Bonne lecture.
"Ce que je vais raconter est notre histoire, celle d’un couple uni et amoureux, devenu libertin à l’occasion, jusqu’à former pour l’instant un ménage à trois. Je suis commerçant dans une grande ville du sud-ouest de la France, un grand magasin de vêtements avec sept employées et, bien sûr, j’ai quitté ma femme pour vivre avec l’une d’elles. J’ai cinquante-huit ans, je suis assez bien conservé, on dit que j’ai du charme, et mon amie est une jolie Beurette de trente-quatre ans, brune et mince, bien cambrée, souriante avec une voix rauque et sensuelle.
Nous avons vécu un an ensemble avant de décider, lors d’un repas un peu arrosé, de découvrir et tester le milieu libertin. Nous avons fréquenté un établissement spécialisé, et rencontré des hommes et un couple par internet. Mon amie s’habillait de manière provocante, une micro jupe, un dos nu et des cuissardes. Sans sous-vêtements, elle allumait et branchait les hommes sur la piste de danse, on choisissait tous les deux notre partenaire, et nous avons donc fait quelques trios mémorables. Ces expériences renforçaient notre libido, nos rapports et nos plaisirs sont devenus plus intenses en imaginant la présence de nos anciens partenaires.
Elle aimait choisir des Blacks, pour leur peau, disait-elle, mais nous faisions l’amour avec d’autres hommes, sans critère d’âge, pourvu qu’ils acceptent le principe du trio. Nous avons connu un couple dont la femme est lesbienne, elles ont débuté à deux, mais rapidement l’homme est venu et lui a fait l’amour pendant plus d’une heure. On a également rencontré un Ivoirien au Cap d’Agde, avec qui nous avons eu trois nuits de débauche, plus quelques ratés, style éjaculateurs avant l’heure…
Les contraintes de mon métier m’ont fait embaucher un vigile dont le rôle était de sécuriser mon commerce, trier les entrées, empêcher les vols. J’ai choisi un étudiant sénégalais, beau garçon de vingt-quatre ans, éduqué, intelligent, grand, musclé, au crâne rasé, assez charmeur et autoritaire quand il le fallait. Mon amie n’était pas indifférente à son charme, mais nous étions convenus de ne pas mélanger travail et plaisir. Ce garçon ne venait que les jours d’affluence, c’est-à-dire en fin de semaine, ce qui était compatible avec ses horaires de faculté.
Nos sorties coquines étaient peu fréquentes, en général une fois par mois, dans une boîte où nous avions nos habitudes, et le plus souvent nous nous contentions de danser et de boire, de provoquer des hommes et rarement finaliser notre soirée. Nous aimions sortir le Vendredi soir car le thème des soirées permettait aux hommes seuls de rentrer, le Samedi étant réservé aux couples.
Ce soir-là, le site de la boîte annonçait Soirée Black and White, invitation un peu prétentieuse puisque peu de Blacks fréquentaient l’établissement. Il y avait beaucoup de monde, quelques habitués qui amenaient leur femme à la saillie, le bar où les mâles jaugeaient les danseuses sur la piste, la cage, le coin câlin, les canapés, et une belle ambiance érotique dispensée par quelques entraîneuses rémunérées.
Après quelques verres, nous voilà sur la piste, tendrement enlacés, parmi les nombreux danseurs et dragueurs, et le but du jeu était d’attendre qu’un homme se colle derrière mon amie, nous dansions à trois, puis je m’éclipsais, la drague devenait plus intense, et si l’homme plaisait, elle me l’amenait et de notre discussion résultait la fin de notre soirée.
Bien sûr, tous n’étaient pas choisis, et nos critères restaient sévères. Mon amie, Nora, pour la nommer, se dandinait de manière provocante sur la piste. On devinait malgré la foule et l’obscurité la nudité de ses fesses. Un homme se colla à elle, un Black, grand, je n’en voyais que les mains sur son ventre dénudé. Connaissant ses goûts, je me retirai sur mon siège en attendant la suite.
