébin et se plante à côté de lui, les bras croisés tout en écartant les jambes.


Le bruit assourdissant s’arrête lorsque l’ouvrier sent une présence auprès de lui. Il pose son outil par terre et lève vivement la tête, surpris. Il déglutit et ouvre la bouche, les yeux hagards et tout en promenant son regard sur le corps de cette femme dont la jupe fendue offre le spectacle des cuisses pleines et du triangle fait du tissu de satin. Anne-Claire le domine, le regarde puis lui décoche un sourire en coin pour le rassurer. L’immigré, presque affolé et toujours accroupi, tourne son visage vers son contremaître qui hoche la tête de manière affirmative tout en souriant.


  • — Il n’y a pas de problème Ahmed, ce n’est pas de la magie, elle ne descend pas du ciel, elle est venue toute seule, comme une grande ! dit le contremaître en rigolant.


Anne-Claire se mord la lèvre inférieure et ferme les yeux lorsqu’elle sent deux paumes chaudes se refermer timidement sur ses mollets. Les deux mains remontent ensuite doucement pour atteindre les cuisses qu’elles se mettent à caresser d’un mouvement régulier et circulaire. Les doigts se referment pour saisir la peau douce et brûlante alors que la respiration de la jeune femme se fait de plus en plus sifflante. La mère de famille ne peut s’empêcher de poser ses mains sur le crâne aux cheveux épais et bouclés afin de le caresser. Elle ouvre les yeux à demi en sentant une présence à ses côtés. Le roux, le visage presque écarlate, et Miguel, les yeux plus animés que jamais et les joues rosées, se sont approchés, le regard rivé sur le spectacle offert par cette femme dont la jupe est maintenant à hauteur de ses hanches. Leur respiration est également bruyante et accompagne celles des deux autres protagonistes. La femme jette un regard furtif et s’aperçoit du léger tremblement qui anime leur corps.


  • — Ahhh !


C’est en pliant subitement les genoux tout en refermant ses cuisses et ses mains autour du crâne de son partenaire qu’Anne-Claire vient de pousser ce cri aigu qui raisonne dans le bâtiment vide. En effet, Ahmed, en prolongeant une de ses caresses vient de heurter du bout des doigts le fruit intime et recouvert du tissu satiné. Les trois hommes se regardent, également surpris par la puissance du cri alors que la jeune mère de famille, le visage déformé par une grimace de plaisir, tente de retrouver ses esprits. Elle se redresse, se cambre et fait l’effort d’écarter un peu plus les jambes, le souffle court. L’Arabe en profite pour, de la paume d’une de ses mains, caresser nerveusement l’entrejambe de sa proie. Surexcité, il se lève ensuite pour refermer ses mains sur les hanches d’Anne-Claire et l’attirer à lui d’une manière presque brusque. Elle accroche avec ses doigts les épaules recouvertes de la laine épaisse recouverte d’une fine pellicule de poussière de ciment.


Les deux regards se croisent mais Anne-Claire baisse rapidement les yeux sous l’effet de cette vague de plaisir incontrôlable provoquée par le contact du bas-ventre de l’homme contre le sien. La mâchoire inférieure légèrement tremblante, elle entrouvre légèrement la bouche comme pour appeler celle du Maghrébin. Les deux orifices buccaux se soudent. La langue épaisse d’Ahmed, au goût de tabac et de thé vert, s’enroule fébrilement autour de celle d’Anne-Claire dont les jambes semblent se dérober sous l’effet d’une nouvelle onde qui lui noue l’estomac. Les mains brunes et à la peau sèche ont rapidement retroussé la jupe afin de s’introduire à l’intérieur de la culotte pour saisir à pleine paume les deux dômes musclés et fermes.


Ahmed met ensuite délicatement fin au mélange des deux muqueuses afin de coller ses lèvres sur le cou chaud et à la peau fine pour entamer une série de baisers humides. La tête en arrière et la gorge déployée, Anne-Claire émet un feulement de bête blessée qui se répercute dans le local. Les deux observateurs sont maintenant au paroxysme de l’excitation et leur respiration est haletante. Anne-Claire tourne la tête vers eux au moment où les deux individus, le visage proche de l’explosion sont en train de dégrafer fébrilement leur braguette, les mains tremblantes. Le Maghrébin a maintenant baissé la culotte qui se retrouve enroulée à mi-cuisses. Il fait passer une de ses mains entre son ventre et celui de sa partenaire, glisse trois doigts à l’intérieur des poils et des chairs trempées et agacées avant de dresser le majeur afin de préparer une pénétration. Anne-Claire plante ses dents dans la laine du pull-over afin d’éviter de hurler mais ne peut s’empêcher de pousser une longue plainte étouffée. Le majeur s’introduit à mi-course dans le puits pour commencer d’en inspecter les contours. La jeune femme, transportée sur un nuage paradisiaque, les yeux dans le vague, lance un nouveau regard vers les deux autres comparses.


Le roux est parvenu à extirper de la braguette des pantalons de velours une queue blanche, longue, droite, fine et terminée par un gland rond et rouge qui pointe en hauteur. Les couilles, enfermées dans leur sac recouvert de poils blonds et roux sont également sorties de la braguette, congestionnées sous l’effet de la pression. Miguel a dégrafé son ceinturon et légèrement baissé son slip et son jean pour libérer un sexe court et épais perdu au milieu d’une pilosité aussi foncée qu’abondante. Un gland en forme de champignon semble lui aussi réclamer son du. Le colosse, fou de désir, s’avance vers le couple et tente de pousser le Maghrébin afin de profiter de la femme.


  • — À moi ! vocifère-t-il d’une voix tonitruante.
  • — Attends ton tour ! répond Ahmed d’une voix stridente.


Ahmed repousse Anne-Claire qui manque de tomber, affolée. Une bousculade s’ensuit et aurait pu gravement dégénérer sans l’intervention de Miguel qui s’interpose, non sans mal.


  • — Hé, ho, mais ça va pas non, vous voulez tout gâcher ou quoi ? hurle le contremaître.


Les deux ouvriers se relâchent. Un moment de silence s’installe. Anne-Claire regarde les deux sexes encore dressés. L’envie qui la taraude est de plus en plus vive depuis qu’elle se rend compte qu’elle est capable de provoquer une véritable émeute. Elle est comblée car en train de vivre quelque chose qui correspond bien à ce dont elle avait envie.


  • — Non, ne vous battez pas pour moi. Je vais vous rendre heureux. Je vais vous donner du plaisir, dit la jeune femme d’une petite voix fluette. Mais soyez un peu patients !


Elle s’approche du roux pour se dresser sur le bout des pieds afin de passer le bout de la langue sur le visage écarlate et bouillant puis se tourne vers l’autre, lui saisit une main qu’elle plaque sur un des ses seins et approche son visage lentement afin de délivrer la même application humide. Elle recule ensuite légèrement et s’accroupit afin d’avoir la queue blanche à hauteur du visage. Elle entoure le bâton de chair avec l’extrémité des doigts d’une main tandis que l’autre est posée à plat sur la cuisse opposée de l’ouvrier qui se cambre en respirant fortement. La jeune femme arrondit la bouche pour s’emparer de la hampe qui se dresse encore un peu plus. Anne-Claire entame une caresse, s’appliquant à faire glisser ses lèvres sur un rythme lent mais régulier. Des bruits humides occupent l’atmosphère. Les mains du colosse se sont refermées sur son crâne mais Anne-Claire s’en débarrasse prestement, désirant ainsi signifier qu’elle veut continuer de contrôler la situation. Au bout de quelques minutes, le souffle du roux se fait de plus en plus saccadé et se transforme en un grognement sourd tandis que les cuisses puissantes se mettent à trembler. Anne-Claire fait coulisser ses doigts le long de la bite et a juste le temps de se débarrasser du membre, sur le point d’exploser, avant de voir deux jets d’un liquide blanc fuser sur le côté et se répandre sur le sol.


