Mercredi 31 octobre 2012 3 31 /10 /Oct /2012 19:05

Voici le mail que Miss J à reçu ce matin au bureau.

Ma Chérie

J'espère que, comme je te l'ai demandé, tu as bien réfléchi à la tenue que tu vas porter demain !!!

Cette tenue doit traduire ton statut de soumise, de chienne car oui dorénavant tu seras "Soumise J et/ou Chienne J"
Elle doit permettre à n'importe quelle personne d'avoir accès avec facilité à tes parties intimes, elle doit te permettre d'être à l'aise dans toute position tout en conservant ton côté raffiné, sensuel mais pas de vulgarité.

Comme je te l'ai déjà dit, nous allons poursuivre ton éducation pour faire de TOI, la pute soumise que tu aimes être, la Salope offerte pour être avilie, baisée, soumise par qui que ce soit !

Tu devras donc demain, comme à chaque fois me faire confiance, te donner entièrement, t'abandonner et offrir ton corps pour qu'il ne soit qu'objet de plaisir !!!

J'espère que c'est bien clair; tout comportement autre provoquera punition, engendrera supplice.

Demain Chienne J, c'est ton jour, c'est un pas de plus que tu franchis dans ton plaisir d'être un vrai vide-couille

Est-ce clair ?

Ton Maître Olivier 
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Par Z.
Mercredi 31 octobre 2012 3 31 /10 /Oct /2012 19:00

La belle Alina nous rend enfin visite en ce mois de Novembre.

Z.

Soyez en forme, c'est Noël

 

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Publié dans : Soumises - Par Z.
Mercredi 31 octobre 2012 3 31 /10 /Oct /2012 10:50

Chers tous,

Nous avons parmi nos visiteurs, une visiteuse du prénom de P.

P. est une obsédée sexuelle, avide de sperme et de baise dans tous les sens. 

Elle est aussi très cérébrale. Bref, la femme parfaite. (Bises à son chéri A. aussi au passage).

Cette belle histoire trouvée sur Revebebe.com est pour elle.

 

Ps : Patricia sera demain parmi nous à notre soirée, mais chut, son chéri n'est pas encore au courant.

 

 

Quand Madame de Marans lui a proposé de l’accompagner à un dîner chez le Prince, Caroline n’a pas hésité un instant. Madame de Marans lui a recommandé de s’habiller avec élégance, mais assez légèrement. C’est vrai qu’il fait chaud. Elle a donc choisi de mettre une robe assez simple aux épaules nues, qui mette bien en valeur sa poitrine mais ne la serre pas de trop près. Le bas de la robe est fendu, laissant apercevoir ses longues jambes galbées quand elle marche. Madame de Marans a sans doute une autre notion de ce qu’est une tenue légère : sa robe est tellement décolletée que sous le fin fichu de soie qui couvre ses épaules, ses gros seins sont dénudés jusqu’au mamelon dont on devine la moitié de l’aréole ! La soirée promet d’être chaude, se dit Caroline.


À leur arrivée chez le Prince, plusieurs convives sont déjà là, en train de s’entretenir gaiment en buvant un verre de vin. Caroline comprend qu’elle se retrouve dans un dîner galant : les femmes sont toutes plus belles et désirables l’une que l’autre, dévoilant sans vergogne leur corps et jouant de tous leurs charmes pour séduire leurs convives. La maîtresse de maison est la plus spectaculaire : elle s’est habillée comme une Princesse romaine, d’une simple toge brodée d’or qui dévoile ses jambes fines et découvre un sein menu au téton insolemment gonflé. Son époux, le Prince, la regarde avec un désir non dissimulé. Le Cardinal est aussi présent, dans son éternelle toge rouge. La Comtesse de Neuville, une petite brune aux yeux de biche affolants, séduit moins par sa parure que par son attitude : féline, caressante, elle ondule de la croupe entre les convives, sourit d’un air sensuel aux femmes autant qu’aux hommes, les touche, les frôle, et donne l’impression de s’offrir à qui voudra la prendre. Son mari ne semble point s’en offusquer. Son attention va à une autre convive, la Marquise de O, qui s’est habillée comme un homme, avec des chausses étroites qui mettent en valeurs ses cuisses fines et ses fesses musclées, et une chemise blanche entrouverte sur des seins merveilleusement galbés. Ses courts cheveux gominés lui donnent un air masculin et dominateur. Il y a là encore un général d’armée à la tenue rutilante, un jeune homme un peu timide qui est à peine plus jeune que Caroline mais qui ne semble pas avoir la même aisance qu’elle, et un noble vénitien très élégant habillé d’un costume de soie précieuse.


À peine arrivée, Madame de Marans est entreprise par le militaire, qui semble bien la connaître et la prend par le bras pour lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Elle rit et minaude. Quant à Caroline, elle fait tout de suite connaissance avec le Prince vénitien, qui a un accent délicieux et un regard pétillant qui se perd déjà dans son décolleté. Il la complimente sur sa beauté et sa jeunesse, et l’interroge sur ses premières journées à Paris. Étonnée de voir qu’il la connaît déjà un peu alors qu’ils ne se sont jamais rencontrés, Caroline a un indice de plus que son arrivée à Paris a alimenté les conversations d’une partie au moins de la Cour. Mais elle prend soin de ne rien révéler des ses aventures galantes des derniers jours.


Il manque encore deux convives, mais la Princesse propose que l’on se mette à table sans les attendre. Elle se place au bout de la table. À sa droite, le Prince se penche déjà vers sa voisine, la Marquise de O, et plonge son regard dans son décolleté. À côté de la Marquise, le jeune homme timide que Madame de Marans regarde avec un air déjà concupiscent. À côté d’elle, le Comte et la Comtesse de Neuville. Caroline remarque que la Marquise regarde avec une insistance non dissimulée sa poitrine frémissante.


De ce côté de la table, le Cardinal devise avec la Princesse. À côté de lui, deux places laissées vides. Caroline se trouve donc en face de Madame de Marans. À sa gauche, le Prince vénitien, puis en bout de table, en face de la Comtesse de Neuville qui lui lance déjà un regard coquin, le militaire. À peine sont-ils tous assis que le dernier couple fait son entrée. L’homme, la quarantaine élégante, introduit sa femme avec fierté. Tous les convives se taisent, tant elle est spectaculaire : nue sous une très courte robe d’organza orange, dont le tissu est si fin qu’il en est transparent, elle montre avec fierté son corps capiteux : de gros seins orgueilleux aux larges tétons dressés par l’émoi de se montrer presque nue, une croupe ronde mais ferme, des cuisses musclées, et un pubis complètement glabre aux grosses lèvres gonflées. Ses lèvres sensuelles semblent attendre les baisers, son joli cou est orné d’un ruban assorti à sa robe, et ses oreilles étonnamment menues sont ornées de lourds pendentifs dorés. Le couple salue les autres convives, et s’installe à table entre Caroline et le Cardinal.


Le Vicomte de la Fosse se présente immédiatement à Caroline ; il semble lui aussi déjà la connaître. Quand son épouse s’adresse à Madame de Marans pour s’enquérir de son opinion sur sa nouvelle robe, Caroline comprend tout de suite qu’elles se connaissent déjà. Sans doute sa mentor a-t-elle déjà fait l’éloge de son élève auprès de tous les autres convives.


