Mercredi 9 janvier 2013 3 09 /01 /Jan /2013 11:07

Je m’appelle Paul et j’ai 26 ans. Il y a deux ans j’arrivais à Paris. Mes parents m’avaient mis à la porte après une aventure furtive avec l’épouse de mon frère. En fait c’était plutôt chaud… Quoi qu’il en soit je cherchais déséspérement un travail pour vivre. Comme je n’avais aucun diplôme, peu de choix s’offraient à moi; je commençai donc par un petit boulot pour la municipalité, autant dire ramasseur de crotte. Ce qui étonnament me permit de trouver le second boulot: en passant pour ramasser les poubelles du côté de Pigalle je vis qu’on cherchait un serveur pour un bar de strip-tease. J’entrais tout à fait dans les critères qu’ils cherchaient: jeune homme(max30 ans), torse musclé et de préférence avoir un beau visage. Je me dis que j’avais bien fait de continuer à m’entretenir le corps. Je me présentai donc au patron. Il me demanda de me mettre torse nu, de porter un plateu plein de verres d’un point à un autre et il fut satisfait. Il me soumit alors ses conditions: salaire fixe assez bas mais je garde tous les pourboires, tout ce que je fais en dehors des heures de travail ne l’intéresse pas mais je dois être là à l’heure, et pendant que je suis là, je ne fais rien d’autre que ce pour quoi je suis payé. "Mais t’inquiète, ajoute-t-il, ce boulot va te faire prendre plein de gonzesses."


En effet, le soir même commence mon nouveau job. Je suis en pantalon noir, torse nu, affublé d’un faux col à noeud pap’s et de fausses manches, comme dans les films. Une multitude de femmes en chaleur se pressent aux entrées. Le travail est épuisant, mais galvanisant. Jamais autant de personnes de la gente féminine ne m’ont touché le ventre en même temps. Les danseurs qui se déhanchent en string sur le podium ne savent pas la chance qu’ils ont, là haut au moins ils sont protégés de ces furies. La première nuit de boulot m’a épuisé, mais les pourboires sont vraiment bons, je rentre dans ma petite chambre de bonne et m’écroule sur le lit.


Le lendemain je me présente à 17 heures, comme on me l’avait demandé. Ce n’est pas le boss mais Martin, un autre serveur, qui m’acceuielle, je n’avais pas vraiment eu le temps de faire connaissance avec le personnel de la boîte. Nous nous étions croisé la veille, sans plus. "Aujourd’hui, m’explique-t-il, je suis là pour te montrer comment les choses marchent ici." Il commence par une visite de la réserve il m’explique comment fonctionne le rangement de cette dernière, ce n’est vraiment pas très compliqué. Il me montre ensuite les vestiaires, que je n’avais pas vu la veille, ce qui m’avait rendu un peu ridicule avec mon pantalon noir suant et mon pull au-dessus de mes accessoires dans les rues de Paris. Il m’énonce alors comment bien me faire voir du patron. Il est sympa mais exigeant. "Ne t’avise pas d’arriver en retard ou de bayer aux corneilles, tu serais immédiatement viré." Il me présente ensuite aux chippendales qui répètent. Ils sont tous très sympas mais pour une raison que j’ignore, ils ont tous des prénoms anglais, alors qu’ils parlent avec des accents de tous les coins de la France. Martin m’entraine dans un coin et me dit comment je dois gérer les filles. Certaines vont même me faire des propositions indécentes et à ma grande stupeur me dit:"Accepte- les si tu veux." "Mais à certaines conditions, ajoute-t-il; il faut que ce soit très clair: soit après le travail, soit pendant les jours de repos, sinon… Et puis, je te jure que c’est encore beaucoup plus lucratif que les pourboires." Je commençai alors à comprendre les mots du boss quand il m’avait engagé.


Très vite un petit train- train s’engageait. J’avais eu quelques relations en dehors du boulot, mais je n’avais pas encore osé répondre aux rares insistances de ces dames, leur renseignant systématiquement Martin ou Pierre que je savais être disponibles. Une nuit cependant, une cliente insista pour que ce fut moi et non Pierre ou Martin. Sous les conseils de Martin, je finis par céder. Connaissant les règles de la maison, elle me donna rendez-vous à l’hôtel en face à 6h30, après mon service.