Ahmed s’approche, au paroxysme de la fébrilité, en exhibant une queue brune courbe, de taille moyenne et terminée par un gland en forme de fusée. Seule la tige sort de la braguette. Il a l’intention de profiter de la même caresse.

Miguel, quant à lui, se tient à l’écart, observateur, le sexe raide et les bras le long du corps.


Anne-Claire repousse le roux encore abruti, se lève et se débarrasse de la culotte qu’elle glisse dans l’une des poches de sa jupe. Elle se dirige ensuite vers un des murs de la pièce, s’appuie d’une main contre la paroi, relève sa jupe sur ses reins de l’autre, se cambre et écarte les jambes, présentant ainsi ses formes les plus intimes. Elle tourne ensuite la tête vers Ahmed auquel elle sourit, lui adresse un clin d’œil et dit avec une moue et sur un ton presque implorant :


  • — Viens, alors, qu’est-ce que tu attends ? Mais n’oublie pas de mettre ce qu’il faut.


Le manœuvre se précipite vers une boîte à pharmacie posée à terre, l’ouvre et en ressort un étui à préservatif qu’il ouvre nerveusement. Il fait glisser la protection sur la hampe raide et vient se placer derrière Anne-Claire qui se hausse légèrement sur le bout des pieds. Elle se mord les lèvres lorsqu’elle sent le bout de la tige donner des coups rapides afin de trouver l’entrée de son ventre.


  • — Haa !


La voix aiguë de la femme retentit une fois de plus alors que la tête chercheuse vient de s’enfoncer dans l’antre du plaisir.


  • — Doucement, doucement ! lui demande Anne-Claire d’une voix presque sanglotante.


Ahmed, les jambes légèrement fléchies, a refermé ses doigts dans la chair chaude et soyeuse des hanches de la femme qu’il est en train de posséder. Il commence ensuite à faire coulisser son sexe qui ressort à chaque fois un peu plus luisant. Il procède ainsi pendant un long moment, goûtant le plus longtemps possible à ce plaisir qu’il n’aurait jamais soupçonné pouvoir consommer quelques heures auparavant. Anne-Claire, la mâchoire crispée, sent brusquement la bite se durcir un peu plus tandis que les coups de reins de son partenaire deviennent progressivement désordonnés. L’ouvrier se plante une dernière fois en poussant un cri sec et nerveux suivi de plusieurs plaintes. Anne-Claire ressert ses chairs intimes tout en se mordant un peu plus les lèvres alors que l’enveloppe de plastic se remplit peu à peu d’un produit qui réchauffe ses entrailles. Le Maghrébin, épuisé, enserre de ses bras la taille d’Anne-Claire, la poitrine appuyée contre le dos de la jeune femme. Il se redresse ensuite afin d’extraire son sexe et se dirige vers l’entrée du bâtiment afin de profiter d’une bise qui vient de se lever.


Anne-Claire a conservé sa position lorsqu’elle entend Miguel approcher en soufflant. Elle tourne la tête vers lui et le regarde. L’homme lui saisit un bras fermement, une lueur dure dans les yeux.


  • — Allonge-toi sur la table !
  • — Si j’en ai envie ! rétorque la jeune femme d’une voix sèche mais peu assurée.


Elle se rend compte malgré elle que la manière avec laquelle le contremaître s’adresse à elle ne lui déplaît pas. Elle se dirige vers la table, fait tomber à terre les outils épars d’un geste large de la main, se retourne et prend appui des deux mains sur le bord en bois. Tout en fixant Miguel d’un air insolent, elle se hausse sur les bouts des pieds afin de pouvoir s’asseoir sur le meuble.


  • — Allez, viens !


La jeune femme ponctue ces derniers mots par une moue puis se renverse sur la table en écartant largement les jambes qu’elle ramène sur ses flancs. Le ton mielleux que vient d’employer Anne-Claire et la vue du buisson séparé en deux par une plaie large et trempée termine de rendre le contremaître fou furieux. Il vient se placer entre les jambes d’Anne-Claire, s’accroupit et plaque les paumes de ses mains à l’intérieur des cuisses offertes pour les maintenir. Il pose ensuite ses lèvres sur la vulve et commence à lécher le fruit juteux. Anne-Claire ouvre les yeux en grand et semble transportée dans un univers d’extase. Les bruits de succion cessent au bout d’un moment. Miguel se relève et va se saisir d’une pochette de préservatif qu’il déchire pour ensuite dérouler la protection sur son muscle aussi court que nerveux. Il passe chacun de ses bras sous les cuisses chaudes pour les soulever. Il regarde un court instant sa partenaire qui le gratifie d’un sourire tendre.


  • — Ne me fais pas mal s’il te plaît, va doucement, tout doucement, lui demande-t-elle d’une voix de jeune fille craintive.


Ecarlate, Miguel parvient par de petits coups de reins, à présenter sa queue face à l’orifice intime puis s’enfonce d’un mouvement continu. Ses doigts abîmés par les travaux se referment sur les chairs couleur pain brûlé des cuisses pleines. Il reste ainsi immobile quelques secondes puis commence à limer la mère de famille sur un rythme régulier tandis que la table se met à grincer. Anne-Claire savoure cette étreinte qu’elle sait être la dernière de ce jour. Les yeux plongés dans ceux de celui qui la prend, elle écoute les couinements du meuble, les doigts de ses mains recroquevillés sur les bords. Le visage de Miguel est déformé par un rictus alors que la lèvre inférieure de sa bouche tremble légèrement.


Les couinements de la table se font plus rapides et les ongles de l’ouvrier s’enfoncent encore un peu plus dans la chair des cuisses. La bite épaisse se courbe et le gland gonfle encore un peu plus avant que, de nouveau, le ventre d’Anne-Claire soit envahi par une vague de chaleur qui lui réchauffe entièrement le corps. L’homme a encore la force de donner quelques coups de reins en râlant avant de s’immobiliser, pétrifié, le regard dans le vide. Une fois ses esprits retrouvés, il s’extirpe et fait descendre Anne-Claire.


  • — Il faut que vous partiez maintenant. Il ne faut pas rester là. Je vais vous raccompagner, dit Miguel un peu penaud.
  • — Merci, c’est gentil, répond Anne-Claire en réajustant sa tenue.


Ils parcourent le chemin les menant au portail en silence. Une fois arrivés, Miguel ouvre la porte grillagée et laisse passer Anne-Claire. Cette dernière traverse l’obstacle.


  • — Merci ! dit Miguel.
  • — Non, c’est à moi de vous dire merci ! rétorque la jeune femme.


Elle ne se retourne pas en parcourant la distance qui lui fait rejoindre son véhicule.


Il est presque seize heures lorsqu’elle parvient chez elle. Les enfants vont revenir de l’école.

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Publié dans : Histoires - Par Z.
Vendredi 14 juin 5 14 /06 /Juin 10:09

Vendredi 14 Juin

12h30

Pantin

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Publié dans : Bukkake - Par Z.
Mercredi 12 juin 3 12 /06 /Juin 11:03

Bonne visio

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Publié dans : Vidéos - Par Z.
Mercredi 12 juin 3 12 /06 /Juin 10:07

Courez y, c'est jusqu'au 8 Septembre à la Pinacothèque à Paris (promis, je vais mettre des articles concernant la province).