La Princesse fait tinter sa clochette. Tous les convives se taisent.


  • — Très chers amis, je suis heureuse de vous recevoir ce soir pour une nouvelle découverte des sens. Nous accueillons aujourd’hui une nouvelle amie, Mademoiselle Caroline, qui vient d’arriver à Paris mais qui, si j’en crois ce qu’on m’en a dit, trouvera naturellement sa place parmi nous. Cette fois encore, j’espère que vous prendrez plaisir à cette soirée, au cours de laquelle je vous enjoins à exprimer tous vos désirs. Bien sûr, mes domestiques sont à votre disposition pour vous rendre la soirée agréable. Mais je vous propose sans tarder de débuter notre dîner par le hors-d’œuvre que vous attendez tous.


Elle fait à nouveau tinter sa clochette. La porte s’ouvre. Caroline a le souffle coupé par l’étonnement. Trois jeunes négresses pénètrent dans la pièce portant chacune un plateau garni d’huîtres ouvertes. Elles sont nues. Leur crâne est rasé, ainsi que leur sexe. Leur peau sombre reluit d’une huile parfumée dont elles sont enduites de la tête aux pieds. Toutes trois portent des espèces de cothurnes dorées. Elles sourient de toutes leurs dents, du plaisir de se savoir belles et désirables.


La première est encore jeune. Elle porte de grands anneaux dorés aux oreilles. Ses petits seins dressés sont couronnés de très gros tétons gonflés, et luisants. Une chaîne dorée ceint sa taille fine. Son sexe épilé ressemble à une prune dont la peau éclatée laisserait apparaître une chair rose et humide. Elle avance fièrement, la tête haute et le dos cambré, sans aucune gêne ni pudeur, plutôt fière du spectacle qu’elle offre.


La seconde est plus âgée et plus grande en taille. Elle a les épaules larges, la taille fine, les cuisses longues et musclées, la croupe ronde, on voit ses muscles fins jouer sous sa peau luisante. Elle a de superbes seins ronds et fermes, dont les tétons durs et dressés sont ornés de petits anneaux dorés. Le même anneau orne son nez, ses lobes d’oreille, et son sexe aux lèvres gonflées et protubérantes. Elle s’avance d’une démarche ondulante en balançant élégamment sa croupe, en regardant chacun des convives dans les yeux d’un air provocant.


La troisième semble diriger les deux autres. Son corps est plantureux, elle montre fièrement ses très gros seins ornés de larges mamelons sombres, dont les bouts percés sont reliés par une chaîne dorée. Son cou est orné de plusieurs colliers dorés, qui ruissellent entre ses seins. Ce qui frappe surtout Caroline, ce sont les bijoux intimes qui ornent son sexe : ses petites lèvres surdimensionnées sont ornées d’anneaux auxquels elle a accroché des chaînes dorées qui entourent ses cuisses ; des espèces de gouttes de métal doré accrochées aux anneaux étirent les nymphes roses et charnues.


Les trois négresses sont superbes, et Caroline sent que son sexe commence à mouiller. Le regard inquisiteur que la Marquise de O pose sur elle la fait mouiller encore plus si c’est possible. Tous les autres convives sont aussi subjugués par le spectacle. La maîtresse de maison est fière de l’effet produit sur l’assemblée. Les trois servantes se dirigent vers elle. Elle prend trois huîtres sur le plateau de la plus jeune. Ce faisant, de son autre main, elle lui passe la main sur les fesses, flattant ses courbes, effleurant la douceur de sa peau, insinuant un doigt lentement dans la raie. Le geste n’échappe pas à Caroline, ni celui du Prince qui, servi par la seconde, ne peut s’empêcher de lui saisir un sein, d’en soupeser le poids, puis de tirer sur l’anneau qui orne le téton pour le titiller. Apparemment ravie, la jeune femme se tourne vers lui et lui sourit.


Quant à la troisième, elle dépose son plateau devant le Cardinal, se campe à côté de lui, prend ses gros seins dans ses mains et commence à les masser. Elle les soulève, les presse, les roule l’un contre l’autre. Elle écarte ensuite légèrement les cuisses et avance son bassin pour lui faire admirer sa vulve. Le Cardinal se recule un peu, et prend à témoin sa voisine, la Comtesse de la Fosse :


  • — Regardez, Béatrice, avez-vous jamais vu tel spectacle ? Il paraît qu’en Afrique, l’étirement des lèvres intimes fait partie des rituels dans certaines tribus.
  • — C’est fascinant, je l’avoue, et extrêmement excitant, ces lèvres surdimensionnées dont la couleur rose tranche sur la peau sombre. Est-ce que c’est douloureux ?
  • — Non, l’étirement se fait progressivement et sans douleur. Au contraire, cela développe une sensibilité extrême au niveau de la vulve, qui rend la femme en perpétuel état d’excitation aussitôt qu’on tire sur les chaînettes. Elle vient sans doute d’accrocher les poids, et c’est cela qui l’a poussée à déposer son plateau et à s’offrir à nos caresses.
  • — Est-ce que je peux toucher ?
  • — Bien sûr, essayez, c’est très excitant.


La Comtesse se penche devant le cardinal et tend le bras vers l’entrejambe de la négresse. Ce faisant, et comme si cela était voulu, elle presse sa poitrine opulente contre le torse du prélat, tout en s’accrochant à son épaule d’une main caressante. La servante excitée avance encore un peu plus le pubis et écarte encore davantage ses cuisses. La Comtesse tire sur une des chaînettes, étirant sans hésiter la peau. Elle arrache un gémissement de plaisir à la femme, qui se masse les seins de plus belle en fermant les yeux. Béatrice est fascinée par cette vulve humide dont la forte odeur se mêle maintenant à celles des huîtres déposées sur la table. Elle ne peut s’empêcher d’enfoncer son majeur dans la fente poisseuse, de toucher les lèvres, de les écarter pour révéler un gros clitoris dressé. À côté d’elle, le Comte, qui ne rate rien du spectacle et semble prendre plaisir à voir sa femme se frotter contre le Cardinal, attire l’attention de Caroline sur l’élégance de la croupe de la Comtesse, qui leur tourne le dos en cambrant les reins. Il soulève la fine robe de son épouse et lui flatte les fesses. Avec délectation il écarte les globes pour montrer à Caroline combien elle mouille.


En face d’eux, le Prince, tirant sur l’anneau qui orne le téton gauche de la seconde servante, l’oblige à se pencher vers lui. Elle est très belle : ses grands yeux noirs humides, son petit nez percé par l’anneau, ses pommettes saillantes, ses grosses lèvres sensuelles donnent à son visage un attrait très animal. Le Prince l’embrasse à pleine bouche, tout en souriant à sa femme. La négresse lui rend son baiser dardant une petite langue pointue. Elle tourne le dos à la Marquise de O, lui offrant la vue de son petit cul rond. La Marquise ne peut résister, et glisse sa main entre ses cuisses tout en s’exclamant :


  • — Mon Prince, cette servante a son petit trou vraiment très serré. Je jalouse le premier homme qui va la prendre par ici.
  • — Marquise, votre goût pour les femmes vous perdra. Prendrez-vous donc plaisir à me voir l’embrocher ?