Nora et son soupirant disparurent dans la foule des danseurs, j’apercevais de loin en loin l’approche de l’homme, il se collait contre ses fesses, semble-t-il pour lui faire sentir sa virilité, ses mains devenaient plus précises, s’égarant sous la jupe et sur sa poitrine. Le temps me parut long, preuve que Nora appréciait la situation. En général, elle revenait au bout de dix minutes. Mais ils disparurent de ma vue sans que je m’en inquiète, étant en discussion avec des habitués.
Au bout d’une heure et comme j’en faisais la remarque, mon voisin me suggéra d’aller faire un tour ensemble (voyeur, pensai-je) dans le coin câlin. Parmi de nombreux participants, je distinguai difficilement, à cause de l’obscurité, Nora prise en levrette par notre Black, jupe retroussée, semblant aimer particulièrement sa situation. J’étais surpris car habituellement on faisait ça à trois, mais j’ai eu un choc quand j’ai reconnu son amant, c’était Basile notre vigile qui l’honorait avec fougue. J’ai observé quelques minutes sa grosse queue s’enfoncer dans le minou épilé de Nora. Malgré la musique, je pouvais entendre ses râles de plaisir que j’imaginais décuplé par la présence de voyeurs et d’autres couples qui copulaient.
Je me suis retiré discrètement pour revenir au bar et attendre leur retour, un peu contrarié car on s’efforçait de ne rencontrer que des inconnus. De plus, l’homme qui la baisait restait mon employé, situation particulière ! Nora revint seule, un peu penaude, s’assit sur le tabouret, câline avec moi :
Dit avec un sourire coquin et un bisou amoureux.
Sur ces entrefaites, Basile s’approche avec un sourire carnassier :
En se regardant les pieds ! Il m’avait repéré dans l’alcôve, il savait que je les avais vus faire l’amour et il devinait que je ne pouvais rien dire. Nora était très gênée, et malgré tout, il lui fit un bisou dans le cou.
On part tous les trois, Nora et Basile sur la banquette, côte à côte, moi, en face sur le pouf.
(Rire crispé de ma part. De plus, j’ai appris par la suite que Nora lui avait donné l’adresse pour nous rencontrer !)
Elle se tourne vers lui et l’embrasse sur les lèvres en lui mettant la main dans l’entrejambe. Il lui rend son baiser et plonge sa main dans son léger corsage, me dévoilant son sein.
Il me prit au mot et ils se mirent à flirter devant moi et nos voisins, amis de rencontre connus. Ils se firent des bisous, des caresses, ses mains s’égaraient sous la jupe, et au moment où elle lui touchait son membre, je leur dis :
J’avais décidé de reprendre les choses en main, il était trop sûr de lui.
Pour me justifier :
Du tac au tac :
Léger comme justification, mais j’opine et nous quittons le club. Le trajet assez long m’a été assez douloureux, ils se sont installés à l’arrière de ma Porsche. L’espace est confiné, et ils ont continué à flirter malgré ma surveillance au rétroviseur. Nora n’était plus du tout gênée et semblait y prendre beaucoup de plaisir.
J’ouvre la bouteille, Basile découvrait notre appartement assez luxueux, et il me répondit en souriant :
Nora baissa ses yeux en souriant. Elle me voyait en difficulté pour la première fois. Il était intelligemment ironique, j’avais pardonné, il pouvait continuer. Je suivais ses pensées.
Il était trois heures du matin et je me sentais passablement ivre. Basile, en pleine forme, trempait ses lèvres modérément dans le champagne :
Avec un clin d’œil. Décidément, il me provoque pensai-je. En fait, il n’avait pas du tout besoin de son travail pour vivre, et vu son physique, il en retrouverait facilement. Nora apparut enroulée dans une serviette de bain. Excitante au possible, elle se plaça devant Basile en me tournant le dos et laissa tomber sa protection, bien campée sur ses jambes écartées. Elle était entièrement nue, j’apercevais ses lèvres tombant entre ses fesses. Elle mit un pied sur l’épaule de Basile et en musique, ondulant le bassin, approcha son minou en rythme, puis elle renversa Basile sur le canapé et plaça son minou au-dessus de sa bouche.
