c'est pas mal tout ca

Parmi eux il y avait Berthieu, un jeune petit vicielard de 17 ans qui avait quitté le domicile familial parce que comme la plupart des gueux il rêvait des fesses des bonnes femmes aristocrates, qui lui seront enfin livrées sans retenue.

Il était connu dans son petit village à côté de Paris pour être un chaud lapin, il s'était fait attraper entrain de se livrer à des attouchements avec sa petite copine.

Il était aux premières loges et avait assisté à toute la scène. Les sans-culottes tiraient la reine par les bras jusqu'à sa geôle, sous une avanalanche de huées, d'insultes, beaucoup en profitaient pour lui toucher le sexe et les seins.

Une fois arrivés dans la goêle, dans le cohue la plus totale on lui arracha ses vêtements. Des "salope", "putain", "chienne" résonnaient. La reine essaya comme elle pouvait de résister à tout cela et ne faisait que retarder l'échéance, quand "Pierro", une armoire à glace mit fin à sa vaine résistance en arrachant d'un coup sec tout ce qui lui restait pour cacher son intimité.

La reine se trouva totalement nue et les rires redoublaient, elle cachait ses énormes seins et son sexe. Pierro qui n'est pas du genre à trop réfléchir la mit à 4 pattes, hurle "C'est qu'elle nous avait même caché ça la reine". La phrase d'une idiotie totale fit pourtant bien rire la meute de salauds en ruth. Puis il la pénètre analement d'un coup assuré et l'on a pu entendre un hurlement de la reine, qui a continué à gémir un certain temps après, c'est que Pierro n'est pas du genre bien pourvu par la nature.

ça grouillait tout autour de la reine, elle n'était plus qu'une prostituée, une vide-couilles à la merci de ces hommes mal-éduqués. Les queues défilaient dans sa bouche, on profitait de ses mains, de ses fesses pour se donner du plaisir. on profitait de cette femme la plus belle qu'il leur était permis de voir et de toucher.

La reine gémissait chaque fois qu'un salaud entreprit de la buriner à grands coups de bites, bien que le son qu'elle produisit était étouffé par un sexe d'homme qu'elle avait constamment dans la bouche. "T'aimes ça ma reine heins?", "Elle aime ça la chienne", "que ta royale chatte est accueillante ma reine" l'on a pu entendre. L'ambiance était à l'euphorie, à la jouissance et au sexe dépravé.

Ce fût le bal des hypocrites, on l'accusait de tous les maux pour mieux cacher ses propres vices. Le père Vilars par exemple l'accusait de voler le peuple alors que c'était lui-même un pilleur de châteaux, des petits vicieux lui criaient "sale nymphomane", "t'aimes les bites pas vrai?" pour se donner un peu de légitimité

On prenait la reine dans toutes les positions: elle taillait des pipes à genoux, sur le dos, à 4 pattes. L'occasion était unique, il fallait la prendre dans toutes les positions. On en profitait pour se faire lécher les testicules, pour tapoter sa queue sur sa langue.

Le corps de la reine était devenu un object de luxure, une machine à produire des orgasmes. Certains éjaculaient par le simple fait d'être sur la reine avec les jambes écartées, il faut dire que le collant blanc que la reine portait produisait un effet excitant certain. Sa bouche également provoquaient moults éjaculations parmi eux.

Berthieu n'était pas en reste, après avoir eu le plaisir intense de se royale fellation et le plaisir non pas moins grand d'observer le beau visage de la reine entrain de sucer des queues, il la retourne pour la prendre en levrette.

Quand il eu la reine à 4 pattes devant lui, la vision du magnifique cul de la reine lui donna un sentiment contradictoire de fierté d'avoir eu une si belle femme à la tête de son pays. Quand il la pénètre, il eut la bonne surprise de constater le confort et la chaleur de ce qu'il convient d'appeler un réceptacle à bites. Il pensa que c'était à quoi était destiné le cul de sa reine: accueillir des sexes d'hommes.

Il semblait à Berthieu qu'il était aux cieux, chaque coup qu'il donnait lui procurait un plaisir intense et le fait que la reine accompagnait chacun de ses coups de gémissements l'exaltait encore plus dans son plaisir. Il adorait la vision que le corps de la reine lui procurait, ses lourds seins qui pendaient, son ventre, ses cuisses son cul formaient un ensemble si délicieusement sensuel.

Puis vint le nirvana, l'éjaculation provoqué à l'intérieur du cul de la reine était indescriptible et était bien plus fort que les premières éjaculations qu'il eut. Il hurla de plaisir également, comme la plupart de ceux avant lui.

Cher Z.,

Cela ne peut QUEUE LETTRE...avec moi chez vous!

Vous êtes source, que dis-je, fontaine d'inspiration!

Merci également aux auteurs des commentaires, je m'en délecte...

Lasac, l'un de ses plus fidèles domestiques, un homme laid, maigre, sévère et pieux, qui la voyait coucher avec ses nombreux amants et à qui elle s'est toujours refusée, va prendre sa revanche ce jour.

Il se laisse aller à ses pulsions inassouvies si longtemps réprimées, il va prendre un malin à la couvrir de jurons obscènes. Avec les autres salauds, il va couvrir la geôle de rires gras répugnants.

Les belles fesses de la reine salope, à la peau délicate et d'un blanc laiteux, seront prises comme par un forcené par Lasac, il la pénètre par tous les orifices, souille le sexe de son ancienne patronne, ne laissant après avoir explosé ses couilles en elle que des trous échauffés qui mouillent de partout.

C'est dans les pires moments que les masques tombent.

Allons enfants de la saillie le jour de gloire est arrivé !
Contre nous et sa nymphomanie
son sexe béant est mouillé (bis)

Entendez-vous dans ces appartements
crier et hurler sa jouissance?
elle rampe en nous suppliant
de pouvoir sucer notre queue et notre semence !

Aux armes citoyens
forcez ses orifices
jouissons, jouissons
Qu'un sperme de délice
Abreuve ses sillons