Dimanche 25 novembre 7 25 /11 /Nov 19:27

Ce billet s'adresse à Jacques, mais aussi à tous ceux qui se posent des questions sur les modes de paiement pour participer à nos soirées.

Je l'ai déjà écrit auparavant, mais apparemment pour certains, cela a été zappé (sûrement de trop belles photos ont dû faire que...).

 

Le paiement via TicketLib  n'est QU'UNE OPTION. Un moyen parmi d'autres. Nullement une obligation.

Vous pourrez toujours régler votre participation aux frais en espèces pendant un gang bang.

N'hésitez pas à me contacter sur mon mail et numéro perso avant d'envoyer un mail douteux à notre prestataire qui nous fait un boulot incroyable (n'est ce pas Jacques).

 

Je tiens à vous informer qu'un paiement via TicketLib est 

1/ totalement sécurisé

2/ totalement anonyme

3/ en cas d'annulation ou non correspondance aux critères de la soirée, votre billet est valable A VIE pour n'importe quelle autre soirée.

Certains d'entre vous pourront en témoigner.

 

Z.

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Publié dans : Présentation - Par Z.
Dimanche 25 novembre 7 25 /11 /Nov 19:25

Chers tous,

Voici la retranscription d'un rêve. Le rêve de Patricia. C'est sulfureux, interdit, bandant, excitant.. Quand on est seul, on regrette de l'avoir lu.

N'hésitez pas à poster vos avis, vos commentaires, elle en raffole.

Bises.

Z.

 

"Début des vacances scolaires, un vendredi soir…je me dirige vers la gare. Pourquoi ai-je choisi un tel jour pour monter faire les soldes à Paris ? J’ai pris un billet en surréservation ; le train va être plein à craquer.

Tant pis ! Je suis en week end, c’est l’été, il fait beau et j’ai deux jours à moi, sans mari ni enfant, seule avec ma carte bleue.

Je me suis mise en jupe et petit top moulant. Je ne porte pas de sous vêtement comme la plupart du temps quand l’été est là ; j’aime sentir une petite brise venir caresser mes lèvres humides ; j’aime l’idée que les hommes que je croise me savent nue et s’affolent de ça. Me sentir désirer ne fait qu’accroître mon excitation et je n’ai alors aucun mal à me comporter comme une chatte en chaleur.

Me voici donc à la gare, mon petit bagage sur l’épaule, le bas ventre en ébullition. Tout à coup je prends conscience qu’un jeune homme me regarde avec insistance. Il est beau, plus jeune que moi. Je le passe brièvement « en revue » et arrive à sa braguette imaginant ce que je pourrai trouver derrière : un beau gland circoncis et régulier assez large. Nos regards se croisent, nos échangeons un sourire. Mais décidée à être sérieuse, je me dirige vers mon train.

Je me retrouve assise avec 3 autres personnes, 3 hommes, la cinquantaine, plutôt pas beaux. Mais petite salope que je suis (dixit mon mari) je me plais à les allumer : je remonte un peu plus ma jupe, croisant et décroisant les jambes ; je frôle mes tétons en feuilletant mon magazine puis je m’étire doucement pour que personne ne puisse ignorer que je pointe comme une folle.

Ce petit jeu m’excite et j’ai bien envie d’aller me masturber un peu. Je me lève alors pour me diriger vers les toilettes. Je suis à peine debout que j’aperçois à deux places de moi «  le jeune homme » du quai. Je le regarde avec insistance, il me sourit ; je passe mon chemin. J’ai soudain une folle envie de lui. Je rentre dans les toilettes du TGV à peine propres, avec le fol espoir qu’il va m’y suivre. Je commence à me masser le clito ; mais la mauvaise odeur du lieu aura raison de mon excitation et je décide assez vite de regagner ma place. A peine sortie, je me retrouve face à mon bel inconnu ; il nous faut nous croiser dans cet étroit couloir. Nos corps se touchent, je passe « mine de rien » mes tétons durcis sur son bras. J’ai des frissons. Ce garçon a un sacré sex-appeal. Je suis chaude comme la braise, prête à me faire prendre là tout de suite. Pourtant juste un sourire à nouveau.

Je regagne ma place pour les quelques minutes de trajet qu’il me reste, partagée entre l’envie de lui donner un rencard et je ne sais quoi qui me retient.

Nous voilà arrivés à Paris ; je dois rejoindre mon hôtel. Direction le métro, les quais sont bondés, pas le temps de traîner. Je jette un dernier coup d’œil en direction du mec, un dernier sourire entendu. Pourquoi moi qui d’habitude très à l’aise avec les mecs et qui assume sans complexe mes envies de pluralité et mes pratiques échangismes, suis-je si troublée par celui là, au point de ne pas oser l’aborder ?