J'aime beaucoup ce résumé : « Tamara de Lempicka mérite les honneurs. D'une beauté androgyne, mariée à un milliardaire mais lesbienne, elle peint les femmes des Années folles comme personne. On comprend que Lolita lui ait piqué son nom et la Madonna de "Vogue", le look garçonne. » (Parution mai 2013) Magazine : BE

 

1.Jeune-fille

 

tamara de lempicka

tamara de lempicka 1

 

nu aux voiliers

2.Tadeusz-Lempicki

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Publié dans : Art(s) - Par Z.
Mardi 11 juin 2 11 /06 /Juin 19:36

Bonne lecture à toutes et à tous (quel couple me demandera d'organiser ce scénario ???)

 

"Anne-Claire a trente-cinq ans. Elle est née dans un milieu aisé et appartient à une famille bourgeoise d’une ville de province. Fille d’avocat, elle a fréquenté les pensionnats pour jeunes filles et a reçu une éducation stricte comprenant tous les principes à respecter et les sujets tabous que l’on doit éviter d’aborder.


C’est une belle femme souriante aux yeux bleu clair, d’un mètre soixante-cinq, blonde cendrée, coupée au carré et aux formes un peu rondes. Ses seins sont lourds mais fermes. Elle est mère de deux enfants.


Anne-Claire est plutôt d’un caractère renfermé voire introverti. Elle s’est mariée voici dix ans, après ses études d’histoire, avec un jeune ingénieur issu du même milieu que le sien, souvent en déplacement, et ne lui offrant que peu de surprises dans leur vie de couple banale et sans histoire.


François, son mari, lui fait l’amour de temps en temps dans leur lit. Elle remonte sa chemise de nuit sur le ventre. Il se couche sur elle. Quelques mouvements des reins suffisent en général pour qu’il se vide. Rapidement. Sans aucune originalité. Aucun piment.


Anne-Claire a bien eu quelques flirts lorsqu’elle était étudiante. Quelques baisers furtifs. Rien de plus.


Ils habitent une maison cossue dans un quartier résidentiel et un peu retiré.

N’ayant lié aucune connaissance avec les voisins et ayant peu d’amis, Anne-Claire voit de temps à autre son amie de pensionnat, Solange. Cette dernière est la confidente d’Anne-Claire. Elle est mariée à un homme d’affaires également souvent en déplacement. À la différence d’Anne-Claire, Solange est plus ouverte et détendue. Elles se rencontrent souvent dans un petit salon de thé du centre ville où elles peuvent discuter en toute discrétion.

Ce jour-là, alors qu’elles venaient de s’asseoir à leur table habituelle, Solange s’aperçut immédiatement de la mine inquiète plus que d’habitude de son amie d’enfance.


  • — Que se passe-t-il Anne, il y a quelque chose qui ne va pas ?


Surprise, Anne-Claire afficha un sourire un peu forcé.


  • — Non, pourquoi ?


Je ne sais pas, tu me parais un peu soucieuse.


  • — Soucieuse non, mais il faudrait que je te parle de quelque chose.
  • — Vas-y ! Pour une fois que quelque chose a l’air de perturber un peu ta vie ! Rétorque Solange sur le ton de l’humour.
  • — Hier matin, il m’est arrivé quelque chose de bizarre. J’étais devant la maison et je venais de dire au revoir à mes enfants qui partaient en bus à l’école. Le camion des éboueurs est arrivé juste au moment où, par mégarde, j’ai laissé tomber mon trousseau de clés et comme par hasard l’attache s’est cassée éparpillant toutes les clés par terre. Anne-Claire s’arrêta brusquement en regardant autour d’elle, visiblement gênée.


Et après ? C’est cela qui t’a traumatisée pour toute la fin de la journée ? Dit Solange en riant aux éclats.


Ne soit pas bête. Je me suis accroupie pour les ramasser une par une puis j’ai relevé la tête car le camion s’était arrêté. Je me suis aperçue que les éboueurs étaient devant la poubelle, sans bouger, le regard pointé sur moi. Le chauffeur regardait dans ma direction, les yeux fixes. Ce dernier devait être âgé d’une quarantaine d’année, le type méditerranéen, le visage rond et marqué, pas rasé et des cheveux frisés.


Un de ceux qui se tenaient près de la poubelle avait la cinquantaine, affichait un certain embonpoint et était de taille moyenne. Il portait une casquette et ses cheveux poivre et sel dépassaient sur les côtés ; son visage bouffi et ridé était barré par une moustache épaisse et grisonnante. Les prunelles de ses deux petits yeux bleus brillaient d’une lueur malsaine. Il était vêtu d’une combinaison orange tachée dont la fermeture éclair était baissée jusqu’au milieu de son abdomen et laissait apparaître un poitrail velu de même qu’un maillot de corps douteux. Ses bras ballants étaient décorés par des tatouages, ses mains portaient des gants de manutention.

Anne-Claire s’arrêta de parler, la gorge sèche, et se rendit aussitôt compte, gênée, du regard ébahi de Solange.


  • — Hé bien ma grande, quelle description ! Toi, je crois savoir ce qui te perturbe. Continue ! Lança Solange en tenant une des mains d’Anne-Claire.


Le troisième éboueur était de type maghrébin. Il devait avoir le même âge que le compère qui se tenait à côté de lui. De grande taille, les cheveux crépus, moustachu, maigre et flottant dans sa combinaison, son visage était rongé par la barbe mais ses yeux noirs exprimaient un mélange d’étonnement et d’admiration. Immobile, comme ses collègues, ses mains étaient crispées sur les poignées de la poubelle.


J’ai répondu naïvement à leur sourire pensant que quelque chose n’allait pas ou qu’il y avait un problème de tri d’ordures. Ils répondirent à mon sourire mais c’est la direction de leur regard qui me fit prendre conscience de la scène : ces trois hommes avaient les yeux pointés sur mon entrejambe. Et alors, tu n’étais tout de même pas en chemise de nuit !Non, j’étais vêtue de mon kilt long rouge et bleu marine, d’un chemisier blanc, d’un foulard Hermès et je portais mes mocassins à boucles bleus et blancs. En revanche, compte tenu de la douceur du temps, je portais des bas auto-fixants gris et des sous-vêtements rouges, en soie. Cela faisait environ une minute que je me trouvais dans cette position, les jambes écartées. Je me suis relevée en rabattant ma jupe, plus intimidée qu’en colère et c’est cela qui me fait culpabiliser. Les trois hommes, surpris, baissèrent leur regard sauf le rondouillard qui me dévisageait de haut en bas, un sourire en coin. Instinctivement, j’ai jeté un regard sur son bas-ventre et je me sentis rougir car ses parties étaient volumineuses.


Les jambes flageolantes et écarlates, je suis rentrée chez moi pour me rendre aussitôt dans la cuisine afin de boire un verre d’eau. La cuisine donne sur l’extérieur et j’ai pu observer les éboueurs qui riaient en se lançant des commentaires et en mimant des gestes obscènes. C’est au moment où le camion démarra que le ventripotent, installé à l’arrière, tourna le visage vers moi avec un regard dur et appuyé. Je ne sais pas qu’elle guêpe me piqua alors car j’ai soutenu son regard tout en esquissant un sourire en coin. Une fois le camion parti, j’ai eu une bouffée de honte pendant qu’une drôle de sensation de chaleur et de dégoût m’envahissait. Je me suis occupée tant que j’ai pu toute la journée en attendant le retour des enfants de l’école et en essayant d’évacuer de mon esprit le regard de ces individus. Ceci explique un peu pourquoi je t’ai appelée en fin de matinée pour te voir cet après-midi.

