Jeudi 31 janvier 2013 4 31 /01 /Jan /2013 19:35

Bonne Lecture là aussi.

 

"Le jardin parfumé (Kamasutra arabe) - Cheikh Omar Ben Mohamed

Nafzaoui

 

Extraits

 

"Les Manières de Conjoindre

 

Apprends ô vizir – que Dieu te prenne en sa miséricorde – qu’avant de conjoindre, lorsque tu en

sentiras le désir, tu t’oindras de parfums, et ta partenaire aussi, puis vous badinerez tous les deux de

toutes les façons possibles, celles capables de susciter des sensations agréables, comme les baisers,

les morsures, la succion, l’humectage, l’embrassement, la pression, afin que la femme se sente

portée naturellement et avec agrément à la conjonction. Puis, après l’avoir serrée sur ta poitrine, tu

l’étendras sur le sol, l’embrassant sur la bouche. Tu feras varier à ce moment les jeux d’amour,

chevauchant sur ses cuisses, sur les sommets de ses fesses, baisant sa touffe, secouant le sommet de

ton instrument entre les deux lèvres de sa partie chaude, montant sur sa poitrine, palpant ses deux

seins, embrassant la bordure inférieure du menton et la pente qui descend jusqu’à la gorge,

appliquant tes mains sur ses hanches et ses flancs. Tu multiplieras ces procédés plaisants jusqu’à ce

qu’elle devienne malléable entre tes mains.

 

Quand tu la verra dans cet état, tu planteras ton instrument en elle avec force jusqu’à ce que sa

touffe et la tienne se rencontrent. Tu le frotteras contre les parois internes d’une façon parfaite. Cela

fait, vos deux plaisirs arriveront à point en même temps. Au cours de l’opération, tu n’oublieras pas

les trémoussements, la manipulation, les tapes, les coups de bélier, les échanges entre vous de

paroles douces, de ronflements, de ronronnements, de râles, de cris tels que “ Donne ” et “ Prends ”,

de succion des lèvres, de baisers sur les sommets des joues. Si vous n’agissez pas ainsi, la femme

n’aura pas ce qu’elle désire, n’atteindra pas son but, n’obtiendra pas son plaisir, et l’homme laissera

chez elle une impression désagréable.

 

Quand tu auras obtenu la satisfaction de ton besoin, tu presseras l’instrument entre ses cuisses, à

l’intérieur de l’appareil, et tu l’inviteras à les réunir sur lui afin de serrer de toutes ses forces. Il

sortira alors par un conduit étroit, et sa tête fera entendre une sorte de glouglou dans la partie

chaude féminine, bruit que vous aurez plaisir à entendre tous les deux.

 

Tu descendras de sa poitrine du côté droit, par rapport à elle : si la femme conçoit cette nuit-là,

l’embryon sera un garçon – avec la permission de Dieu. C’est en tout cas ce que les hommes versés

dans la science religieuse ont mentionné – que Dieu les prenne en son agrément. D’autres ont dit

que celui qui conjoint sa femme et la rend enceinte, s’il veut qu’il mette au monde un garçon, qu’il

pose sa main sur le ventre de son épouse et dise : “ au nom de Dieu, le Clément, le Maître de

miséricorde ! ” ; qu’il bénisse l’envoyé de Dieu – que le salut et la bénédiction de Dieu soient sur

lui – puis prononce les paroles suivantes : “ Ô Dieu, notre Dieu, crée cet enfant sous une forme

mâle et je lui donnerai le nom de ton Prophète – que le salut et la bénédiction de Dieu soit sur lui. ”

Son intention sera exaucée et le Dieu Très-Haut, s’Il le veut, créera cet enfant sous la forme mâle,

mettant en œuvre sa miséricorde et sa bénédiction.

 

Quand tu auras fini de conjoindre, ne bois pas de l’eau jusqu’à satiété, car cela relâche le cœur. Si tu

veux recommencer l’opération, faites vos ablutions tous les deux auparavant, c’est un principe

excellent. Ne laisse pas la femme se mettre sur toi, car je crains que son eau ne te soit nuisible pour

peu qu’elle entre dans ton canal urinaire : cette recommandation est faite par les médecins. Cette

position, à savoir la montée de la femme et son chevauchement sur l’instrument dressé, est

considérée par les amantes comme une faveur qui étanche leur soif de plaisir : elles éprouvent

beaucoup de joie à s’élever et à redescendre ainsi. Prends garde à ce que leur eau ne sourde sur toi

en cette position.

 

Évite aussi de faire beaucoup de mouvements après la conjonction : on dit que cela est détestable.