D’où elle est, Caroline ne peut voir le spectacle, mais il doit être excitant, car la Marquise ne peut s’empêcher de pencher la tête, et de regarder avec insistance l’entrejambe de la domestique. Caroline ne s’étonne pas de la voir poser ses mains fines et blanches sur les fesses sombres et luisantes, et les écarter. La négresse répond à ses attouchements en cambrant davantage les reins, et en ondulant de la croupe. La Marquise darde alors sa langue pour lécher lentement cette croupe offerte.


La plus jeune des servantes s’est quant à elle glissée entre le jeune homme timide et Madame de Marans. Celle-ci l’encourage à observer sa petite moule dodue. Elle oblige la jeune fille à s’accouder à la table, le cul en l’air et les jambes écartées, pour leur laisser voir son entrejambe. À voir l’expression de surprise de la jeune négresse, Caroline devine que l’amie de sa mère ne se contente pas de regarder, et n’a pu se retenir de la toucher : lui a-t-elle enfoncé un doigt dans le sexe ? Lui a-t-elle touché le bouton ? Lui a-t-elle passé un doigt dans la raie ? La jeune fille pousse des petits cris de plaisir tout en gardant ces yeux mi-clos, bientôt suivis de gémissements de contentement. Madame de Marans lui donne une petite tape douce et claquante sur la fesse, et la jeune fille se relève, reprend son plateau et passe au convive suivant. Caroline surprend alors sa mentor porter sa main à ses lèvres, et sucer son index. Le jeune homme semble très excité. Madame de Marans semble apprécier le goût du sexe de la jeune servante : elle se retourne vers sa voisine, que la jeune fille a commencé à servir. Caroline la voit alors passer sa main par derrière entre les cuisses, et lui glisser l’index dans la prune qui s’ouvre sans peine. L’index s’enfonce profondément, ressort luisant de jus. Madame de Marans le retire, barbouille la moule, l’enfonce à nouveau, le retire, et l’offre à sucer à son jeune voisin qui semble se régaler du liquide acre et odorant.


La troisième servante est restée près du Cardinal. La Comtesse de la Fosse, qui semble bien vicieuse, a commencé à la branler en rythme. Elle a lâché l’épaule du Cardinal, et appuie maintenant sa main à l’endroit de sa soutane où son sexe déjà dressé forme une grosse bosse dans le tissu. Son mari, loin de s’en offusquer, observe la scène en caressant son sexe à travers son pantalon.


C’est alors que la seconde jeune fille, encouragée par le Prince qui lui a chuchoté des ordres à l’oreille, contourne la table et s’approche à la gauche de Caroline. La jeune fille prend quelques huîtres pour les poser sur son assiette. La jeune négresse lui montre un des coquillages particulièrement dodu. Il fait irrésistiblement penser à un sexe de femme. La jeune négresse l’effleure de l’ongle et le caresse comme si elle se caressait le sexe. Caroline en est très troublée. Lorsque la négresse dépose le plateau, et lui désigne son sexe comme elle lui a montré le coquillage, Caroline devine sans peine qu’elle va se caresser pour elle. La négresse passe son index sur son pubis, le glisse vers sa fente. Il pénètre sans peine. Elle le ressort luisant de mouille. Elle le suce. Puis du bout des doigts, elle écarte les lèvres de son sexe. Caroline observe fascinée les petites lèvres rosées, le bouton dressé qui semble attendre qu’on le lèche. La négresse commence à onduler des hanches dans une danse lascive. Les autres convives observent le manège avec d’autant plus d’intérêt que Caroline participe pour la première fois à un de leurs dîners. Sans doute se demandent-ils comment elle va réagir. Elle les regarde l’un après l’autre. Le Prince lui sourit comme pour l’encourager. La Marquise de O a glissé une main dans son décolleté, et se caresse le sein gauche. Elle ne regarde pas Caroline, tant elle semble captivée par la vue de la poitrine splendide de la négresse. Le jeune homme ne sait où regarder. Ses yeux passent d’une négresse à l’autre, comme s’il voulait se rassasier la vue de toutes ces nudités, mais reviennent tôt ou tard sur Caroline, qui lui semble sans doute la convive la plus proche par l’âge. Madame de Marans a un sourire énigmatique : elle est certainement séduite par le corps superbe de la négresse, mais elle semble aussi curieuse de voir comment sa jeune protégée va se comporter. Le Comte et la Comtesse de Neuville se tiennent blottis l’un contre l’autre ; la main du Comte caresse la cuisse de sa femme, qui lui chatouille la nuque en souriant à Caroline. L’odeur du sexe de la domestique se mêle à celle des huîtres, puis la domine peu à peu. La négresse continue à caresser sa fente trempée et à en écarter les lèvres. Caroline prend une huître sur son assiette, et la présente à la négresse qui se penche pour la gober en riant. En se penchant, elle offre sa croupe au Prince vénitien, qui n’attendait que ça pour lui flatter les fesses. La négresse prend à son tour un coquillage, et le présente à Caroline. Comme si elle avait fait un faux mouvement, elle renverse un peu de jus dans le décolleté de Caroline, qui lâche un petit cri de surprise. La négresse prend une serviette, et fait mine d’essuyer le jus qui coule entre ses seins. Elle abaisse le tissu, dévoilant le sein gauche de la jeune fille qui, sans s’offusquer, la laisse faire sans aucune gêne. Au contraire, elle bombe le torse, comme pour mieux montrer sa poitrine aux autres convives. Au lieu d’utiliser la serviette pour essuyer l’eau de mer, la négresse se penche et commence à lécher le sein dénudé, titillant le téton durci avec la pointe de sa langue, puis le gobant et le tétant amoureusement. Caroline ne peut s’empêcher de gémir sous cette langue délicieuse et chaude, et plaque le visage de la jeune femme sur sa poitrine. Il lui semble entendre Madame de Marans parler d’elle au Prince en des termes élogieux et grivois


  • — Ne vous avais-je pas dit que cette petite a déjà toutes les qualités de sa mère ?


Pendant ce temps, la négresse qui se trouvait à côté du Cardinal s’est dégagée des attouchements de la Comtesse, et se glisse maintenant entre le militaire et le Prince vénitien. Les deux hommes commencent immédiatement à la caresser, s’attardant sur le bout de ses seins, sur ses fesses, sur les chaînes qui pendent de son sexe. De l’autre côté de la table, la plus jeune domestique est en train de servir la Comtesse de Neuville. Celle-ci prend la main de son mari pour la guider vers l’entrejambe de la jeune négresse et lui faire toucher son sexe.


C’est à ce moment que la Princesse reprend sa clochette et sonne. La porte s’ouvre. Un sommelier pour le moins insolite s’avance. Il est noir lui aussi. Il porte à bout de bras un plateau sur lequel se trouvent plusieurs carafons de vin. Il est nu. Sa peau sombre, huilée comme celle des femmes, révèle d’autant mieux ses muscles qu’il est complètement glabre. Il porte un harnachement de cuir noir : un large collier orne son cou, des lanières enserrent son torse, ceignent sa taille, passent entre ses fesses. Des lanières enserrent également ses testicules et son sexe. Caroline ne peut s’empêcher d’admirer ce pénis : il est très long, son état de semi-érection le fait osciller à chaque pas. Le gland décalotté est luisant. Décidément, la Princesse sait s’entourer d’un personnel de grande qualité. Le nègre s’approche d’elle, se penche pour lui servir un verre de vin blanc et se redresse pour attendre son verdict. Il est superbe, pense Caroline, un vrai athlète qui doit combler toutes les envies de sa maîtresse. Est-ce le fait de se trouver à côté d’elle, ou de voir ses consœurs nues autour de la table, ou de sentir l’état d’excitation de l’assemblée ? Toujours est-il que Caroline voit son long sexe gonfler, se redresser doucement, se raidir et atteindre une taille presqu’aussi impressionnante que celui du Cardinal. Il bande bientôt superbement, au plus grand plaisir de la Princesse qui le complimente. Elle goûte au vin, puis ordonne au sommelier de remplir les verres.