J’arrive au métro ; un flot de passager descend, un autre monte dont je fais partie. Nous nous engouffrons tous tassés les uns sur les autres. Pas possible de se retourner, j’ai le buste plaqué sur mon voisin de devant. C’est limite suffocant.

Tout à coup je sens une main qui frôle ma cuisse, puis qui devient plus insistante ; je ne bouge plus. Cette main est douce, des doigts fins et longs qui remontent maintenant jusqu’à la base de mes grandes lèvres. Je suis dans un état second. Malgré l’angoisse qui m’habite, je ne peux m’empêcher de mouiller comme une folle.

Puis un doigt fouille mon inimité, m’arrachant un petit soupir discret. Est-ce que vraiment j’ai envie de savoir qui a l ‘audace de me fouiller ainsi ? Car maintenant c’est une vraie fouille en bonne et due forme, des vas et vients réguliers au fond de ma petite chatte et moi «  tétanisée », les yeux fermés, me retenant de haleter comme une garce. Je suis proche de la jouissance quand tout stoppe. Je le regrette… J’ai envie de me faire prendre profondément, à 4 pattes, la croupe en l’air, par des grands coups de butoir. J’ai envie de me retrouver la bouche remplie d’un gros chibre que je pomperai vigoureusement avant de me délecter de jute chaude. J’ai envie d’être chienne.

J’ouvre les yeux ; mince nous avons déjà passé 6 stations soit 4 stations après celle où je devais descendre ; ce métro est de plus en plus plein. Nous sommes tassés les uns sur les autres. Je suis alors envahie par un sentiment de panique, pourtant je ne bouge pas.

Puis je me sens à nouveau « investie » ; mais cette fois ci il ne s’agit pas de doigts. Je n’ai aucun mal à sentir que je suis pénétrée par un sexe, de bonne taille et qui plus est sans préservatif. Je suis furieuse que quelqu’un me prenne ainsi pour un vulgaire «  trou » et en plus n’ait pas le respect de se couvrir. Je devrais hurler, me dégager, pourtant je me laisse faire. Et les vas et vients discréts se font de plus en plus hards au rythme des coups de frein du métro.

Nous sommes à 4 stations du terminus, je ne touche plus terre, j’ai envie de laisser éclater ma jouissance. Je me mords les lèvres. Mais pourquoi personne ne voit pas ce qu’il m’arrive ??? D’un côté « entassés » comme nous sommes, c’est presque impossible à détecter.

Dernière station avant le terminus ; je sens un souffle plus chaud dans mon cou, puis quelques spasmes et me voici l’entre jambes envahi d’une chaude liqueur. Je n’ose y croire : je viens de me faire remplir la chatte là dans une rame de métro, entourée de monde, par quelqu’un dont j’ignore tout, même le visage,…..et j’ai pris du plaisir !!! Un énorme plaisir même. Je m’en veux…..

Il me faut reprendre mes esprits et retrouver ma route. Je descends au terminus et je déambule dans les couloirs du métro, du sperme dégoulinant le long de mes cuisses. Je monte à nouveau dans un wagon, celui qui me ramènera vers ma destination, tel un zombi. Cette rame est presque vide. Je suis stressée, envahie de culpabilité. Celui qui m’a prise était il sain ? Que va dire mon mari ???Je suis livide quand un jeune homme vient s’asseoir à mes côtés : celui du quai de la gare. Que fait il là ?? Soudain je suis beaucoup moins avenante. Puis il me parle, se présente, c’est Romain, il a 27 ans. Je l’écoute à peine jusqu’à ce qu’il me demande si j’ai aimé « cette baise à la sauvette » Je tressaille ; comment sait il ? AH   c’était donc lui. Je m’énerve, j’ai envie de le taper, il le sait et enchaîne donc vite sa fin de l’histoire : « c’est ton mari qui a tout monté, qui m’a missionné. Je n’ai été que l’acteur de ce petit scénario imaginé par ton vicieux de mari ; je dois dire que je n’ai pas été déçu, en voyant les photos et quand ton chéri m’a proposé ce plan, j’avais très envie de te prendre mais je n’imaginais tout de même pas que tu étais aussi chaude. Tu es une vraie petite chienne et j’ai adoré ça "

OUAH ….Mon mec à moi était à l’origine de tout ça. Tout à coup je me suis détendue.

