Lundi 30 décembre 2013 1 30 /12 /Déc /2013 13:34

Son baiser est plus profond, plus fougueux que ceux échangés sur la piste de danse, sa langue fouille ma bouche comme un petit sexe. Ses mains, fébrilement, ouvrent ma robe et en repoussent les pans sur les côtés. Il se recule un peu et contemple un bon moment mon corps et mes jolis dessous. Une idée saugrenue me traverse l’esprit. « Et s’il devinait que c’est son propre père qui me les a offerts ? » Son regard glisse sur moi comme une vraie caresse et, étrangement, il ne me touche pas ; il sort de la voiture, ouvre ma portière, me prend par le bras, me porte presque vers le capot de la voiture où il m’adosse. Je sens sur mes reins la chaleur du moteur. Ma passivité trahit mon envie d’aller plus loin avec lui. Il m’ôte ma robe ; mes mains explorent et dénouent sa ceinture, font glisser d’un seul geste slip et pantalon. Son membre jaillit, orgueilleux, prometteur. Voilà plus de trois mois que je suis sevrée du troublant et doux contact d’un sexe masculin ! Le contraste entre la douceur de la peau et la fermeté de l’objet me trouble. Mes mains courent sur son bas-ventre pendant qu’il ôte l’agrafe de mon soutien-gorge. Sur son aine, je sens un fin et long bourrelet qui m’étonne. Je lui soupire :


  • — Tu t’es blessé ?
  • — Oh, non, c’est vieux, au moins trois ans. Un accident de scooter !


Ne me laissant pas le temps de lui répondre, il fait glisser mon shorty le long de mes cuisses, m’écarte un peu les jambes et vient poser son dard à l’entrée de ma fente humide. Il s’arrête un instant, muqueuse contre muqueuse, prolongeant à dessein mon délicieux supplice. Mais l’envie d’être prise est trop forte et, lançant mon bassin vers l’avant, je lui donne le signal de départ de son viril assaut. Repliant mes genoux au-dessus de ses épaules, il glisse aisément en moi, me pourfend et s’enfonce ; je l’absorbe, accueillante et offerte. Trop longtemps refrénée, cette simple poussée déclenche en moi un spasme de jouissance et je deviens fontaine. Il s’arrête, solidement fiché dans mon intimité. Je reprends souffle et esprit, sous ses yeux amusés. Et dès que je suis calmée, il reprend son viril pistonnage ; je griffe ses épaules, je lui mords le cou. Il augmente sa puissance, mâle dominateur, toujours plus loin en moi. J’avais oublié combien la sensation d’être remplie par un homme était si excitante, et j’accompagne des reins ses ruades effrénées. Il accélère encore, se tend, se crispe et m’inonde de sa crémeuse liqueur en provoquant en moi un nouvel orgasme.


Après avoir repris nos souffles et m’être plus ou moins rhabillée, nous reprenons la longue allée qui mène au manoir ; pour ne pas nous trahir, il me dépose à une centaine de mètres de l’entrée de service. De peur de le souiller, je n’ai pas remis mon shorty ; et d’une démarche de canard – du fait des nos plaisirs qui s’écoulent de moi – je rejoins ma chambre le plus silencieusement possible. Après m’être soigneusement nettoyée, je rejoins mon petit lit, les sens enfin comblés.


Au moment où Morphée va m’emporter dans ses bras, un léger grattement se fait entendre à ma porte. Inquiète, je me lève pour l’ouvrir, et découvre mon jeune amant qui s’introduit prestement dans ma chambre. Je lui murmure :


  • — On ne devrait pas… ici…


Ignorant mon propos, il me pousse vers mon lit, m’y culbute, me dévêt, arrache ses vêtements et je sens contre mon ventre son désir exacerbé comme si nous n’avions rien fait avant. Quelle fougue !

Il me prend, me reprend, malgré le lit étroit. Mon corps, si longtemps privé de ces plaisirs de chair, répond spontanément à tous ses attouchements. Je suis une monture qui se cabre sous les lascives manœuvres d’un cavalier fougueux. Lorsque son plaisir vient et déclenche le mien, je dois le bâillonner, de peur qu’il ne réveille mes collègues de l’étage. Nuit trop courte certes pour moi, mais nuit remplie de torrides étreintes…

 


Il fait jour, je n’ai pratiquement pas dormi. Louise cogne à ma porte ces trois coups matinaux qui annoncent le début d’une journée laborieuse. Fourbue, je me lève ; je suis endolorie des assauts répétés de mon jeune compagnon. Je le regarde : il dort sur le dos, avec son beau profil. Son sexe rassasié et flétri repose, tel un bijou, sur ses bourses gonflées. Un brusque éclair me traverse la tête : la cicatrice à l’aine a étrangement disparu ! La vérité m’assaille ; j’ai beau la repousser, je réalise, marrie, que je me suis donnée à chacun des jumeaux ! J’en reste atterrée.

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