Solange regardait Anne-Claire fixement et lui rétorqua :


Ecoute ma chérie, je connais François. C’est un bon mari, doux et propre sur lui mais il est l’archétype du cadre préoccupé par son travail qui ne se soucie pas des besoins sexuels de sa femme. C’est tout simple !

Je ne te permets pas !


Allons, dis-moi que ce n’est pas vrai. Tu vois, tu baisses les yeux. Si ces gus t’intéressent, tu les attends demain et lorsqu’ils passeront tu leur demanderas s’ils ne veulent pas garer leur camion cinq minutes pour se désaltérer. Un autre conseil, puisqu’il faut tout t’expliquer ma chérie, tu te rhabilles dans le même style, le chemisier légèrement échancré, sans soutien-gorge, un collier, un serre-tête dans les cheveux et tiens-toi devant chez toi, les mains sur les hanches, les jambes légèrement écartées et surtout, regarde-les l’un après l’autre avec un petit sourire et en bombant un peu la poitrine. Car ce qu’il te faut ma jolie, ce sont des hommes, des manuels, virils, rustres, intellectuellement limités mais enviant les bourgeois qui se tapent des petites coincées comme toi et rêvant, en feuilletant des magazines de charmes dans leur cité ou leur foyer pour immigrés, de se les envoyer en l’air, comme il se doit. Tu as le feu aux fesses ma grande !


Anne-Claire la regarda horrifiée.

Tu me dégoûtes, je m’en vais !

Je suis certaine que tu m’appelleras demain pour me dire que c’était super ! Répliqua Solange en passant le bout de sa langue sur les lèvres.

Anne-Claire, le visage rouge de honte, se leva, pris son sac, son imperméable et sortit en courant.


Rentrée chez elle, elle se rendit compte que le temps ne passait pas assez vite. La soirée se déroula normalement mais son mari lui fit remarquer au cours du repas qu’il la trouvait fébrile. Elle mit cela sur le compte de la fatigue et le regarda tendrement en s’avouant effectivement qu’il était doux mais tellement préoccupé par son travail !

Les enfants sont partis le soir chez leurs grands-parents pour les vacances scolaires.


Anne-Claire dormit mal cette nuit-là car elle savait déjà ce qui allait se passer le lendemain matin. Elle ne pouvait s’empêcher de penser aux éboueurs : leur regard rempli de désir, leur allure virile et gauche, leur propreté douteuse et les gestes obscènes qu’ils mimaient la veille en portant la main au niveau de leur sexe. Elle se rapprocha de son mari qui dormait déjà profondément et sentit deux larmes couler sur ses joues.

Le lendemain matin, c’est le ventre noué qu’elle vit son époux partir pour deux jours en séminaire.


Le camion passait en général entre huit heures et huit heures trente et il lui restait une demi-heure pour se préparer. Elle se maquilla légèrement mais passa sur ses lèvres un rouge plus soutenu que d’habitude afin de leur donner un peu plus de relief. Elle se coiffa et fixa un serre-tête en velours rouge. Nue, devant la glace de la salle de bain, elle contempla sa peau claire, ses formes pleines mais encore gracieuses ainsi que sa poitrine lourde que son mètre soixante cinq mettait en valeur. Elle lissa sa toison blonde et se passa pour terminer un lait adoucissant sur le corps.


Anne-Claire enfila ensuite des bas gris, une culotte bleu ciel qui laissait quelques touffes de sa fourrure blonde dépasser, revêtit un chemisier crème en soie et un kilt fendu vert foncé qui lui arrivait nettement au-dessus du genou et juste retenu par une épingle sur le côté, comme le sont toutes les jupes écossaises que portent les femmes de sa classe. Elle laissa les trois premiers boutons de son chemisier libre et passa son collier en or avant de chausser une paire de mocassins bleu marine ornés d’une petite chaînette. Se regardant toujours dans la glace, elle pris la pose que Solange lui avait conseillée tout en esquissant un sourire légèrement provocateur. L’image que le miroir lui renvoya n’était ni plus ni moins que celle d’une femme prête à s’offrir et à être comblée. Cette vision l’épouvanta, elle, la bourgeoise aux mille principes !


Elle se regarda dans la glace et se vida la tête en se disant qu’après tout Solange avait bien raison. L’éboueur au ventre proéminent l’avait envoûtée, elle voulait s’abandonner et leur donner une occasion que jamais plus peut-être ils n’auront dans leur vie morne et ingrate.


Anne-Claire se posta devant le pas de la porte et guetta le camion qu’elle pouvait voir arriver de loin.

Peu de temps après, elle entendit le grondement sourd du moteur s’amplifier.

Son cœur se mit à cogner dans sa poitrine. La peur au ventre, elle esquissa un demi-tour puis s’immobilisa pour se tourner de nouveau vers le trottoir et commencer à avancer les jambes tremblantes. Sa décision était prise.


Les éboueurs ne s’aperçurent de sa présence que lorsque le camion freina pour s’arrêter et laisser descendre les deux employés. Ils tournèrent instinctivement la tête en direction de l’endroit où se trouvait la poubelle et se figèrent en même temps. Anne-Claire était là, devant eux, les jambes écartées, le buste en avant et les mains sur les hanches. Elle les regardait tout en affichant le sourire que son ami lui avait conseillé. Le chauffeur ne tarda pas à comprendre que quelque chose de peu banal était en train de se passer. Il stoppa son moteur et descendit rejoindre ses compères. Anne-Claire le dévisagea car elle n’avait vu que son visage le jour précédent. Il était bâti comme un lutteur, les cheveux ras, plus petit qu’elle mais avec des épaules larges et un cou de taureau. Ses mains ressemblaient à des battoires.


Prenant son courage à deux mains Anne-Claire les regarda droit dans les yeux mais son sourire avait disparu. Elle les fixait à présent durement, la bouche ouverte et avec une moue de dédain.

Bonjour, je vois que vous êtes des habitués de ce quartier leur lança-t-elle, que diriez-vous d’une tasse de café pour bien commencer la journée ?


Les trois hommes se regardèrent en se demandant s’ils n’étaient pas en train de rêver.

Le ventru aux cheveux poivre et sel s’avança vers elle, méfiant.

Je suis le chef de cette équipe. Je m’appelle Franck. Je vous remercie madame mais nous allons être en retard sur notre horaire.


Anne-Claire s’approcha au point que sa poitrine frôlait le poitrail de l’éboueur.

Allons, allons, vous n’allez tout de même pas me dire que c’est tous les jours qu’une femme comme moi vous invite à prendre cinq minutes de pose chez elle, répliqua Anne-Claire en se cambrant encore un peu plus, la main droite rajustant son serre-tête tout en se mordant légèrement la lèvre inférieure.


Le chef commençait à comprendre car ses joues rougirent sensiblement et la jeune femme s’aperçut de la respiration plus rapide de l’individu.

Les deux autres employés se dandinaient sur place, visiblement affectés par les mêmes sensations que leur patron. Ils dévoraient des yeux cette femelle qui était en train de les allumer ouvertement.


C’est bon les gars, Manuel ferme le camion à clés et toi Hassan remets la poubelle en place, on verra cela après, commanda Franck sur un ton autoritaire.

Bon et bien suivez-moi ! Dit Anne-Claire en tournant les talons. Elle prit soin de rouler les hanches pendant son déplacement et s’aperçut en s’effaçant pour les laisser entrer chez elle que son manège avait remporté le résultat escompté.