Romain m’invite à boire un thé, nous bavardons ; j’en profite pour appeler mon homme et lui raconter en détail ce qui vient de m’arriver à ce petit salaud. Mais il le sait déjà ; il a eu Romain au téléphone. Je le sens très excité : savoir sa femme à 250 kms de lui la chatte souillée par un autre mec ( sain et choisi par lui)le met en émoi. Je me sens redevenir garce de le sentir ainsi.

Je raccroche « reboostée » et continue ma conversation avec Romain ; décidément il en a du charme ce mec là !!!

Deux heures plus tard, arrivée à mon hôtel et après avoir pris une bonne douche, je rappelle mon homme. J’ai la voix qui tremble, je hâléte comme une chienne, au rythme des coups de reins virils de Romain que j’ai invité……."

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Publié dans : Histoires - Par Z.
Vendredi 23 novembre 5 23 /11 /Nov 10:32

Suite à un désistement, il reste une place pour le petit gb de cet après-midi à 16h dans un célèbre Palace parisien.

Hommes européen 35-50 ans, correctement habillé, ponctuel et sachant baiser aussi bien comme un soudard ou comme un saint cyrien (comprenne qui pourra chère Isa).

Appelez moi directement au 06.58.29.97.49

Z.

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Jeudi 22 novembre 4 22 /11 /Nov 16:18

Jeudi 29 Novembre

13h

Pantin

 

La miss nous revient pour un plan hard en après-midi.

La miss, tatouée, péroxidée, déchaînée, offerte humide et en mode chienne de compétition, reste frustrée de n'avoir pas assez croqué d'hommes lors de son séjour au Cap d'Agde.

Cette fois ci, elle souhaite un petit gang bang suivi d'un bukkake dans notre loft.

Attention, places limitées.

Z.

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Jeudi 22 novembre 4 22 /11 /Nov 16:18

Lundi 26 Novembre

Pantin

13h

      

Aude, ma copine du sud sera parmi nous pour fêter son anniversaire.

Devinez ce qu'elle aime par dessus tout ?

Aude adore lire vos commentaires et se caresser en les lisant.

Aude adore les jeux de sperme et souhaite un super gang bang suivi d'un bukkake.

Z.

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Mercredi 21 novembre 3 21 /11 /Nov 21:37

Vendredi 23 Novembre

16h

Paris VIème

COMPLET

 La pluralité hard de Madame de ***

Véritable aristocrate bourgeoise provinciale.

Cette jeune femme, s'offre un après-midi SELECTGANGBANG avec 6 étalons sélectionnés par mes soins.

J'appelerai les élus personnellement.

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Mercredi 21 novembre 3 21 /11 /Nov 21:35

Jeudi 22 Novembre

21h

Paris IIIème

COMPLET

Le Gangbangshards de la sublime Anna.

Femme sublime pour corps à corps hards.

Avouons-le, Anna est une sublime salope, adorant être prise debout ou toujours dans des positions hards.

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Mercredi 21 novembre 3 21 /11 /Nov 15:06

Samedi 1er Décembreh

Paris XIème 

21h

 

Vous avez été nombreux à me contacter pour participer à la soirée avec Lina.

Lina vous a entendu, écouté et réellement excitée

Elle sera parmi nous le 1er Décembre.. et pas seule.

4 couples en tout, en goguette à Paris.

Cette soirée, vu les envies hards de Lina sera je pense, une des plus chaudes de l'année.

Les places sont ultra limitées comme vous vous en doutez.

Merci pour votre compréhension

(Victor, Mattéo, c'est ok pour vous deux)

Z.

 

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Mercredi 21 novembre 3 21 /11 /Nov 11:45

Hello, vous trouverez ici =>  Catalya pour Jean-Paul Four Catalya pour Jean-Paul Four le nouveau book de Catalya

Vous trouverez aussi sa fiche chez notre partenaire : www.netechangisme.com en cliquant là =>  Inscris toi sur Netechangisme . Son pseudo est : BOBBIE1

La miss sera parmi nous sûrement début Décembre.

Bonne visite.

 

ps : dites moi si vous souhaitez plus d'album

Z.

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Publié dans : Présentation - Par Z.
Mercredi 21 novembre 3 21 /11 /Nov 09:33

Mardi 4 Décembre

13h

Pantin

Un petit mail pour moi, mais surtout pour vous messieurs suite à une visite personnelle dans l'antre de cette sublime et sensuelle salope.

Lisez-bien.

Z.