On aimera, par contre, rester dans la quiétude durant une heure. Quand le sexe sort de l’huis, ne le

lave pas avant qu’il ne se calme un peu. Dès qu’il sera bien reposé, lave son œil doucement, mais

pas à grande eau. En le sortant à la fin de la conjonction, quand tu te sépare de la femme, ne le frotte

pas en faisant sa toilette, car cela occasionne une rougeur de la peau qui reste en permanence.

 

L’opération elle-même de la conjonction se fait de beaucoup de manières, avec des jeux d’amour à

foison. On ne peut les recenser d’une façon complète. Tout cela – que Dieu en soit loué ! – est licite

avec l’épouse et il n’y a pas de mal à le faire, excepté ce qui ne correspond pas volontairement à la

nature même de l’instrument, en ne permettant pas la fécondation. Si tu veux, tu peux conjoindre ta

femme en faisant face à tous les côtés de son corps : à son dos, à son ventre, à l’un ou l’autre de ses

flancs. Elle sera debout, assise sur son fondement, dans la position de l’agenouillement ou de la

prosternation… ou dans toute autre position où il t’apparaîtra convenable ou possible de loger ton

instrument à l’intérieur de son huis, d’y prendre plaisir et d’y prolonger ta jouissance."

 

"Si tu veux, tu lui demanderas de s’étendre sur le dos et de placer ses deux jambes sur tes deux

épaules. Ou bien de se mettre la face contre terre : dans ce cas, après avoir fiché ton instrument dans

sa partie chaude, tu monteras et descendras sur ses fesses, opération considérée comme des plus

savoureuses, et qui accélère le venue de l’eau. Si tu veux lui sensibiliser les cuisses, sans faire entrer

ton instrument dans son huis, monte sur ses deux fesses après avoir placé l’un sur l’autre ses pieds

et serré ses cuisses sur l’instrument. Celui-ci sera ainsi en mesure de se frotter contre l’espace situé

entre les deux lèvres de l’huis et ce frottement sur la porte de la partie chaude t’épargnera la

nécessité de la pénétration. Toute méthode, toute variation emploiera en outre : la montée et la

descente, le frottement, le pilonnage, le polissage, l’ébranlement, le ronflement, le ronronnement,

l’embrassement, la pression, la succion, le mouillage dans l’huis, l’escalade des fesses, la palpation

des seins, le baisement de la touffe.

 

Conjoins-la comme tu voudras dans toutes les plis de son corps, comme tu voudras dans n’importe

quel endroit de celui-ci, excepté dans l’arrière du fondement. Toute opération en ce domaine, tu

l’accompagneras de badinage, de tapotements sur la terrasse de l’huis et sur le haut des fesses. Tout

ce que tu aimeras faire avec ton épouse, tu le réaliseras. Si tu ne peux t’établir solidement dans

l’huis, place un coussin sous les deux cuisses de ta partenaire, et frappe jusqu’à ce que te réponde le

toit de l’appareil."

 

"Parmi les façons de conjoindre les plus appréciées et les mieux au point, on trouve celles-ci :

 

Tu te glisseras entre ses cuisses et tu ficheras l’instrument dans l’huis jusqu’à ce que se rejoignent

les deux touffes. Alors tu donneras des tapes, tu descendras, tu l’agiteras dans son ventre à droite et

à gauche jusqu’à ce que votre plaisir à tous deux arrive en même temps.

 

Tu pourras aussi agir de même dans la partie chaude de ta partenaire allongée, la face contre terre :

on appelle cela « le séjour agréable sur le sommet des fesses ». Et pour toi, ce sera vraiment un

moment de bien-être.

 

Une autre position : tu étendras la femme sur le sol, la face vers toi, tu l’introduiras entre ses

cuisses, tu placeras sa jambe droite sur ton épaule, et sa jambe gauche sous ton aisselle ; cela fait, tu

ficheras ton instrument en elle.

 

Une autre position encore : tu lèveras ses deux pieds que tu placeras sur tes deux épaules, après

avoir mis un coussin sous ses deux fesses ; tu le ficheras en elle, en obtenant une grande

satisfaction, le coup étant appliqué sur l’endroit qu’il faut, la partie compatissante se trouvant prête

 

à recevoir le jet viril.

 

Une autre position encore : tu étendras la femme sur le dos et tu mettras l’une de ses jambes sur ton

épaule ; l’autre jambe sera libre de retomber à sa guise sur le sol. Tu ficheras alors ton instrument

dans sa partie chaude."