Soudain, sur sa droite, Caroline entend la Comtesse de la Fosse s’extasier. Elle se penche en avant pour découvrir qu’elle a soulevé la soutane du Cardinal, et regarde son gros sexe avec gourmandise.


  • — Oh mon Dieu, quel engin ! C’est péché que le garder sous votre soutane, Monseigneur. Bon sang, il est énorme ! Vous savez que vous me mettez dans tous mes états. N’est-ce pas, mon ami, que les grosses queues me font mouiller ? dit-elle en se retournant vers son mari.


Comme pour mieux démontrer à son mari son état d’excitation, elle relève sa robe, dévoilant son petit cul qu’elle fait onduler sous ses yeux. Son mari glisse la main entre ses cuisses, la ressort luisante de mouille, et la lèche voluptueusement en clignant de l’œil à Caroline. La Comtesse s’empare de la queue du Cardinal, et commence à la caresser. Ses doigts fins vont et viennent sur le membre épais qu’elle peut à peine enserrer. Tout en le branlant, elle glisse sa main entre ses jambes et commence à se masturber. Le Cardinal s’est installé confortablement, et se laisse faire en souriant à la Duchesse qui observe avec attention les caresses variées que lui prodigue la Comtesse.


  • — Chère Duchesse, ne trouvez vous pas notre amie délicieuse ? Regardez comme elle est experte à me branler !
  • — Cher Cardinal, je vois que votre grosse queue déclenche toujours les passions. Et je sais que notre petite Comtesse adore se donner en spectacle, et se faire baiser devant son mari. N’est-ce pas, ma petite ? Allez-y, je vois que vous brulez d’envie d’emboucher ce pénis arrogant.
  • — Je peux, Monseigneur ? Je vais vous sucer comme vous ne l’avez jamais été.
  • — Montrez-moi donc vos talents, chère petite vicieuse.
  • — Oui, ma chérie, sucez-lui bien la queue pendant que nous vous regardons. Montrez à tous nos amis à quel point vous pouvez être chaude. Vous voyez Cardinal, depuis que j’ai entrepris son éducation, notre jeune amie est devenue une véritable assoiffée de sexe.


La Comtesse se penche. Son mari se recule, pour permettre à Caroline de ne rien perdre de la scène. Il se caresse le sexe. Sa femme commence par darder sa langue et la passer sur le gland. Elle la fait tournoyer, taquine le méat, parcourt la hampe. Puis elle ouvre grand la bouche. Elle fait pénétrer le gland entre ses lèvres en grognant. Le sexe est presque trop gros pour sa bouche. Elle respire bruyamment, et enfonce progressivement le membre épais jusqu’au fond de sa bouche. Elle commence à aller et venir. Elle se masturbe de plus en plus vite : Caroline voit ses doigts agiles pénétrer son sexe et taquiner son bouton avec une certaine frénésie. Le Cardinal semble apprécier sa fellation. Il pose sa main sur sa nuque, et la force à se pencher plus fort. La Comtesse manque de s’étrangler, mais parvient à s’enfoncer la queue au plus profond de la gorge.


  • — Oui, comme ça ! Comme vous êtes douée, Comtesse ! Enfoncez bien mon sexe au fond de votre bouche. Voilà, bien au fond…


Elle la ressort pour respirer, en souriant au Cardinal. Caroline est très excitée par le spectacle, et voudrait se branler. Le Comte lui, n’en peut plus. Il ouvre son pantalon, et sort un sexe tout à fait respectable. Comment sa femme ne peut-elle pas se contenter de ce membre long et dur ? Voyant que son mari a sorti son sexe, la Comtesse s’en empare et commence à le branler, sans cesser de sucer le Cardinal.


  • — Ohhh oui, branlez-moi bien ma chérie. Montrez à tous comme vous pouvez être salope.


De l’autre côté de la table, négligeant les fruits de mer, le Comte et la Comtesse de Neuville ont obligé la jeune négresse a s’asseoir sur le bord de la table, les jambes légèrement écartées, le pubis en avant. Ils contemplent sa vulve gonflée en échangeant leurs commentaires. Le Comte commence à trifouiller la fente déjà gluante. Sa femme l’encourage à enfoncer ses doigts, tout en dégageant elle-même le clitoris pour pouvoir le taquiner. Le Comte enfonce deux doigts au plus profond du sexe étroit. La jeune négresse semble apprécier : yeux fermés, tête renversée en arrière, elle offre son sexe tout en caressant ses gros tétons gonflés. Lorsque le Comte lui enfonce un troisième doigt, elle semble défaillir. Sa peau huilée frémit, elle se cambre. Elle commence à jouir. Le Comte ressort ses doigts luisants, les enfonce à nouveau jusqu’au fond. Puis il se penche pour lécher la fente poisseuse, encouragé par sa femme que le spectacle semble tant exciter qu’elle ressent elle-même le besoin de se caresser l’entrejambe. Elle soulève ses jupons. Par-dessus la table, Caroline ne peut voir son entrejambe, mais elle devine aux mouvements de son bras qu’elle se branle sans vergogne. Elle tend sa main vers la poitrine ferme de la jeune servante, et lui pince le téton. Caroline est fascinée par les frémissements qui parcourent la peau huilée de la négresse, qui ondule maintenant de la croupe sur le bord de la table. Elle se penche en arrière, s’appuyant sur ses bras, et relève sa jambe gauche pour poser le pied sur la table et faciliter l’accès à son entrejambe.


Captivée par le spectacle, Caroline n’a pas entendu la Marquise de O qui s’est levée, a contourné la table, s’approche par derrière et lui murmure à l’oreille :


  • — Et si maintenant je m’occupais de vous, ma tendre enfant ?


Et sans lui laisser le temps de réagir, elle plaque ses lèvres sur les siennes et lui enfonce sa langue au fond de la bouche. Elle trouve une langue frétillante, qui répond sans hésiter à ses caresses. Les deux femmes commencent à s’embrasser d’abord avec délicatesse, puis plus goulument, leurs langues se mêlent et s’enroulent, leurs lèvres s’écrasent. Caroline épie du coin de l’œil la réaction de Madame de Marans, et baise encore plus avidement la bouche qui s’ouvre à sa langue pénétrante. La Marquise plaque sa main sur le sein dénudé. Elle en apprécie la fermeté et la rondeur, Caroline savoure la douceur de la caresse. Quand elle lui touche le bout du sein, un grand frisson lui parcourt l’échine. La Marquise s’accroupit, et lui titille le téton du bout de sa langue agile. Puis elle le suce, le fait rouler entre ses dents. Caroline fond de désir. La Marquise s’interrompt un moment pour ôter son chemisier. Elle a de petits seins dressés aux bouts arrogants, que les caresses qu’elle s’est prodiguées auparavant ont gonflés d’excitation. La Marquise reprend ses attouchements, Caroline ferme les yeux en savourant son plaisir. Bientôt, la Marquise lui dénude aussi le sein droit, et commence à le masser doucement. Caroline savoure son plaisir. Arrive un moment où elle ne résiste plus à l’envie de se caresser le bouton. Osera-t-elle remonter ses jupes, et se branler devant tous les autres convives ?