"Bonsoir Z,


Voici donc le menu désiré pour le déjeuner du 4 décembre :)

Tout d'abord, je commence par mes "exigences" :

Entre 6 et 9 hommes viennent très motivés pour me baiser la bouche, et le cul. Et qu'ils soient passés par la salle de bains avant bien sûr. Savoir qu'ils viennent tous d'autants d'horizons différents dans le seul but de me saillir me met dans tous mes états. Cela m'excite par avance d'imaginer toutes ces queues autour et en moi.

Savoir qu'ils vont me surprendre en train de me faire prendre par mon mari, puis que celui-ci se mette en retrait pour m'offrir à eux me fait mouiller constamment ma culotte. D'ailleurs je me demande si je vais continuer à en porter à ce rythme là.

 

Donc, vous l'aurez compris,  je veux pouvoir faire les préliminaires avec mon mari, seuls (enfin, tu peux être présent), avant l'arrivée des messieurs. 

 

Alexandra-italienne-paris6 3819FLOU
Le reste est assez ouvert, ma fica (figue en italien, l'équivalent de notre chatte en français) accueille chaleureusement 2 cazzi (bites), mes fesses apprécient aussi une bonne fessée, mes seins aiment branler... Les hommes seront libres de me prendre selon leurs désirs (mais pas plus que de douces violences toutefois), et de jouir comme et où ils veulent.

Alexandra-italienne-paris6 3926

Je trouve toutefois dommage de les voir jouir dans leur préservatif alors que mon corps en bonne plante italienne, belle et vénéneuse aime être arrosé et ma bouche être épanchée.

Mon mari sera présent et participera ou non, selon son désir du moment. Je serai aussi soit avec soit sans bandeau.

Alexandra-italienne-paris6 3830
Je ne recherche pas la performance de durée, de taille de pénis ou autre, mais uniquement de l'intensité.

Ah oui, j'oubliais, pas de pénétrations sans préservatifs, c'est dommage, j'aurais tant aimé que mon cul déborde de tant de sperme, mais je dois me protéger.

Pour les fellations, pas besoin.


Merci de prendre soin des fantasmes des femmes, des miens en particulier, 
 

Je t'embrasse...
 

Alexandra

ps : si tu as besoin d'un peu de vocabulaire cochon en italien pour ton voyage à Venise, n'hésite pas !!!

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 12:13

En à peine 24h quasiment tout le monde à joué le jeu.

L'idée du formulaire est bien reçue parmi vous tous.

Je comprends parfaitement Didier lorsqu'il évoque ses craintes de piratage de données.

Nous travaillons pour avoir un fichier totalement hermétique.

Didier, merci beaucoup d'avoir mis le doigt dessus.

 

Comme vous devez le noter, nous faisons en sorte chaque mois, chaque semaine, chaque jour d'améliorer encore et encore.

Nous avons la prétention de croire que nous n'organisons pas seulement des gang bangs, mais surtout de vous offrir l'espace d'une soirée, un endroit où vous pourrez être tout à fait vous mêmes.

Sans tabous, sans arrière pensée, sans stress.

C'est vraiment cela l'idée que je me fais d'une soirée libertine. Pas seulement sexuelle (même si nous avons la réputation d'avoir les soirées les plus chaudes, les plus hards de la région), mais surtout un lieu, un moment pour se libérer totalement l'esprit et oublier le quotidien.

Je rêve du moment si proche où chacun passera dire bonjour en fin de journée. Discuter avec Fred ou Marc.

Recevoir Rayane ou Jacques. Des moments de complicité incroyable avec un autre Fred (celui des billets de banque)

Mes meilleurs moments depuis 5 ans maintenant sont les moments non sexuels (en même temps, je ne participe pas quand j'organise).

Je me rappelle d'une soirée à Morangis

Je me rappelle d'une soirée gang bang où personne n'a gang bangé Opaline car Pierre notre masseur l'a tellement faite jouir que tous les hommes présents ont préféré seulement regarder.

Je me rappelle d'un trajet dans une vieille Clio pour aller à Maisons Laffite fait que de rires

Je me rappelle de fous rires avec Pamy et Selim sur les Champs Elysés.

Je me rappelle d'un diner, il y a peu avec Matteo, Victor, Sylvain, Solenn et Erwan et Marie chez Pizza Pino (n'y allez pas le service est excecrable).

Quelle formidable soirée.

Je me rappelle d'un rendez vous chez un éditeur pas plus tard que ce midi avec Ressan.

Je me rappelle d'une nuit passée dans les bras de ma belle Patricia.

Je me rappelle de Sly, Jean, Fely, Pamy, le Dj qui à tour de rôle cherchent sous un pretexte futile (un poivre inexistant) à entrer dans la chambre où je suis en charmante compagnie  juste pour avoir le plaisir de me voir pour une fois semi nu.