Elle les fit entrer dans la cuisine qui était spacieuse et équipée avec du mobilier de campagne. Les trois mâles se tenaient côte à côte et ne quittaient pas des yeux Anne-Claire qui évoluait entre le plan de travail et le buffet pour préparer le café.


Une fois ce dernier servit, ils se mirent à discuter. Elle leur expliqua qu’elle ne voyait pas grand monde et que le passage régulier du camion la rassurait.

Elle les questionna et appris que Hassan était marocain et vivait dans un foyer pour immigrés. Manuel, le chauffeur, est portugais et habite en banlieue. Marié, il est père de cinq enfants. Franck, originaire de la région est éboueur depuis vingt ans. Des vies mornes.


Ils n’avaient pas voulu s’asseoir, préférant rester debout, sûrement pas gêne.

La conversation se tarissant, un silence pesant s’installa progressivement.

Les trois hommes la regardaient comme s’ils voulaient profiter de cet instant sûrement unique dans leur vie.


Anne-Claire, assise de biais afin d’être positionnée face à eux, termina sa tasse de café et la reposa sur la table. Puis, le cœur battant à tout rompre, elle décroisa ses jambes lentement en prenant soin de remonter sa jupe au maximum tout en les regardant. Elle se leva et s’approcha de Franck de façon à ce que son chemisier, déjà tendu par ses mamelons, frôle le maillot de l’éboueur dont la combinaison était déjà enflée au niveau du sexe. Elle plongea son regard bleu dans le sien, remonta doucement sa main droite et la plaqua sur le membre durci. Une petite voie chevrotante sortit de sa gorge.


Je suis une bourgeoise et j’aime mon mari mais je veux une fois dans ma vie me faire doser par des mâles en manque et qui ne se sont jamais tapé une femme de la haute comme moi. Je suis à vous. Faites-vous une bonne B.C.B.G !

Elle ponctua sa déclaration en posant doucement ses lèvres humides sur la joue grise de barbe de l’homme dont le visage était devenu écarlate.


Franck posa rudement ses mains sur les hanches de la jeune femme et ouvrait déjà la bouche pour la vriller à la sienne mais Anne-Claire le repoussa immédiatement.

Tout doux, tout doux mon ami, tu n’es pas tout seul, chacun son tour !

Elle se plaça devant le maghrébin, le gratifia d’un clin d’œil tout en soupesant ses testicules. Le marocain ouvrit la bouche sans qu’aucun son n’en sorte.

Tu as de belles couilles toi ! Tu as envie de te faire une belle Française, non ?


Elle se planta ensuite devant le portugais qui n’avait pratiquement pas pris part à la conversation et lui empoigna la barre qui déformait sa combinaison. Elle approcha la bouche de son oreille droite et lui mordilla le lobe avant de lui glisser les paroles suivantes :


  • — Toi, le portos, je sais que les femmes de ton pays se la bouclent et sont soumises. Ce n’est pas mon genre, mais pour cette fois je vais te laisser me prendre en mains !


Les trois hommes dégageaient une odeur de mâle qui exhalait des relents de gas-oil et de tabac. Ce qui provoquait des hauts le cœur à Anne-Claire en même temps qu’une excitation de plus en plus intense.

Elle se repositionna devant le chef d’équipe et descendit la fermeture éclair de sa combinaison. Elle déboutonna l’unique bouton du caleçon et plongea la main pour extirper avec difficulté une queue longue mais fine et deux couilles couvertes de poils.


Anne-Claire s’accroupie et tira avec les doigts de sa main droite sur le prépuce du sexe gonflé pour faire apparaître un gland rouge carmin en forme d’obus. De l’autre, elle pris les couilles pour les serrer doucement dans la paume. Elle passa la pointe de la langue le long du bâton dressé et s’arrêta sur le méat avant d’enfoncer la tige de chair dans sa bouche pour la faire coulisser. Simultanément, le goût âcre que dégageait le membre lui donnait envie de rendre mais la satisfaction procurée par les couinements qui sortaient de la gorge de l’homme ainsi que les tremblements qui animaient ses cuisses lui faisait supporter cette nausée.


  • — Oh putain c’est pas vrai ! Vas-y salope, suce !


Anne-Claire leva les yeux vers le visage de l’éboueur. Ce dernier la fixait, un rictus déformant sa bouche, les bras légèrement décollés et les poings fermés.

La jeune femme sentit le gland enfler et s’empressa d’extirper la bite avant que celle-ci n’explose.


Hassan et Manuel n’arrivaient plus à se contrôler, avaient descendu le haut de leur combinaison jusqu’à mi-cuisse et lissaient leur sexe.

Anne-Claire se déplaça laissant Franck reprendre ses esprits. Elle se positionna devant le marocain pour happer sa queue après avoir excité le gland avec quelques coups de langue.


La hampe était courte mais épaisse. Le gland était râpeux et décalotté. Le maghrébin semblait maîtriser ses sensations. Les jambes fléchies, il avait positionné ses deux mains de chaque côté du visage de cette femme blonde qui se trouvait à ses genoux, devant lui, l’immigré qui calmait ses ardeurs sexuelles avec des magazines de rêve dans sa chambre de foyer. Elle parvint à avaler tout le sexe et le bout de son nez était maintenant enfoui dans le pubis de son partenaire tandis que le menton touchait deux testicules enflés.


Anne-Claire creusa les joues afin d’accentuer la succion autour du membre dur puis retira tout doucement la tige de sa bouche. Sa main droite tenait à pleine main la bite tandis que la gauche caressait l’intérieur de la cuisse droite de l’homme dont elle avait fait le tour. Elle leva la tête et lui fit un clin d’œil en souriant. L’éboueur déversa un flot de paroles en arabe, sûrement des insultes, l’œil méprisant.

Soudain elle se cambra, les yeux écarquillés. Une longue plainte sortit de sa gorge tandis que son visage devenait écarlate.


En effet, le portugais n’était pas resté inactif. Il se trouvait à présent accroupi derrière Anne-Claire et sa main gauche s’était introduite sous les fesses de l’épouse infidèle, sur son sexe brûlant qu’il massait de la paume. Les doigts boudinés écartèrent le slip en soie bleue avec fébrilité afin de plonger dans la masse de chair trempée de désir. L’autre main s’était placée sous le bras droit de la jeune femme et était parvenu à sortir du chemisier son sein gauche laiteux qu’il soupesait tout en le malaxant. L’homme était parvenu à coller sa bouche sur la nuque de la jeune femme qu’il mordillait doucement et glissait de temps en temps son orifice buccal pour lui chuchoter des obscénités dans l’oreille droite :


  • — Tu es poilue comme les femmes de chez moi, salope ! Tu es trempée ! Tu ne sais pas ce qui t’attend, tu vas morfler, putain des beaux quartiers !


Remis de ses émotions, Franck s’adressa à ses collègues.


  • — Il faut se manier les gars, sinon on va réellement se mettre en retard. Toi, la chienne lève-toi !


Jamais personne ne s’était adressé sur ce ton à Anne-Claire, mais elle savait qu’en dépit de ces paroles elle les dominait !

Elle repoussa doucement le portugais et Hassan et se leva, les jambes dans le coton.

Anne-Claire se dirigea vers son sac à main qui se trouvait sur le buffet, l’ouvrit et en sortit trois préservatifs qu’elle lança à Franck avec un sourire dédaigneux.


Franck effectua la distribution puis s’approcha d’elle, posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, la souleva comme un fétu de paille et la reposa sur le bord de la table.

Sachant ce qu’il prévoyait, elle s’allongea et remonta les jambes tout en les écartant de façon à ce que ses genoux touchent ses flancs. La blancheur des cuisses contrastait avec la teinte grise des bas.