Elle rouvre les yeux. Le spectacle la rassure. À sa droite, la Comtesse s’est placée à califourchon sur les genoux du Cardinal, face à lui. Elle monte et descend sur son pal, qu’elle s’enfonce au plus profond de son sexe en ahanant. Son con est trempé, son jus coule jusque sur les gros testicules du Cardinal. Elle chevauche avec une ardeur joyeuse et sourit à Caroline. Son joli cul tremble à chaque mouvement Son mari lui pétrit les fesses, en regardant, fasciné, le con de sa femme dilaté par le membre énorme du cardinal. De l’autre côté de la table, le Comte de Neuville s’est mis nu, et pénètre avec entrain la jeune négresse appuyée sur le bord de la table, rendue folle d’excitation par le mélange de douleur et de plaisir que lui prodigue le couple. La Comtesse lui pince le bout des seins, les fait rouler entre ses doigts avant de les étirer. De temps en temps, elle oblige son mari à ressortir son membre, pour pouvoir lécher la mouille qui s’écoule du sexe dégoulinant de la jeune servante. Elle prend ensuite plaisir à embrasser tantôt son mari, tantôt la jeune fille elle-même. Celle-ci semble apprécier le goût de son propre sexe, autant que le jeu de langue habile de la Comtesse. Caroline entend les mots que le Comte murmure à l’oreille de son épouse :


  • — Petite salope, vicieuse, espèce de lécheuse de chatte ! Ça t’excite, de lui bouffer la chatte, à cette petite négresse !
  • — Oui, elle est bonne, elle a un goût très agréable. J’aime le goût, et j’aime l’odeur.
  • — Vas-y, fais-lui goûter son propre jus, et laisse-moi goûter aussi, pendant que je la trique.


Caroline se tourne vers Madame de Marans. Jupes relevées et jambes écartées, les yeux à demi-clos et un sourire béat aux lèvres, elle se laisse caresser par son jeune voisin tout en branlant son pénis dressé. Quant à la Duchesse, encouragée par son mari qui a lui aussi sorti son sexe de ses chausses, elle branle avec ardeur le pénis turgescent de son serviteur harnaché tout en se caressant par-dessous ses jupes.


La Marquise se retourne vers Caroline :


  • — Hmmm ! Quels jolis nichons ! Vous avez vraiment une poitrine superbe, ma petite. Je ne résiste pas à l’envie de vous voir nue. Allez, déshabillez-vous !


Sur ces mots, la Marquise s’écarte de Caroline, et lui montre l’exemple en ôtant sa culotte. Elle révèle son corps mince et musclé, aux fesses nerveuses, et aux cuisses élancées. Son pubis glabre est gonflé de désir, et la fente est luisante de mouille. Comme elle voit que Caroline hésite à l’imiter, elle se tourne vers la négresse et lui ordonne d’aider Caroline à se dévêtir. La servante négresse s’approche, termine de dénuder le torse de la jeune fille, puis la fait se mettre debout. Caroline termine de se déshabiller, puis se rassied, non sans admirer au passage le joli cul de la servante quand elle se penche pour ramasser la robe et les sous-vêtements tombés à ses pieds. La servante est si excitée que sa moule béante dégouline et répand une puissante odeur de sexe. La Marquise ne peut s’empêcher de lui flatter le cul, de passer son index dans sa moule pour l’enduire de jus, de la faire glisser dans la raie de ses fesses, effleurant l’œillet qui frémit. La négresse cambre les reins pour mieux s’offrir aux attouchements. Mais la Marquise, après avoir enfoncé brièvement son index dans la rondelle palpitante, exacerbe son désir en interrompant immédiatement sa pénétration. La servante se relève, déçue.


La Marquise s’accroupit entre les jambes de Caroline, et commence à lui caresser les cuisses. Elle remonte vers l’entrejambe, et quand elle arrive au pubis, Caroline sent déjà que sa mouille lui dégouline entre les fesses. La Marquise enfouit son visage, pousse son nez entre les lèvres de la jeune fille, darde sa langue frétillante dans tous les replis, suce, mordille. Caroline ne peut s’empêcher de prendre ses gros seins dans ses mains, et de se pincer les tétons :


  • — Oui ! Marquise, léchez-moi là, c’est bon !
  • — Quelle jolie petite moule gonflée et toute goûteuse. Mmm… Dites-moi, jeune dépravée, vous coulez comme une fontaine, ma parole !
  • — Oh, continuez, je vous en prie…
  • — Et votre bouton est déjà dur. Vous êtes donc si excitée ! Je vais vous montrer comment on taquine un beau clito comme le vôtre.


Elle se replonge entre les cuisses de Caroline et recommence à lui titiller le bouton.


À leur droite, la Comtesse de la Fosse est déchaînée, rendue folle par le pénis qui lui dilate la moule. Elle gémit en psalmodiant des mots obscènes, encouragée à la fois par son mari et par le cardinal.


  • — Vous êtes une belle salope, ma chère Béatrice !
  • — Oh oui, prenez-moi comme une salope que je suis ! Ah, votre grosse queue, elle me dilate, je la sens bien au fond !
  • — Allez-y, ma chérie, faites-vous bien mettre. Cela vous excite, n’est-ce pas, de vous donner en spectacle ?
  • — Oui, j’adore me montrer comme je suis, une femelle en chaleur qui veut se faire mettre. Oh, c’est bon ! Défoncez-moi plus fort !
  • — Votre femme est vraiment un bon coup, un peu serrée peut-être, mais elle ondule bien son joli cul.
  • — Monseigneur, vous êtes si gros, aussi ! Vous me comblez, vous me remplissez, vous m’écartelez. J’ai envie d’être prise par tous les trous. Mon chéri, soulagez-moi, enfoncez-moi votre doigt dans mon œillet, oui, comme je l’aime, vous le savez que j’aime ça, votre doigt dans mon cul pendant que je me fais prendre par-devant.
  • — Le doigt, ou une autre queue ?
  • — Un doigt, deux doigts, une queue… N’importe quoi, dans mon cul. Vous le savez, que ça me rend folle. Oui, c’est bon, enfoncez votre doigt plus loin !
  • — Votre trou est bien ouvert. Je sens que c’est une bonne queue qu’il vous faut.


Puis, s’adressant au Duc qui profite du spectacle :


  • — Venez donc nous rejoindre, Monsieur le Duc, je sens que cette salope a besoin d’une autre queue par derrière. Et qu’elle pourrait bien en sucer une troisième, sans que cela suffise à calmer ses ardeurs !


Le Duc adresse un regard à sa femme, qui l’encourage à rejoindre le trio : elle est trop heureuse de pouvoir jouer avec le sexe de son serviteur.