Je me rappelle.

Je me rappelle.

Je me rappelle.

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Publié dans : Humeur du moment - Par Z.
Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 12:08

Drôle, artistique, détournant.. Tout ce que j'aime.

Z.

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Publié dans : Art(s) - Par Z.
Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 12:06

Ma femme et moi c’était l’histoire d’amour parfaite. Une rencontre à dix-huit ans avec une brune ravageuse et angélique, un mariage à vingt ans et puis une vie sexuelle épanouie libertine, perverse, enfin de quoi faire rêver l’être humain moyen qui nous regardait toujours avec envie.

Il faut dire que Patricia est belle avec ses cheveux noir d’encre et sa peau claire. Son visage de gamine dans un corps de femme plus mure. À dix-huit ans déjà elle donnait l’impression d’avoir un corps très légèrement marqué par les mains des autres. C’est ce qui la rendait excitante : son corps semblait fait pour être touché autant que regardé. Abandon et fermeté.


Tout était parfait. À chacun de mes désirs les plus pervers elle apportait une réponse plus perverse encore. Elle commandait, choisissait les moments où on faisait l’amour et les moments où on baisait, puis l’usure aidant elle choisissait les jours et enfin elle s’est mite à ne plus rien choisir du tout. J’essayais toutes les tentatives d’approche possibles et imaginables, le matin, le soir, romantiques ou violentes, mises en scène ou improvisées, plus rien n’y faisait, je devenais une figure imposée. Elle ne me rejetait pas toujours mais je ne sentais plus dans ses yeux le désir que j’y trouvais autrefois, et cette indifférence me rendait malade si bien que pour ne plus souffrir j’ai trouvé une parade, d’acteur dans la sexualité de ma femme, je me suis progressivement, et malgré moi, transformé en voyeur.


Les rares fois où on faisait l’amour, je lui demandais, je la suppliai, de se caresser, comme pour ne plus avoir à la toucher, et pour la première fois elle résistait. La garce ne supportait pas de ne pas diriger les opérations. La nuit, je la touchais dans son sommeil. Je fermais les yeux pour qu’elle se croie seule et j’espérais qu’elle me trompe avec elle-même. Mais, à chaque fois, au moment d’en venir aux mains, elle s’arrêtait comme prise en faute.

Je m’humiliais à me masturber la nuit alors que je la savais éveillée, " Tu ne veux pas de moi, je me prends seul".

Puisqu’elle ne jouissait plus de moi alors je la rêvais jouissant d’elle-même, puis jouissant d’un autre. Pas une vraie personne mais un anonyme le plus différent de moi possible. Un mec, un vrai, pas moi. Je rêvais comme un masochiste qui se fait mal volontairement.

J’étais soumis, c’est comme ça que j’ai commencé à y prendre plaisir… elle aussi…


Sa domination, c’était son indifférence, ma soumission c’était mon désir incontrôlable. Tout cela baignait dans une atmosphère quotidienne sans aspérités, dans la confiance mutuelle d’un amour presque fraternel.




La semaine dernière, un de ses anciens amis est venu manger chez nous. Rachid était accompagné d’un dénommé Habib. Sorte de grand dadais d’origine sénégalaise qui a tout de suite remarqué mon absence totale de sex-appeal et, au contraire, l’allure de femme fatale de Patricia. On boit un coup puis un deuxième, un troisième, on rigole bien mais je sens confusément que quelque chose ne va pas : on ne m’écoute pas quand je parle. Même elle, elle me sourit toujours, mais elle ne m’entend pas.

Il est onze heures, je suis le plus bourré de tous, les deux zouaves me regardent amusés, enfin je crois qu’ils me regardent amusés. Plus je bois, plus elle me méprise, plus elle me méprise, plus je bois et plus ils rient de me voir tituber.

Ils commencent à lui faire des compliments sur la maison, arrangée avec gout, puis sur son élégance, puis enfin ils commencent tous deux à lui dire qu’elle est belle, je la sens flattée, j’enrage, je ne dis rien. Même quand l’un des deux s’assoit à côté d’elle, je ne dis rien. Viens que je t’effleure la main, viens que je me colle à toi, vient que je t’effleure les seins en attrapant la bouteille de vin. C’est un match au sommet pour emporter les grâces de la belle. Très vite, Rachid est battu. Il voit bien qu’elle ne chasse pas la main d’Habib quand il la pose sur sa cuisse, l’air de rien, accompagnant une bonne blague d’un geste intime. Moi aussi, avachi sur le divan, dans le brouillard, je le vois bien, qu’elle rit bêtement quand il lui parle, qu’elle pose sa mais sur son épaule quand elle se lève.