 

Il existe bien d’autre positions mais il me faut abréger. Quelque soit le chemin que tu prennes pour

arriver à la jouissance et au plaisir par le pilonnage, le tapotage sur l’huis, la rencontre des deux

touffes et tous les moyens employés pour approvisionner la sensation, les joies les plus savoureuses

se trouvent réunis dans l’opération de la conjonction, de l’enfournement. Tout cela, bien sûr, après

le badinage, les baisers sur le sommet des deux joues et sur le reste du visage, la succion de la

bouche, la palpation des seins, l’embrassement de la poitrine, du cou, de la bouche, la pression

légère, le chevauchement de la croupe, des ravissantes cuisses, la pâture menée partout sur ce beau

corps tendre et bien nourri, les baisers déposés sur la terrasse d’un kouss gras et lisse, les coups de

dents qui lui sont portés, le polissage de la partie supérieure des fesses, le grattage de la tête de

l’instrument sur les deux lèvres de la partie chaude, les paroles savoureuses qui excitent, tel ce cris

de la femme : « Prends ma partie chaude, elle fait partie de tes meubles ! », et la réponse de

l’homme : « Prends l’instrument, car c’est ton bouchon », ou cette injonction de la femme : «

Frappe avec ton instrument ce kouss qui t’appartient, plonge-le jusqu’au fond de mon réduit et

n’oublie pas de fureter dans tous les coins », enfin le ronflement, le ronronnement, le râle, le

bruissement des deux touffes..."

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Ecrire un commentaire - Par Z. - Publié dans : Histoires
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Commentaires

J'étais jeune quand j'ai commencé à aimer la lingerie féminine et à vouloir la porter. J'étais dans une famille de femmes, j'ai passé mon enfance à voir le linge étalé sur les séchoirs: des vêtements, des draps, bien sûr, mais aussi et surtout des soutiens-gorge, des culottes, des porte-jarretelles, des gaines et encore...... J'étais fascinée par cet univers féminin. Je crois que c'est vers 12 ou 13 ans que j'ai eu pour la première fois envie d'essayer la lingerie des mes soeurs ou de ma mère. Je ne me souviens plus exactement de la première fois, mais je crois bien que c'était à la mer et c'était des maillots de bain, essayés en cachette, dans une cabine.

Je me rappelle seulement le plaisir éprouvé, la douceur sur mon corps. Le soutien-gorge était évidemment la pièce préférée, celle qui sanctionnait la féminité. Et je me rappelle aussi qu'une de mes premières envies a été celle de me faire voir par un copain. Drôle de chose, puisque je ne suis pas exhibitionniste et ne me montre pas en public, habillée en femme. Mais j'avais envie de cela. J'ai alors choisi un copain. Je le trouvais le plus mignon. Je n'avais pas très bien conscience de ce que ça pouvait être la sexualité, mais je le trouvais vraiment mignon et, tout aussi naturellement, c'est à lui que j'ai fait ma proposition. Je l'ai appelé, l'ai convaincu à laisser un moment les copains, je l'ai emmené à la cabine: "Qu'est-ce que tu veux?", dit-il un rien agacé. "Tu devrais voir comme je suis bien avec ce maillot", lui dis-je en lui montrant un bikini qui devait appartenir à une amie de mes soeurs. Pas de chance: "C'est pour ça que tu m'a appelé? Je m'en fiche !" a été sa réponse. J'ai été honteuse et déçue.

Cela a servi au moins à me mettre sur mon chemin. Oublié le copain, je savais quand même une chose: j'aimais porter la lingerie féminine. C'était déjà quelque chose. J'ai commencé à l'essayer très souvent, à la maison, en cachette, le plus souvent, enfermée dans la salle de bain.

On arrive à mes 14 ans. Il fallait quand même aller au-delà de quelques essayages. Au collège, j'étais dans une classe de garçons. Beaucoup devaient être assez précoces ou au moins très "travaillés" par leur sexualité naissante. Souvent, certains d'entre eux caressaient les fesses des copains et il fallait se rebiffer: évidemment, les vrais mecs ne se laissaient pas caresser les fesses, sinon on passait pour pédé. Les premières fois, je ne me suis pas laissée faire. Un jour, par contre, le garçon qui était assis à coté de moi a commencé à me caresser les fesses: cela me plaisait beaucoup et je l'ai laissé faire. Cela s'est su tout de suite, puisque j'ai entendu quelqu'un dire: "Ce pédé (donc moi) se laissait peloter les fesses et ça lui plaisait". Bref, une trentaine de garçon connaissaient mon inclination.