Caroline entend sur sa gauche des gémissements sourds. La négresse aux seins énormes et au sexe orné de chaînes est penchée sur le Prince vénitien et lui suce le pénis en grognant. Debout derrière elle, le militaire la pénètre sans ménagement. Il alterne les longues pénétrations profondes et les petits coups de queue : Caroline jouit du spectacle des énormes nichons aux bouts percés agités par les coups de queue. Le militaire la prend avec une telle ardeur que le Prince vénitien est obligé de lui tenir la nuque pour lui maintenir sa queue au fond de la gorge. Caroline remarque que la négresse se caresse le sexe, et tire elle-même sur les chaînes qui ornent sa vulve pour accentuer son plaisir. Elle grogne de satisfaction, cambre les reins pour faciliter la pénétration, se frotte le bouton et tire sur ses seins.


En face, Madame de Marans s’est penchée sur les genoux du jeune homme, et joue avec sa queue dressée, qui a pris sous les caresses une taille tout à fait respectable. Madame de Marans lui caresse les testicules, enserre la hampe, décalotte le gland pour y poser ses lèvres. Elle épie du coin de l’œil la réaction de Caroline avec un air espiègle, et lui sourit avant d’emboucher le sexe tressautant de désir.


À droite, le Duc est venu se placer dans le dos de la Comtesse. Il lui plaque les mains sur les fesses, et commence à les masser vigoureusement. Il les écarte pour révéler l’œil fripé qui palpite déjà. Le Comte arrête de se branler, il se lève pour écarter lui-même les fesses de sa femme, comme pour mieux les montrer au Duc. Celui-ci prend son sexe en main, pose le gland sur la rondelle. La Comtesse se cambre pour venir au-devant de la queue qui rentre sans aucune difficulté. Prise des deux côtés, la Comtesse crie bientôt son plaisir. Son mari s’est mis à lui caresser la poitrine pour la faire jouir encore davantage.


Excitée par le spectacle, Caroline ne s’est pas rendu compte qu’elle a pris la tête de la Marquise entre ses mains, et la plaque avec force contre son pubis pour la forcer à lui bouffer la chatte. La Marquise s’en acquitte avec plaisir, renifle l’odeur acre et douce à la fois, darde sa langue, suçote, mordille, lèche la moule dégoulinante en grognant.


En face, la Comtesse de Neuville a pris la place de la jeune négresse sur le bord de la table. Elle s’est dénudée. Appuyée sur ses bras, cuisses écartées, elle se fait lécher le sexe par la jeune servante qui se fait prendre en levrette par le Comte. La Comtesse explique à son mari les diverses caresses que lui prodigue la jeune fille ; il lui répond en lui décrivant la fermeté de son cul et l’étroitesse de son sexe. La Comtesse encourage son mari à pénétrer la servante encore plus intensément. Tous trois commencent à gémir.


À droite, la Comtesse de la Fosse ne gémit plus : elle crie presque son plaisir, ne s’interrompant que pour sucer le sexe de son mari qui est venu se placer debout à côté du trio. Le Cardinal a perdu toute retenue, et l’abreuve de mots obscènes tandis qu’elle s’empale sur son pieu :


  • — Oui, ma chère Béatrice, vous êtes bonne. Je vous écartèle, je vous fends. Vous sentez bien ma bite ?
  • — Oui, elle est énorme, elle me remplit. Et la queue du Duc me déchire le cul. Oh je jouis, je jouis !
  • — Vous aimez ça, salope, vous faire prendre par tous les trous ?
  • — Oui, plus fort. Continuez, je jouis !


La Comtesse tremble de tout son corps, mais les trois hommes ne s’arrêtent pas : le Duc va-et-vient sans peine dans son anus dilaté. Il s’enfonce au plus profond, vient claquer du pubis contre ses jolies fesses tremblantes. Le mari se branle quand sa femme lâche son sexe pour reprendre sa respiration. Le Cardinal lui a pris les seins, et les triture vigoureusement. La Comtesse jouit maintenant sans discontinuer, psalmodiant des phrases obscènes qu’elle ne finit même pas :


  • — Oui, je jouis… dans mon cul de salope… toutes ces queues…Oh oh… il me déchire… Oh défoncez-moi, je suis votre putain… Votre sperme, gardez votre sperme, je veux tout sur moi… vous allez m’asperger. Oh mon cul, je jouis du cul…


Soudain le Duc se retire. La Comtesse a compris, elle se relève, s’accroupit. Les trois hommes s’approchent, tenant leur queue en main. Ils se font sucer l’un après l’autre. Le sexe du Cardinal est si gros que la Comtesse a peine à l’emboucher et manque de s’étrangler lorsqu’il lui enfonce au fond de la gorge. Pendant qu’elle suce une queue, elle branle les deux autres. Bientôt, le Duc n’en peut plus. Un dernier coup de poignet, et il éjacule. Son sperme atterrit sur le front, dans les cheveux et sur la joue de la Comtesse. À peine a-t-elle le temps de sucer le gland pour récolter les dernières gouttes de semence que le Cardinal jouit à son tour. Son sperme épais gicle sur son visage, son cou. Elle a réussi à en recevoir une certaine quantité en bouche, et gémit de plaisir : elle aime le goût du sperme. À son tour, son mari s’approche. Elle lui sourit. Il émet un jet puissant qui lui atterrit dans l’œil et sur la joue. Un second jet, tout aussi puissant, lui remplit presque la bouche. Le Comte continue à se branler le sexe, et son éjaculation semble ne pas devoir s’arrêter. Il répand une quantité incroyable de sperme sur le visage, et les seins de sa femme, qui sans doute attendait cela depuis le début. Elle étale le sperme sur ses seins, son cou, son visage, elle suce le pénis enfin tari pour nettoyer les dernières traces. Elle a déjà avalé une grande quantité de semence, mais elle continue à la récolter sur ses doigts avant de les sucer en grognant de plaisir.


Au bout de la table, la Duchesse s’est levée. Penchée par-dessus la table, appuyée sur ses coudes, elle a relevé ses jupes. Le serviteur harnaché s’est placé derrière elle. Il la maintient par la taille, et la pénètre de son long sexe dressé. La Duchesse a ouvert son corset. Ses jolis seins fermes pendent entre ses bras, et balancent au rythme des coups de boutoir que lui assène son partenaire. Elle se place de telle sorte que ses gros tétons, dressés et durcis, effleurent la nappe à chaque mouvement.


Caroline est au bord de l’orgasme. La Marquise lui enfonce bien deux doigts dans le sexe et la ramone vigoureusement, mais elle meurt d’envie de se faire pénétrer elle aussi par un pénis bien dur. Elle invite le Prince vénitien à s’approcher. Il se soustrait à la bouche de la servante. Sa queue est luisante d’avoir été sucée et se dresse avec arrogance. Il s’approche de Caroline, qui se saisit de son sexe sans hésitation, et l’attire à elle pour poser ses lèvres sur le gland turgescent. Elle l’embouche avec délice, salive et agite sa langue. Elle se penche un peu pour observer la réaction de Madame de Marans. Celle-ci s’est placée sur les genoux du jeune homme, elle lui tourne le dos, embrochée sur son sexe, une main sur son bouton et l’autre sur ses seins, et observe la Comtesse couverte de semence.