Il s’accroche le Rachid mais il est encore plus battu que moi qui ai finalement déclaré forfait depuis le début. Du coup, au bout d’une heure enfin, d’un temps interminable, j’ai arrêté de compter depuis longtemps, il finit par battre en retraite et se barre espérant qu’Habib parte avec lui. Personne ne le retient mais personne ne l’accompagne et je l’entends vaguement descendre les escaliers sans me dire au revoir, il faut dire qu’on ne dit pas au revoir à un meuble.


Patricia et son bellâtre restent seuls. Ils balancent des banalités sur le Sénégal, sur la chaleur du climat et des corps qui ont une formidable aptitude à bouger en rythme Comme tout le monde, elle trouve que c’est super beau des muscles sur un corps de noir (ça tombe bien) alors que sur un blanc… Comme tout le monde il trouve que les blanches sont plus libres, les lieux-communs c’est pratique pour faire semblant de se parler quand on commence à se toucher…

Il est trois grammes à ma montre, c’est l’heure à laquelle je m’endors, enfin pour ne rien cacher je fais semblant, je ne sais pas ce qui me prend mais je décide de mettre son amour à l’épreuve et je ferme les yeux…


  • — Il est drôle ton copain.
  • — Je sais pas ce qui lui prend, il ne fait pas ça d’habitude.

Elle me secoue, je dors…


  • — Tu devrais aller te coucher.
  • — On le laisse dormir ici…

Elle est surprise je le sens, elle ne sait pas quoi penser.


  • — Tu veux dormir ici mais…
  • — Avec toi…

Il l’entoure de ses grands bras, elle tourne toujours le dos vers moi qui suis avachis à côté d’elle. Je l’entends qui respire fort, elle se demande comment elle va refuser ça. Pas comment elle va le lui refuser à lui, comment elle va SE le refuser…

Elle tente d’écarter ses bras, il s’y prend bien l’animal, il l’effleure, elle respire de plus en plus fort…


  • — Je ne te plais pas ?
  • — Si….
  • — Toi, tu me plais beaucoup.

Elle souffle… oui ?

Il l’embrasse doucement dans le cou, je ne bouge toujours pas, elle tourne sa tête vers lui, elle le regarde avec ses jolis yeux inquiets, presque… aimants. Lui ne quitte pas son joli cou pale du regard…


  • — Tu as déjà couché avec un noir.
  • — Non.
  • — Tu vas voir…

Il remonte ses lèvres vers l’oreille de ma belle et embrasse son lobe, elle ferme les yeux, elle souffle, attrape les mains noires qui caressent ses seins tendrement à travers ses vêtements, elle n’essaie plus de les enlever, il a gagné. Je dors.

Ils s’embrassent à côté de moi, la tête tournée, elle a peur, de temps en temps elle me jette un regard inquiet, toujours au bord de la marche arrière, mais elle l’embrasse et c’est bon de l’embrasser on dirait deux amoureux. Je distingue ses seins qui remuent lentement quand il la touche. En bon professionnel il a défait son soutien-gorge à travers le chemisier… trop tôt ? Elle hésite, lui pas. Tendre peut-être mais ferme, il lui écarte les jambes et faisant le tour de sa taille, caresse l’intérieur de ses cuisses d’une main, en lui tenant fermement le cou de l’autre. Le chasseur tient sa proie, il ne veut pas la lâcher. C’est interminable, elle est de moins en moins tendue, elle se laisse faire, et moi j’attends le moment ou l’abandonnée va devenir putain.


Je ne suis plus saoul, au contraire je pense que je n’ai jamais été aussi lucide de toute ma vie. J’ai conscience de tout ce qui se passe dans la pièce avec une précision incroyable. Je sens les cuisses de Patricia bouger au rythme de la main de son amant. Je sens l’odeur de son haleine, lourde et chaude quand il lui lèche le coin des lèvres. Je sens la racine de ses cheveux frémir. Je la sens amoureuse de ces gestes, de ce corps, de ce phantasme vivant. Je sens cet amour de circonstance et je sens tout le mépris qu’il a pour cette petite blanche si facilement vaincue.

Je prends plaisir à cette déchéance. Je suis soumis, à mes propres yeux, ce n’est plus drôle. Mais elle…

Des gémissements lui échappent mais maintenant elle s’en fout. Elle se mord la lèvre inférieure, elle gémit quand même, il lui mord légèrement la langue, elle manque de crier.