De longues touffes bondes et lissées par la mouille dépassaient de chaque côté du slip assez sévèrement taché.

Les éboueurs étaient subjugués.

Elle ferma les yeux à demi et leur dit d’une voie suppliante :


  • — Claquez-moi les couilles au cul, je suis votre femelle pour encore quelques minutes, videz-vous bordel !


Les capotes furent rapidement enfilées.

Une bagarre faillit suivre pour savoir qui allait passer en premier.

Franck rétablit rapidement l’ordre, se plaça entre les jambes d’Anne-Claire, écarta sa culotte pour enfoncer progressivement son sexe, qu’il tenait dans la main droite, dans la vulve et jusqu’à la garde. Il plaça ensuite chacun de ses bras sous les genoux de sa proie et referma ses mains calleuses sur la chair blanche et douce.


La jeune femme poussa une longue plainte aiguë en se cambrant et étendit instinctivement les bras sur les côtés. Les deux autres se placèrent d’emblée de chaque côté de la table pour présenter leur queue. Refermant les membres dans chacune de ses mains, Anne-Claire tourna la tête de façon à sucer alternativement les deux bites. Celle du Portugais était courbe, plus longue que celle de Franck et le gland rond dressait sa tête presque à l’horizontal. Ils s’empressèrent également de se partager la poitrine de la jeune femme qu’ils se mirent à masser sans ménagement. Pendant ce temps, Franck s’était mis à limer selon un tempo régulier la moule de sa partenaire. Seuls quelques vas et viens suffirent pour qu’il se vide dans un dernier coup de reins et en poussant un grognement sourd, la mâchoire crispée. Il extirpa son sexe recouvert du préservatif dont le réservoir était rempli du liquide pâle et recula, encore abasourdi par son plaisir.


Le marocain se précipita pour prendre la place de son compère, positionna chaque jambe de la jeune femme sur ses épaules, saisit son sexe de la main droite pour l’introduire dans le ventre d’Anne-Claire.


  • — Sale putain blonde ! Éructa-t-il.


Au bord de l’apoplexie et fou d’excitation, il referma ses mains douteuses sur les hanches de sa partenaire et donna une série désordonnée de coups de reins. Anne-Claire fut sévèrement secouée et la table se mit à grincer.


La bourgeoise, le sexe de Manuel en bouche, ouvrit les mâchoires pour pousser une série de cris perçants jusqu’à ce que Hassan se cambre en arrière, les yeux fermés et les ongles plantés dans la chair de ses hanches.

Il se relâcha, la respiration et les jambes coupées, fit basculer les jambes d’Anne-Claire sur le côté sans ménagement, retira son sexe dont le préservatif était à moitié retroussé et recula, le regard dans le vide, et vexé de ne pas avoir été plus endurant.


Ce fut le tour de Manuel. Il fit descendre sa future victime qui se demanda brusquement ce qui lui prenait, la retourna et la plia en deux. Il lui releva ensuite la jupe pour faire descendre son slip à mi-cuisse avant d’introduire son pouce droit dans la fente lustrée et d’amorcer un mouvement de vrille qui la fit gémir. Anne-Claire, allongée sur le ventre, griffa le tablier de la table sous les insultes du Portugais tout en se cabrant et en écartant les jambes au maximum. Elle se mordait les lèvres pour éviter d’hurler.


  • — Sale roulure, si j’étais ton mari tu recevrais une sacrée volée, je te le garantis, espèce de salope !


Il retira son pouce et se mit à genoux pour écarter les deux globes blancs. Le sillon intime apparu. Le portugais colla sa bouche sur l’orifice tout en plaquant ses deux mains sur les fesses douces à la peau satinée.


Une plainte aiguë sortit des lèvres d’Anne-Claire. Les poings fermés, les jointures de ses doigts étaient blanches et prêtes à céder.

A la réaction de la femme, le sang de Manuel ne fit qu’un tour. Il se releva, plia légèrement les genoux, et enfila sa partenaire en un seul mouvement des reins ; progressif mais ferme.

Anne-Claire tourna la tête et fustigea le portugais de son regard bleu :


  • — C’est ce que tu voulais, hein ! Faire plier une femme comme celle qui emploie sûrement la tienne pour faire le ménage et nettoyer les cuivres. Lime bordel, montre ce que tu as entre les jambes !


Fou de colère et de désir, Manuel saisit l’épaule gauche de cette femme qui le provoquait et s’empara de sa hanche droite qu’il saisit à pleine main.


Les coups de boutoir commencèrent à pleuvoir, de plus en plus rapides et à chaque fois rythmés par un cri strident d’Anne-Claire et les insultes de l’homme qui la possédait. La combinaison du Portugais se trouvait à présent au niveau de ses chevilles. Anne-Claire tendis son bras droit vers l’arrière et saisit le bras poilu du mâle qu’elle serra aussi fort qu’elle le pouvait.

Les coups de reins s’accélérèrent. Manuel se pétrifia brusquement, le visage défiguré, les fesses creusées par l’effort et les cuisses tremblantes. Il se vida en plusieurs jets et en pliant les jambes à chaque fois.


  • — Tu es belle, bordel, qu’est-ce que tu es bonne !


Après avoir repris ses esprits, l’éboueur se retira du ventre qui venait d’accueillir son plaisir, retira le préservatif et le jeta dans l’évier.

Anne-Claire resta pliée sur la table un moment, paralysée et essoufflée par les orgasmes successifs qui l’avaient comblée de plaisir puis se releva pour remettre un peu d’ordre dans sa tenue et rajuster sa coiffure.


Les trois hommes avaient remonté leur combinaison et la regardaient sans un mot, presque timidement, craignant qu’elle regrette de s’être livrée de telle sorte.


  • — Bon, ben, on va peut-être y aller maintenant ! Déclara Franck.


Anne-Claire s’approcha de chacun d’eux pour caresser leur joue de la main, un sourire en coin.


  • — Merci Messieurs, je vous adore !


Le portugais lui plaqua la main sur le sexe au moment où elle lui passait les doigts sur le visage.


  • — Toi, salope, je crois que l’on va se revoir bientôt. Mon beau-frère travaille comme contremaître, sur un chantier, dans la zone industrielle. Les ouvriers viennent de toute l’Afrique et logent dans des baraquements sur place. Je suis sûr que tu vas m’appeler bientôt au centre technique pour que je t’emmène jouer l’inspectrice des travaux finis sur place. Je t’attends. J’imagine déjà leur tête quand tu te pointeras.
  • — Ca, c’est moi qui décide ! Répliqua-t-elle en tapotant la joue du Portugais.


Elle les raccompagna jusqu’à la porte et regarda le camion s’éloigner.

Quelques larmes coulèrent sur ses joues.

Allait-elle répondre au défit que Manuel lui avait lancé ?

Allait-elle devenir l’objet d’un chantage ?

Il fallait qu’elle en parle à Solange mais elle savait déjà quelle était sa décision."

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Publié dans : Histoires - Par Z.
Mardi 11 juin 2 11 /06 /Juin 16:14

Chers tous et toutes. La soirée de ce soir est annulée, 

Désolé

Z.

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Par Z.
Mardi 11 juin 2 11 /06 /Juin 15:31

Je suis toujours ravi de vous présenter les soirées de nos amis Aurore et Ludo.