La Marquise se relève, vient se placer à côté de Caroline pour laisser le Prince prendre sa place entre les cuisses de la jeune fille. Elle se penche vers elle, tend ses lèvres et l’embrasse avec fougue. Caroline lui rend son baiser, darde sa langue pour des jeux subtils, et tend la main pour lui toucher le sexe. La Marquise est trempée, ses lèvres ouvertes répandent une forte odeur de sexe. Elle a dû se caresser tout en la suçant, car elle défaillit dès que Caroline touche son clitoris gonflé. Le Prince approche son sexe, le pose sur sa fente. Caroline l’enserre de ses jambes et l’attire en elle. Il commence à la ramoner, d’abord lentement, puis plus vite. Caroline est déjà au bord du plaisir. Elle se dégage des baisers de la Marquise, qui se met à lui sucer le bout des seins. Caroline ne peut plus se retenir. Un formidable orgasme l’emporte tandis qu’elle ne peut plus retenir ses cris de plaisir. Entre ses cuisses, le Prince en veut davantage, et continue ses va-et-vient. Elle est comblée, mais se prépare à des orgasmes multiples. Très excitée, elle a enfoncé deux doigts dans le sexe de la Marquise qui continue à lui sucer avidement le bout des seins.


À sa gauche, le Comte et la Comtesse de Neuville ont changé de position. Ils ont forcé la jeune négresse à s’agenouiller. La Comtesse s’est placée derrière son mari, et le branle d’une main tout en se caressant de l’autre. La jeune servante, la tête renversée et la bouche ouverte, attend en se caressant les seins le moment où le Comte éjaculera.


De ce côté-ci de la table, le militaire oblige la négresse aux seins énormes à se retourner. Il vient placer sa queue sous son nez. La servante a compris son désir. Elle s’approche, prend ses seins dans ses mains, les presse autour de la queue dressée. Le militaire commence à aller et venir. À chaque mouvement, il agite les fabuleux nichons. La négresse abaisse la tête, laisse filer sa salive pour que le gland glisse bien entre ses seins.


En face, le Comte gémit de plus en plus fort. La Comtesse accélère son branle, et elle peut bientôt diriger vers le visage de la jeune négresse un long jet de sperme dont la blancheur tranche sur la peau sombre. La Comtesse se penche, pour lécher le visage de la jeune servante et se délecter de la semence répandue. La vision de ce spectacle déclenche le second orgasme de Caroline, encore plus puissant et profond.


À sa gauche, le militaire n’en peut plus lui non plus. Ses mouvements se font de plus en plus énergiques et violents, il presse lui-même les gros seins de la négresse et en pince les bouts. La négresse se masturbe d’une main, puis Caroline la voit passer son index entre ses jolies fesses, pour l’enfoncer ensuite dans sa rosette. La vision de son doigt qui s’enfonce sans difficulté dans son œillet fripé la fascine. Le militaire suspend bientôt ses mouvements, se raidit… La négresse ouvre grand sa bouche. Il éjacule violemment jusqu’au fond de sa gorge, le sperme dégouline sur ses gros nichons, se répand partout.


Entre ses cuisses, Caroline sent que le Prince est prêt à jouir. À côté d’elle, la Marquise le devance néanmoins de peu. Elle serre ses cuisses sur la main de Caroline en râlant. Tout de suite après, le Prince jouit sans se retirer d’elle. Elle sent le jet puissant au fond de son sexe et ne peut retenir un troisième orgasme, d’une telle intensité qu’elle manque de perdre connaissance.


Lorsqu’elle reprend ses esprits, tout s’est calmé autour d’elle. Elle n’a pas vu Madame de Marans prendre son plaisir, mais elle devine, à la voir se pourlécher les lèvres, qu’elle apprécie le goût du sperme du jeune homme. Quant à la Duchesse, elle attend en souriant à Caroline que son serviteur ait terminé de lécher lui-même le sperme qu’il a répandu sur son dos.


Quand il a fini, la Duchesse rabat ses jupons, se rassied et agite sa clochette. Les serviteurs quittent la pièce. Les convives ont repris leur place. La plupart sont restés nus. La conversation reprend, légère et charmante. Caroline attend la suite du repas avec curiosité…

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Publié dans : Histoires - Par Z.
Mardi 30 octobre 2012 2 30 /10 /Oct /2012 22:02

Vendredi 2 Novembre

Pantin

13h

Le Gang Bang Hard de Sof.

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Mardi 30 octobre 2012 2 30 /10 /Oct /2012 14:56

Messieurs RASES ou IMBERBES. Blacks et Beurs prioritaires.

Jeudi 1er Novembre

17h

Pantin

La soumission de Miss J.

Miss N. sera sa domina perverse.

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à l’attention de Miss « J »

 

Après plus d’une année d’apprentissage du libertinage, tu as su évoluer pour faire de tous ces jeux du plaisir rien que du plaisir.

 

Tu tends de plus en plus vers l’abandon de soi, vers l’objet sexuel que tu te plaies à être à chaque fois que tu te fais bien baiser par un groupe d’hommes bien montés.

 

Tes goûts, tes souhaits s’affirment peu à peu, tes pensées, tes fantasmes s’orientent de plus en plus vers l’humiliation, les situations sans équivoque où tu es réduite à l’état d’objet purement sexuel, de Salope affirmée, de Pute en substance à user et abuser, de Trainée à avilir.

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La Bourgeoise raffinée, sensuelle et sexy n’aura pas lieu d’être le jeudi 1er Novembre !!!

006 resultat  

Attends-toi donc à tous les outrages…..

 

Tu devras obéir, rien qu’obéir sans mots dire !

 

Mais en attendant, réfléchis bien à la tenue que tu vas porter ……. Tu ne seras qu’une chienne, une salope et cela doit se voir de suite !!! 

 

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Publié dans : Soumises - Par Z.
Lundi 29 octobre 2012 1 29 /10 /Oct /2012 10:16

 

Comme à notre habitude, nous essayons toujours de vous faire connaître d'autres organisateurs, d'autres genres, d'autres jeux.
J'ai reçu ce flyer ce matin, que je partage avec plaisir avec vous.
Z.

 
 
 
 Pour la 9 eme année consécutive, Les Goûters du Divin Marquis 
vous proposent :
  

LA NUIT HALLOWEEN CHEZ CRIS ET CHUCHOTEMENTS
 
 
Une nuit infernale
 
Mercredi 31 Octobre 2012 DE 22h A L' AUBE
 

Dans une ambiance diablement Sm-Fétish
 
Lorsque la fête et les déguisements viennent compléter l'ambiance
 
érotico-Sadienne de Cris et Chuchotements.
 
 
Mistresses : CA LY, SALEM de Bruxelles, LULA BOOBS de Liège, Harmony, Millarca, AnnSo, Physalis Penea
Mais aussi : Philippe de Beaumond, Roman d' Opale, Docvale,
 
Sous le regard photographique de Maiko Vuk et Fred Raibish
 
 
 
Musique d' Outre Tombe
 
STRICT DRESS CODE : FETISH, GOTHIQUE, OVER-SEXY, LATEX, UNIFORMES
 
DEGUISEMENTS HALLOWEEN
 

Buffet d'halloween : fruits frais,desserts & bonbons toute la nuit.
 