A l’heure dite, je me dirigeai vers la chambre qu’elle m’avait indiqué. Elle m’attendait là, en peignoir, allongée sur le lit. Ce que je n’avais pas vraiment pu voir dans l’obscurité du bar s’offrait à mes yeux: une femme d’environ 45 ans, plutôt bien conservée; les lèvres fines, de très beaux yeux bleus, les cheveux roux-bruns et un air on ne peut plus BCBG. Elle m’invita à me déshabiller; ce que je fis avec appréhension. Une fois nu, elle m’admira de longues secondes. Elle finit par agir, elle s’approcha et commença à me caresser les fesses, en se tenant face à moi, elle remonta mon dos tout en m’embrassant d’abord à la hauteur du nombril, de là elle monta par un série de petites bises vers mes pectoraux, pris mes tétons délicatement entre les dents et enfin elle arriva à ma bouche, qu’elle lécha avant de rentrer sa langue dedans. Là je ne pus me retenir, cette entrée en matière experte commençait à m’exciter. Je me mis moi aussi à l’embrasser frénétiquement, nos langues s’entremêlèrent dans un baiser langoureux. Elle s’échappa et redescendit vers mon sexe qui entre temps s’etait mis au garde à vous. Elle l’embrassa d’abord sur toute la longueur et puis l’enfourra tout entier dans sa bouche. Elle fit des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides, tenant la base de ma bite dans sa main droite alors que sa gauche faisait des tours avec ses longs ongles sur mon ventre et que je lui caressais le dos et ses longs cheveux de bronze. Alors que j’étai prêt à venir, elle se retira et me dit:"A toi maintenant; c’est moi qui paie quand même." Cette dernière phrase me mit en rage: je lui arrachai son peignoir et embrassai avec ardeur ses seins, je mordillai sa poitrine et puis tout son corps, alors que je descendai vers son vagin, elle se fit plus insistante, elle poussa ma tête vers celui-ci, mais je n’étais pas prêt à céder. Je continuai à lécher son ventre. Elle mouillait d’impatience. Pour la calmer, je faisais passer mes doigts sur son clitoris et me mis à jouer avec lui. Enfin je fis entrer un doigt et puis deux à l’intérieur de son vagin. Mais loin de la calmer elle se mit à s’exciter de plus belle, je décidai de ne plus la faire attendre et je plongeai ma bouche entre ses cuisses, son liquide séminal inondait littéralement le lit. J’introduisis ma langue dans cette fournaise, la faisant tourner à l’interieur dans tout les sens. Je lui malaxais les seins pendant qu’elle me caressait le dos et la tête. J’étais enivré par l’odeur et par le musc de cette femme mûre. Alors que je continuai mon opération avec enthousiasme, elle hurla: "OH OUI, OUIII, BAISE MOI… MAINTENANT…" Ce que je ne discutai pas. J’approchai ma bouche de la sienne et l’embrassai sur la bouche, dans le cou avant qu’elle n’aide de sa main mon membre bandé comme jamais à s’introduire dans sa chatte. Je commençai un mouvement de va-et-vient qu’elle m’enjoignit aussitot d’accélérer, ce que je fis. Je la pilonai avec force, avec toujours plus de force. Son corps ondulait sous moi avec rythme et savoir faire. j’étais au bord de l’extase. Soudain elle me poussa violemment m’obligeant à sortir ma verge de son trou. Elle se retourna, m’offrant sa croupe magnifique, et me regarda avec un regard vicieux, elle précisa quand même: "en levrette, hein." Je recommençai mes coups de boutoirs, mais par derrière cette fois, mon ventre frappait son cul avec un bruit de claquement caractéristique qui donnait le rythme. Il ne me fallut pas longtemps pour que mon foutre ne se déverse en elle. Peu après elle hurla de plaisir et s’affala sur le lit, tout comme moi. Nous étions tous les deux vidés.

Nous restâmes sur le lit quelques longues minutes avant qu’elle ne se lève, prenne une douche et s’en aille, sans oublier de me laisser 6 billets de 50 € sur la table de nuit.


Moi je restai là, nu, sur le lit pendant encore un long moment, repensant à ma première nuit, enfin matinée, de prostitué.


Le soir même Martin me demanda comment ça s’était passé. Il m’avouera quelques jours plus tard que c’était lui qui avait demandé à une de ses "clientes" régulière de me prendre. Elle lui avait adressé deux ou trois critiques comme quoi mon éducation était à parfaire, ce qu’il lui et me promis de faire. Mais ça c’est une autre histoire

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