PRESENTE



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EYES WIDE SHUT DANS UN CHATEAU DU XVII ème SIECLE (Département 13)

" Vivez votre vision du libertinage sans aucune retenue en dévoilant tout vos charmes dans l’anonymat "

RESERVE AUX MEMBRES ET SUR  INVITATION UNIQUEMENT : Contactez Aurore au 06.77.89.25.65

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( Formulaire a retourner par voie postale uniquement si vous avez reçu votre carte de membre )

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Publié dans : Présentation - Par Z.
Mardi 11 juin 2 11 /06 /Juin 10:52

Vendredi 21 Juin

21h

Paris

Fêtons l'été avec Naïka pour un plan hard et très pervers.

 

Z,

 

Je suis une femme pudique et pourtant je kiffe la baise.  Mais derrière cette pudeur se cache une femme quelque peu perverse qui aime se faire défoncer la chatte et rêve de cocufier son mari et de l’emmener à la bisexualité forcée.

Afin de me dévergonder,  Jean-Luc  mon mari m’emmènera à Paris pour faire un shooting photo dans un endroit très chic ou hors du commun appartenant à une de tes connaissances.

Le maître des lieux ou toi-même Z viendrez nous  chercher afin de nous conduire en ce lieu que nous aurons convenu ensemble.

Sur place, nous prendrons nos marques et nous pourrons faire plus amples connaissance.

Une fois la glace brisée, nous nous plongerons dans notre scénario.

Pour se faire :

Six à huit beaux mâles d’origine antillaise, blacks, européens de préférence directifs bien musclés style rugbymen, très endurants et avec de grosses queues.

Des hommes bi et actifs (signe de distinction afin de les reconnaitre pendant la soirée ?)

Propreté et pilosité entretenue

Capote OBLIGATOIRE pour toutes pénétrations (hors fellation)

Ma fiotte ne devra pas être uniquement figurante et je tiens à ce que cette soirée soit  aussi la sienne.

Notre couple est très fusionnel et nous resterons toujours dans la même pièce.

Les photos et vidéos seront d’ordres privées et seront faites avec nos appareils uniquement (appareil photos + caméscope fournis par nos soins). Le but étant que ma lope puisse revoir la soirée et de comprendre ce que c’est que d’être bien prise en main.

Concernant les éjaculations, je vous serais reconnaissante de venir les couilles pleines afin que nous en profitions tous.

Ejaculation :

Naika :

Buccale mais recrache.

Sur les fesses ou sur le pubis (la lope se fera un plaisir de me nettoyer).

Bukkake final sur visage si vous êtes endurants et couilles pleines.

Pénélope :

Avalera le sperme sur mes ordres.

Prendra le sperme dans le cul.

 

Je prends mon pied en la fistant (Amateur de photo et vidéo…).

La lope étant très cérébrale, lâchez-vous et soyez crus surtout si je le fist en fin de soirée…

Merci aux bloggeurs et participants de nous faire part de leurs commentaires et s’ils ont des idées pour améliorer ce scénario, situations et tenue je suis preneuse.

Z et les participants peuvent faire en sorte d’exciter ma lope avant notre venue par mails ou tout autre moyens (lettre ouverte au cocu de différents participants au fur et à mesure que la date avance).


 

Scénario :

Nous étions en plein shooting photo depuis presque une heure qu’en Z me fait remarquer que mon mari porte des bas (visibles au niveau des chaussettes).
J’observe mon mari et confirme les dires de Z. Je m’approche et demande des explications à mon homme.
Celui-ci ne sait quoi dire et reste pétrifié de honte.
Je m’insurge et mets immédiatement fin à la séance et lui ordonne de se rendre dans la salle de bain.
Sur place, je lui remets une paire de talons hauts, des vêtements très féminins. Je lui ordonne également de mettre sa magnifique ceinture de chasteté, dont je garderai la clef bien entendu, cette fiotte de mari ayant interdiction de me baiser durant la soirée.
Une fois prête, la lope nous rejoint dans le salon et se mettra à un endroit défini par mes soins, en position assise et yeux bandés (Je choisirai moi-même le moment opportun pour lui faire enlever le bandeau sur les yeux et de préférence pendant que je me fais baiser).

 


Quelques instants plus tard, on sonne à la porte et

 

 

notre hôte va ouvrir.
Je suis en tenue très provocante.
Des amis de notre hôte débarquent à l’improviste et s’invitent dans le salon.
Notre hôte nous présente.
A ce moment-là, la Maîtresse qui dort en moi se réveille, et décide à cet instant qu’elle va profiter de la venue de ces mâles virils en me présentant, n’oubliant pas de montrer du doigt la lope et futur cocu.
J’ai décidément très envie de jouir et je vais bien profiter de ces mâles viriles (tout le contraire de cette fiotte).

 

 


Les hommes se rapprochent de moi, me touchent, me fouillent la chatte à la chaîne pour faire jaillir la fontaine qui dort en moi. Puis, je m’allonge et je demande à me faire lécher la chatte à la chaîne tout en suçant, afin de m’exciter encore davantage.

 


J’ai une préférence pour les doubles vaginales mais rien contre pour essayer la pénétration anale (selon envie du moment) ce qui aura tendance à bien humilier lopette.

 


Je compte sur vos mots crus et situations avilissantes et dégradante.
Durant cette période, la lope n’aura que les oreilles pour m’entendre gémir ou crier, ça le rendra encore plus « fou ».
Un des hommes me demande si la lope est à utiliser comme il se doit.
Bien entendu, je répondrai de façon très explicite en indiquant que la bouche de la fiotte est ouverte et à utiliser.
Les  hommes bi se rapprochent de la lope pour se faire pomper par cette fiotte prêtée, encagée et en position d’offrande.
Les mots crus fusent de tous les côtés.
Les claques sur mes fesses résonnent dans la pièce ce qui a pour but de bien exciter cette chienne.
À un moment donné, tout en me faisant baiser en levrette et en suçant des queues, je ferai signe à Z afin qu’il enlève le bandeau des yeux de la tapette.
Il s’apercevra oh combien la salope que je suis est en train de prendre son pied avec ses amants.
Lorsque je le déciderai, je lui ferai alors signe de s’approcher de moi pour m’accompagner.

J’ai le fantasme de me faire défoncer la chatte au-dessus du visage de ma fiotte (moi en levrette lui dessous) afin qu’il voit bien oh combien je le rends cocu.
C’est pourquoi, je demande aux types de venir me prendre chacun à leur tour sous les yeux de la lopette.
Cette petite bitte devra bien nettoyer ma chatte avant qu’une autre queue me pénètre : elle pourra ainsi constater et voir comment je prends mon pied avec de grosses queues, contrairement à sa petite nouille.

 


La lope devra bien entendu avoir à cet instant sa bouche toujours ouverte au cas où une bitte veuille se fourrer ailleurs que dans ma chatte humide.
Un homme me demande l’autorisation de prendre le cul de la lope : bien entendu, je ne loupe rien de cette pénétration et voit la bitte de cet inconnu disparaître lentement dans la chatte de ma pétasse de cocu.
Mon cocu de mari sera ensuite mis en position levrette, le dos bien cambré pour que son petit cul de pute soit prêt à être fouillé par plusieurs queues bien raides.
Il se fera prendre par derrière et par devant pendant que je ferai une petite pause avec un verre de champagne bien frais.
Regarde ce que c’est une vraie bite cocu ! Regarde comme on va baiser ta femme, elle en a envie n’est-ce pas Naika ? ‘’Oh oui les mecs, venez me sauter, et toi cocu lèche bien les couilles et la rondelle des mecs pour les exciter encore plus !’’
Cette vide couille devra faire tout ce que je lui ordonne et sans rechigner sous peine de punition à définir.
Je lui intimerai l’ordre de venir me lécher le trou du cul et la chatte afin de pouvoir reprendre les queues de mes amants.
S’il me promet d’aller jusqu’au bout de la soirée, je ferais cracher son petit oiseau avec ma main dans son cul.
Je lui parle suffisamment  fort afin que tous les participants entendent bien, et en jouant avec ses testicules bien pleines.
J’ai fait en sorte qu’il soit en manque en le privant depuis un certain nombre de jours à tous plaisirs.
Mon cocu de mari devra me remercier de m’occuper de son zizi ridicule, moi j’ai envie de vrais mecs, avec de grosses bites bien dures. C’est comme ça qu’il doit être dressé !
Je veux que nous soyons souillés de sperme, et que nous ayons le gout de bittes en bouche en rentrant chez nous.
La salope va lécher et avaler tout le sperme de mes amants.