Open Bar sur les softs pour toutes personnes déguisées                           
 
 
 
              Couple                    : 69 €uros avec une consommation chacun
 
Homme seul          : 99 €uros avec une consommation
 
Travesti                   : 69 €uros avec une consommation
 
Femme Seule  : Invitée avec une consomation
 
 
 
Renouvellement : 10 €uros
 
Vestiaire             :   Offert
 

Réservations et Renseignements : 06 37 13 20 33
                              
                             + 33 637 132 033
 
 
 
Courriel  : goutersmarquis@free.fr
 
 
 
Cris et Chuchotements
9, rue Truffaut
75017 Paris.
 
A proximité parking de la mairie du 17 éme, entrées jusqu'à minuit, sorties toute la nuit.
 
 
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Publié dans : Présentation - Par Z.
Dimanche 28 octobre 2012 7 28 /10 /Oct /2012 15:38

 

Jeudi 1er Novembre

17h

Pantin

La soumission de Miss J.

Miss N. sera sa domina perverse.

033

 

054

 

Vendredi 2 Novembre

Pantin

13h

Le Gang Bang Hard de Sof.

2008-02-25 181238

 

DSC05746

 

Vendredi 2 Novembre

21h

Paris XIeme

Le Gang Bang Hard de Myriam

017 (1)

C'est par là qu'ça s'passe.jpeg

 

Samedi 3 Novembre

13h

Paris

Un Gang Bang en Limousine pour Stella

 

DSCN0221

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Publié dans : Soirées - Par Z.
Vendredi 26 octobre 2012 5 26 /10 /Oct /2012 17:48

Samedi 27 Octobre

17h

Pantin

Un premier gangbangshards pour Louna pour fêter son mariage bdsm et sa nouvelle soumission. Elle sera accompagnée de Bab, gourmande de sperme connue et reconnue.

Voici d'ailleurs le mail de son Maître.

 

Bonjour,
Louna va recevoir son collier de soumise lors d'une grande cérémonie ce vendredi soir à Paris, en présence de tous nos amis du milieu SM.
Le lendemain, samedi, elle débutera donc officiellement sa nouvelle vie de Soumise, et je souhaite pour l'occasion lui offrir un bon gang-bang avec 5 étalons motivés. Au programme: séance de baise hard, avec mots crus et double-pénétrations.
Je demanderai aux participants de retenir leur plaisir, pour lui offrir une belle douche de sperme en fin de séance.
Comme vous pouvez le voir sur les photos, Soumise Louna a un faible pour les hommes d'autorité (CRS et militaires compris). Si certains d'entre-vous viennent en uniforme, ils seront doublement gâtés.
Par ailleurs, Soumise Louna est réellement très bi. Si une amatrice du genre veut se joindre à nous, elle est la bienvenue.

Messieurs, je compte sur vous pour être en forme et pour la baiser sans états d'âme !


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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Vendredi 26 octobre 2012 5 26 /10 /Oct /2012 17:47

Samedi 27 Octobre

14h

Pantin

 

Notre sublime amie Leslie souhaite de nouveau un gangbangshards afin de satisfaire ses goûts hards en matière de sexe, d'exhibition, d'allumage de mecs à blanc et d'éjacs furieuses (si, si, ça existe, venez et vous le constaterez)

Leslie adore les hommes, les beaux lieux, les belles photos et le sexe à l'état brut.

Leslie souhaite un scénario assez spécial.

8 Hommes

Habillés en noir, chaussures, chaussettes, pantalon. CECI EST UN IMPERATIF

Ces messieurs devront être en rang d'oignons pour lui permettre de les sucer à tour de rôle.

 

Leslie-Valdor 0564 - copie

 

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Vendredi 26 octobre 2012 5 26 /10 /Oct /2012 10:06

C'est un jour particulier aujourd'hui.

Un jour de grand pardon pour tous les musulmans.

Je vous souhaites à toutes et à tous une bonne fête de l'Aïd.

Le rituel pour ce jour particulier est de se remémorer le sacrifice d'Abraham qui, sur le point d'égorger son fils Ismaël (le gars avait mis 90 piges pour le faire), fût stoppé par l'archange Gabriel et lui offrit un beau bélier en échange.

C'est aussi une tradition instaurée par le prophête Mohamed qui clos le pélérinage annuel à La Mecque.

C'est enfin, une des fêtes les plus importantes pour tous les musulmans de la terre et de l'arc en ciel.

En France, on la surnomme d'ailleurs la fête du mouton... Mais ce n'est pas que ça (imaginez que nous résumions la fête de Noël à la fête de la dinde et des Ferrero rocher).

Bref, bonne fête à toutes et à tous encore une fois.

 

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Par Z.
Mercredi 24 octobre 2012 3 24 /10 /Oct /2012 18:55

Que pensez-vous de cette page d'acceuil de notre site selectgangbang.com ?

Ainsi que de notre logo.

Merci pour votre retour.

Z.

 

selectgb_logo.png

selectgb02

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Publié dans : Présentation - Par Z.
Mercredi 24 octobre 2012 3 24 /10 /Oct /2012 18:19

Chers tous,

Un bon ami au chômage depuis pas mal de temps (c'est pas sa faute), plein d'énergie et d'entrain recherche un poste de commercial à sa mesure. Expérimenté, très présentable, il est vraiment taillé pour ce poste... Et en plus, il est libertin.

Caractère fort, il a pu acquérir pas mal d'expériences dans les nombreuses sociétés où il a sévit. 

Beaucoup de bagout et foncièrement honnête, très franc du collier. L'amour de produit (s'il accroche) le rendra vraiment fanatique et défendra haut les couleurs de sa boîte.

Si l'un d'entre vous embauche en ce moment ou est au courant d'un poste libre, il serait vraiment aimable de sa part de me joindre afin de pouvoir faire le rapprochement.

Annonce sérieuse.

Merci de votre attention.

Z.

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Publié dans : Ces personnes qui... - Par Z.
Mardi 23 octobre 2012 2 23 /10 /Oct /2012 09:59

Hello J'ai malheureusement perdu tes coordonnées (tu verras que c'est une habitude chez moi)

Peux tu me rappeler stp au : 06.58.29.97.49 ou envoie moi un mail.

Merci

Z.

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Par Z.
Mardi 23 octobre 2012 2 23 /10 /Oct /2012 00:12

Merci à toutes les participantes : Liora en premier lieu avec un scénario si frissonnant réalisé grâce à son mentor Michel, de l'amour plein les yeux. Réalisé à distance aussi grâce à Antoine et Jérôme des flics plus vrais que natûre.

 

Katia ensuite, discrète mais assurémment fontaine et très très coquine. Son compagnon Manu n'est pas en reste

 

Anna et Eva, accompagnées des sympathique Nico et Olivier.

 

Une petite mention pour notre souris curieuse Karina accompagné de son chéri. Messieurs, vous avez été de parfaits gentlemens la concernant.

Merci enfin à tous les hommes qui étaient présents. Vous avez tous été patients, avez joué le jeu et j'ai adoré cette soirée.

Merci au propriétaire des lieux pour son hospitalité.

Voici une petite photo. Juste pour le fun.

Z.

Dragana-et-Eva 5742

 

Dragana-et-Eva 5746

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Publié dans : Soirées - Par Z.
Lundi 22 octobre 2012 1 22 /10 /Oct /2012 09:56

Bonne nouvelle !

J'ai remis quelques albums en ligne, vous les trouverez sur le côté gauche ou droit de votre page d'acceuil du site.

Bonne visite.

Z.

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Par Z.

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