  • — On va à coté, ici je ne peux pas, les voisins…

Je ris en silence. Je suis sur le même divan qu’elle et elle se soucie du gamin d’en face qui est effectivement en train de se branler sur son balcon en la regardant…

Habib ne répond pas, défait la fermeture éclair de son pantalon et glisse sa main dedans… cette fois ca y est, elle a crié.


  • — Tu veux vraiment que je m’arrête ?

Elle supplie presque.


  • — Non !

Il lui dit doucement :


  • — Ma petite salope blanche veut que je continue ?
  • — Oui…

Il défait le chemisier complètement, le soutien-gorge défait a lâché un sein. Les gestes du noir sont langoureux et brutaux à la fois. J’admire. Il lui tient le ventre à la griffer tout en caressant doucement sa chatte. Le pantalon de ma femme est sur ses genoux. Il l’enlève elle se tourne vers lui et l’embrasse complètement. Il l’allonge sur le divan. Ironie du sort, sa tête s’appuie sur moi ! Ne pas bouger, surtout ne pas bouger… Comment peut-elle ne pas s’apercevoir que je bande comme un fou.

Elle est nue. Il est sur elle, l’embrasse, il descend sur sa poitrine, lèche ses seins, les mord.


  • — Touche-moi…

Deux ans désirs qui débordent. Il le sent….


  • — Ton mec ne te suffit pas, ma petite salope blanche veut du nègre….

En poussant sa tête vers ses cuisses, elle bafouille :


  • — Oui lèche ma chatte avec ta langue, oui lèche.

Je ne l’ai jamais vue comme ça, elle se tord la tête sur mon ventre elle a les yeux fermés, elle tient la sienne sur son sexe, ses seins bougent dans tous les sens, elle bave, vengeance…

Lui, accroupi à l’autre bout du divan, se marre, il la regarde et lui parle.


  • — Petite chienne, tu me veux
  • — Oui, je suis une petite pute blanche et je te veux, je suis à toi…

Il s’arrête, la main gauche enfoncée profondément dans son vagin. Il est beau, toujours habillé, il n’a même pas l’air d’être excité (un comble).

C’est elle qui se relève pour se jeter sur lui, il n’a pas besoin de parler. Elle se redresse, cette fois il est debout et elle agenouillée à l’autre bout du canapé, dos à moi. Elle balaye tout son corps avec ses mains, défait comme une assoiffée sa ceinture tout en l’embrassant, en lui disant qu’elle est sa chienne blanche, qu’il est son amour, tout pour elle…


  • — Répète, dit-il.
  • — Je suis ta pute, ta chose, je suis ce que tu veux…
  • — Encore…

Elle répète…


  • — Encore…

Il la regarde avec dégout, lève les yeux vers moi en souriant et là je me rends compte que j’ai les yeux grands ouverts, je ne sais pas depuis combien de temps.

Ceinture par terre, braguette ouverte, il est triomphant. Elle, les bras sur la poitrine du black, elle suce autant qu’elle peut, elle le boit.


  • — Touche-toi, dit-il…

Elle lâche sa grosse bite en continuant à le sucer à le lécher, ses mains humides descendent le long de son cou, attrape ses seins…


  • — Griffe-toi.

Et elle se griffe la poitrine, le ventre et enfin la chatte. De dos je ne vois que sa main, entre les bruits humides de masturbation et de fellation, j’entends des ordres, des mots d’amour, des insultes…

J’admire ce mec. Il la traite de pute, tout en lui caressant doucement les cheveux, il n’a pas besoin de bouger, elle lui répond qu’elle l’aime… je n’en reviens pas. Mais je n’en peux plus, à mon tour, je commence à me caresser la bite a travers mon pantalon d’abord puis, perdant complètement ce qui me reste de dignité. Les mouvements de sa tête sont de plus en plus amples, elle doit sucer un mat, en même temps, je la vois qui bouge ses reins de plus en plus vite. Je distingue ses deux mains qui malaxent son entrejambe. Elle gémit si fort qu’elle couvre les bruits nocturne de la rue.

Un mouvement plus violent que les autres, elle se dresse sur ses genoux. De dos, je vois clairement une de ses mains entrer entièrement dans son vagin et sa tête s’écraser sur le ventre de son amant… le bruit de succion s’arrête, elle a des soubresauts, elle jouit ! Lui, la tête en arrière, les bras le long du corps, il lui éjacule dans la gorge.


Il n’y a plus que moi qui fais du bruit… Elle s’en moque, je n’ai pas d’importance, elle ne pense qu’à l’avoir en elle, sur elle. Il l’écarte lentement… elle s’assoit les jambes écartées.