Parmi eux, il y avait Ali. On habitait à vingt mètres de distance et on étudiait souvent ensemble, soit chez moi, où il y avait souvent quelqu'un, soit chez lui, où il n'y avait personne jusqu'à sept heures du soir. Ali devait bien savoir, comme les autres, que j'avais accepté de me faire caresser les fesses, donc il n'a pas hésité à me mettre les mains sur le derrière quand on était ensemble, seuls, pour "étudier". Les premières fois, là encore, je me suis rebiffée, un peu pour la crainte de tout adolescent au passage difficile vers une sexualité accomplie et un peu pour une sorte de réticence toute féminine (le "bon sens commun" dit que les femmes, la première fois, se refusent toujours...).

Mon refus n'a pas tenu longtemps. Après quelques jours (on allait vers le printemps), Ali avait pleinement le droit de me caresser les fesses et il ne s'en privait pas. Il essayait même de me forcer à lui caresser son sexe, probablement dressé sous son pantalon. Là aussi, j'ai commencé par refuser. Il fallait avancer par petits pas. Ali semblait finalement d'accord, même si tout cela arrivait sans qu'on échange un mot ou presque: pour lui aussi, plus jeune de quelques mois, il s'agissait d'une découverte absolue.

Mais nous étions en chemin, le but (même si nous n'en étions pas tout à fait conscients) était fixé. Il fallait, tout de même, encore une étape intermédiaire: Ali ne se contentait plus de me caresser les fesses, mais il se mettait derrière moi pour frotter son sexe dressé contre mon derrière. On gardait nos pantalons, mais malgré cela, j'étais mouillée et lui aussi, je crois. On approchait du dénouement.

Bien plus tard, nous étions chez moi, dans ma petite chambre. Nous avions recommencé nos attouchements. A un certain moment, j'étais couchée à plat ventre sur mon lit, Ali était sur moi, frottait son sexe contre mes fesses. Jusqu'alors, Ali avait toujours pris l'initiative, cette fois-là, ce fut moi. J'étais prête, évidemment, même si je n'en étais pas totalement consciente. Tandis qu'il se frottait contre moi, je lui dis: "Relève-toi un instant !". Je me rappelle que je me suis retournée vers lui, qui s'était mis debout, et j'ai le vague souvenir d'une expression de surprise sur son visage. J'ai dégrafé mon pantalon, je l'ai baissé, je me suis recouchée à plat ventre. Derrière moi, je l'ai entendu, encore debout, dégrafer son pantalon. Il a sorti son sexe, il a baissé mon slip, il s'est couché sur moi et m'a pénétrée. Je me rappelle une merveilleuse sensation. J'ai joui presque tout de suite. Il m'a fait l'amour, il a joui en moi.

On était devenus des vrais amants. Les jours suivants, il y a eu à nouveau des tiraillements. Ali voulait que je prenne son sexe dans ma bouche, mais je n'étais pas d'accord ou, plutôt, je n'étais pas prête. Cela a duré seulement quelques jours, puis toute réticence de ma part a disparu: une après-midi, je me suis agenouillée près de lui, j'ai dégrafé son pantalon, j'ai sorti son sexe. Je l'ai sucé. Il a joui dans ma bouche. Son sperme était un peu acide, je l'ai bu quand même.

Finalement, le rapport était complet. Il était l'homme actif, j'étais la passive. Chacun était donc dans son rôle. Il ne me restait plus qu'une chose à accomplir: réunir ma passion pour la lingerie féminine à notre relation sexuelle. Ce fut assez facile, puisque bientôt je pris l'habitude, quand j'allais chez lui, de mettre sous mes vêtements de garçon la lingerie "empruntée" à ma mère et mes soeurs. Je ne sais pas s'il appréciait. Il ne disait rien. Seulement quand j'avais des choses moins courantes, comme un porte-jarretelles, il le remarquait avec un simple: "Oh, ma chérie !". Rien de plus. Parfois, il avait du mal à dégrafer mes affaires. Je me rappelle une fois, quand je portais une gaine noire de ma mère avec des bas: j'ai du l'aider, dégrafer les jarretelles pour qu'il puisse me prendre. Tout cela était très beau.

Ali a été mon amant (mon seul amant!) pendant six ans. J'étais heureuse avec lui. Je me sentais très femme avec la lingerie, même si je ne me suis jamais habillée complètement en femme avec lui (ceci a été un plaisir réservé aux amants suivants). Quand il avait une copine, il me délaissait un peu, mais il revenait toujours. Notre rapport est terminé quand il

commentaire n° :1 posté par : lailatvx le: 08/11/2012 à 11h31

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