Pour finir en apothéose, j’aimerais finir en bukkake avec le maximum de sperme bien chaud sur mon visage….le maquillage devra couler…

 

DSC0412-copie


À voir, si mérité :

Je lui donnerai la clef pour le  libérer de sa cage et le cocu aura enfin le droit de montrer sa petite bitte et pourra faire couler son jus abondant et épais en se secouant la nouille. Il pourra à son tour jouir que lorsque je lui aurais donné l’ordre de le faire.

 

Le vide-couille, nettoiera sa gamelle en sortant bien sa langue de pute devant ces beaux mâles virils, en faisant honneur à sa Maîtresse.

Une fois terminé, il pourra nous servir avant de vous remercier pour cette soirée.

Je te laisse le soin d’organiser au mieux notre séjour sur Paris, tout en précisant que ce scénario n’est pas exhaustif.

 

Pourquoi ne pas en faire un pèlerinage annuel ?

 

Ton avis Z ?

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Publié dans : Présentation - Par Z.
Mardi 11 juin 2 11 /06 /Juin 09:00

 

degas.classe-danse.jpg

 

degas.jpg

 

Degas_Bain.jpg

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Publié dans : Art(s) - Par Z.
Lundi 10 juin 1 10 /06 /Juin 05:53

Lundi 10 Juin

22h

Paris

Ewa, artiste soumise, photographe à ses heures perdues à envie de quelques hommes, envie d'être tenue en laisse, offerte et offrande aux Dieux des plaisirs.

V1b

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Samedi 8 juin 6 08 /06 /Juin 18:34

Lundi 10 Juin

22h

Paris

Ewa, artiste soumise, photographe à ses heures perdues à envie de quelques hommes, envie d'être tenue en laisse, offerte et offrande aux Dieux des plaisirs.

V1b

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Samedi 8 juin 6 08 /06 /Juin 14:38

 

Allons y franco,

 

Le sexe et l'argent ne font pas bon ménage.

Comme mis sur le titre, les amalgames sont légion malheureusement.

Être dans un pays de tradition judéo-chrétienne ne facilite pas la tache pour un organisateur de soirées libertines.

 

Je vais donc répondre une fois pour toutes, quitte à faire doublon aux questions et doutes légitimes que tout participant(e) à mes soirées peut avoir.

Au départ simple loisir gratuit, mes soirées au fil du temps sont devenues professionnelles et légales et donc payantes.

J'en ai fait mon métier.

Ce métier, je l'adore, je le respecte et comme tout bon entrepreneur je veille à ce que mes services soient plaisants.

J'ai donc crée une société dédiée uniquement à ces activités.

Après consultation de deux cabinets d'avocats, j'ai eu la confirmation qu'organiser des soirées libertines payantes n'est pas illégal.

Moralement parlant c'est autre chose..

Mais un gang bang, gratuit ou payant est de toute façon moralement répréhensible (mariage, religion etc)

On peut sur plusieurs points surtout juridiques, me considérer comme un club échangiste.

A la différence près que je ne vends pas d'alcool, que je n'ai pas de lieu fixe où organiser mes soirées, mais surtout, j'organise sur mesure et à la demande.

Couples et femmes seules :

En venant dans mes soirées, vous acceptez de fait que celles ci soient payantes, même si parfois, moi je vous invite.

Cela ne signifie pas que je vous prostitue ou que je gagne de l'argent sur votre dos.  

J'organise une pluralité masculine pour vous, c'est du sur mesure. 

Organiser sur mesure justement exige beaucoup de temps, d'argent et de connaissances.

Mulitipliez cela par environ 100 soirées à l'année et vous comprendrez que ce n'est pas tenable humainement et materiellement parlant.

Si toutefois, vous ne souhaitez qu'aucun homme n'ait à fournir de participation financière, ce sera à vous de prendre en charge les frais de cette organisation.

Si vous pensez en votre âme et conscience, que l'on ne doit pas mélanger sexe et argent, je le respecterai sincèrement mais je ne pourrai dans ce cas organiser pour vous.

Je tiens à préciser :

qu'en club, les hommes paient

que sur la plupart des sites de rencontres, les hommes paient, vous aussi d'ailleurs.

Que chez d'autres organisateurs, les hommes paient aussi (posez vous la question de savoir qui à réellement payé la chambre d'hôtel, le buffet et les boissons.. ).

Et oui, rien n'est gratuit.

Encore une fois, je parle bien entendu d'organisations récurrentes et régulières de soirées, avec un lieu dédié et du temps consacré.

Hommes seuls :

En venant dans mes soirées, vous savez que vous payez non pas pour "baiser", mais pour participer à une soirée.

C'est clair, net et précis.

 

------

 

Tout cela peut choquer, et je le conçois parfaitement. Je respecte les personnes qui font tout gratuitement. Ce qui était la règle et la norme il y à 5 ans est devenu de nos jours l'exception.

A ma connaissance, il n'existe plus aucun organisateur de soirées libertines  (régulières j'entend) qui le fait gratuitement à l'année et qui régale pour tout le monde.

Tel organisateur, demande une participation aux frais sans gagner d'argent..; mais en gagne beaucoup grâce à son site où ses gang bangs sont mis en produit d'appel. Pire, exige un droit de cuissage sur madame, même s'il n'est pas à son goût; même s'il a des problèmes d'érection ce soir là, même s'il emmerde tout le monde et que, seul, les couples en question ne lui aurait même pas accordé un regard... Bref; j'organise, je m'impose, je baise... Voir d'ailleurs à ce sujet notre blog (pas mal de lecture) http://www.droitdereponse.fr/

 

Tel autre, ne demande rien, mais fait filmer toute la soirée pour la revendre là aussi sur son site.

Untel enfin et c'est encore pire que tout, se sert de sa femme pour "attirer" les hommes seuls, qui sauront que de toute façon, au pire, ils ne repartiront pas bredouilles et pourront se taper sa femme.

Dans n'importe quel cas, l'organisateur aura gagné sa vie. Quelle différence, je vous le demande ?

Chacun fait comme il le sent et je ne juge personne. Je demande à ne pas être jugé en retour.

 

Je constate juste que ce sont les mêmes censeurs que je retrouve soit en club (payant), soit chez d'autres organisateurs (payants là aussi). Où est leur cohérence ?

Ce milieu est minuscule, tout le monde se connait ou a entendu parler des autres. Les colporteurs de ragots (hommes essentiellement, qui se vendent au plus offrant, me fusillant le lundi et me suppliant de les prendre le samedi d'après) foisonnent et créent beaucoup d'animosités envers des organisateurs ne se connaissant même pas.

Z.

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Publié dans : Humeur du moment - Par Z.
Samedi 8 juin 6 08 /06 /Juin 11:28

Vendredi 14 Juin

13h

Pantin


Bukkake.

Je vous laisse découvrir Miss Soumise.

P1080102

 

P1080108

 

P1100011

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Publié dans : Bukkake - Par Z.

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