  • — Je vais te prendre

Je vois à nouveau le visage de Patricia, toujours plus belle, les yeux mouillés… Regardant le noir se glisser entre ses jambes ouvertes et enfoncer son sexe dans son vagin…

Elle est effrayée, elle le repousse. Il a l’habitude, il entre doucement, elle grimace au début, puis les muscles se détendent, elle recommence à souffler en rythme.


  • — Je te plais, dit-elle, elle te plait ta petite salope blanche, et puis touchant son ventre elle est si grosse ta queue, si grosse….

Cette fois il ne prend plus aucune précaution, il la laboure de plus en plus violemment et elle crie de plus en plus fort. Tout son corps bouge. Elle l’agrippe par les épaules, je vois ses seins blancs frotter les muscles noirs. Elle cherche sa bouche pour l’embrasser, le regarde soumise, lui touche le visage en tremblant, en criant et écarte ses jambes autant qu’elle le peut, Elle s’offre comme elle ne l’a jamais fait pour moi.

Soudain, il la repousse en tirant violemment sur ses cheveux longs pour la plaquer contre le dossier. Il lui malaxe la poitrine en lui enserrant la gorge et elle en redemande, il la viole sous mes yeux et elle en veut encore…


  • — Oui, plus fort mon amour, j’en veux.

Il rugit, lui met deux doigts dans la bouche et la déforme. Elle ne mord pas, elle suce.

Son sein gauche est rouge du traitement qu’il subit, elle a les traces de sa poigne sur ses fesses et son ventre. Il est brutal, tendu, superbe.

Je m’avance pour la toucher, il me repousse… Elle ne fait pas un geste pour m’attirer. Au contraire, elle lui attrape la main pour qu’il serre sa chair plus fort encore, et je retourne me branler dans un coin…


  • — Regarde petit blanc, comme elle jouit ta pute, tu savais pas, hein, qu’elle en voulait comme ça, hein ?

Il la gifle et cette salope dit oui, hein, « Tu savais pas, regarde ! », elle crie « Encore »… il lui frappe les seins, les écrase dans ses doigts… « Regarde ! » « Encore …encore….encore…… »

Droit comme un « I », il la domine de tout son buste et la regarde prendre plaisir à sa souffrance, à ses coups,


Je les regarde fasciné et envieux… je crève d’envie…




Soudain il la tire contre lui par la nuque, se penche sur elle, je la vois qui prend une dernière respiration et qui hurle de plaisir, pendant que lui se tord sous l’effet d’un orgasme… il l’attrape se lève en lui tenant simplement les reins et la retourne. C’est lui qui est assis maintenant et c’est elle qui s’active. Sa croupe bouge violemment d’avant en arrière pendant elle attrape un de ses seins et le lui glisse dans la bouche…

Il l’aspire complètement dans sa bouche, il la suce d’abord et puis mord. Elle a mal, je le sais, je la connais mais elle est heureuse de se sentir désirée à ce point. Et de désirer comme une folle.

Elle me regarde et ses yeux disent : regarde comme c’est bon un homme…


Il lui glisse un doigt dans l’anus puis deux, puis trois et enfin tous les doigts en dehors du pouce… elle, la tête en arrière, a les yeux révulsés… Elle arrête de respirer se tord une ultime fois en criant… tous ses muscles tendus vers le sexe de son amant et elle semble éclater de l’intérieur au moment de son dernier orgasme… Je ne l’ai jamais vue jouir comme ça, je ne l’ai jamais vue jouir du tout…


Elle s’est affaissée sur lui, l’a embrassé lentement pendant un très long moment sans bouger Les mains pleines de mon propre sperme, je les regarde se faire l’amour doucement, je suis bien…


Depuis cette soirée, silence radio, j’évite de boire et elle regarde beaucoup plus les hommes noirs dans la rue. Moi aussi d’ailleurs…


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    Publié dans : Histoires - Par Z.
    Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 12:03

    Je vous invite chers lecteurs a découvrir ce site si ce n'est déjà fait : www.gangbang-amateur.net sur la toile.

     

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    Z.

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    Publié dans : Soirées - Par Z.
    Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 12:22

    Samedi 08 Décembre

    21

    Loft Paris 11eme

     

     

     

    Soirée très privée.

    2 belles femmes

    10 hommes

    Christina, toujours en quête d'un week end vraiment riche en émotions.

    Christina-bukkake 2098

    Et enfin Nataly, belle brune et très soumise

     

    Photo 095

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    Publié dans : Gang Bang - Par Z.

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    • : 03/01/2009

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