J’étais estomaqué, il la léchait devant moi, elle gémissait tout en lui déboutonnant la braguette, et elle sortit son sexe, énorme, en érection complète, et se mit à le branler.
J’ai abandonné. Mon pénis ne pouvait supporter la comparaison et je me suis senti humilié au point de ne pas vouloir me mettre nu. Pourtant, j’avais un désir de Nora intense provoqué par leur prestation au club. Pour moi, ce sera journée sans sexe, par contre, pour Nora ! Je m’éclipse discrètement sur un fauteuil retiré, et me régale du spectacle : Nora s’empale sur ce gros vit qui s’enfonce doucement dans son minou, pourtant elle est étroite mais elle semble l’avaler sans difficulté.
Le va-et-vient commence, la grosse bite va de plus en plus profond, j’entends les gémissements et les halètements. Elle se penche et l’embrasse, il pétrit ses seins, enfonce un puis deux doigts dans son anus, elle pousse des petits cris, la cyprine dégouline, la queue luit, la cadence s’accélère, je n’existe plus, les mots crus fusent :
Il exagère, c’est le délire de l’amour, pensai-je, en bandant comme un porc (petit). Si je sors ma bite, il va se moquer, je fais donc profil bas. Dans l’absolu, il a raison, je n’ai jamais baisé mon amie si bien.
Ils changent de position. En missionnaire, c’est lui qui prend l’initiative, il la pilonne, j’entends ses couilles rebondir, Nora commence à crier, preuve que l’orgasme approche, arrive, explose, elle donne de grands coups de bassin et s’effondre dans ses bras. Quel orgasme, jamais elle n’en avait eu aussi prolongé avec moi, elle était prise de tremblements, remerciait Basile pour cette partie. Lui :
Il sortit sa bite encore droite, en fait il s’était retenu, mit Nora à quatre pattes, et positionna son gland devant son petit trou. Il l’avait préparée en la doigtant, sa bite luisait de cyprine, et il s’enfonça délicatement, centimètre par centimètre, jusqu’à la garde, et reprit ses va-et-vient, en lui titillant le clitoris. Ils explosèrent ensemble, dans les cris d’un nouvel orgasme. Il lui avait rempli le cul de son foutre qu’on voyait sortir entre les fesses. Heureusement, il ne m’a pas demandé de lécher, sinon je l’aurais fait avec honte et plaisir.
Elle s’adressait à moi, me remerciait de l’avoir laissée avec son Black, et, je pense, de n’avoir pas participé. J’avais éjaculé en les regardant, sans me toucher. J’étais honteux, jaloux de sa bite et de sa prestation, mais heureux pour Nora qui n’avait jamais connu pareille jouissance avec moi.
Glup.
Toujours provoquant ! Dans les vapeurs d’alcool et un demi sommeil, j’ai entendu le lit grincer toute la nuit, j’ai compté les orgasmes successifs, trois autres, et je suis branlé en pensant qu’il n’y avait aucune raison de ne pas jouir. Au petit matin, pendant que Nora récupérait, j’ai offert le café à Basile qui l’a pris nu devant moi. Sa grosse bite pendait, encore en semi érection. Avec ses bourses gonflées, j’avais l’impression qu’il serait capable de recommencer.
Il me tutoie pour la première fois :
Ne sachant que répondre, je bégayai :
Belles nuits en perspective !
Au réveil, Nora vint se serrer contre moi
Que dire, j’acquiesçai bien sûr. Je serai un cocu de temps en temps, elle sera à moi le reste du temps. Presque le bonheur, j’étais pris à notre jeu.
Notre semaine fut fabuleuse, Nora se montra amoureuse et salope avec moi. Je surpris quand même quelques textos enflammés sur son portable, il l‘appelait sa salope, elle lui répondait qu’elle était impatiente de retrouver son gros bâton tout noir, que la prochaine fois, elle sucerait ses couilles. Bref, de la poésie !
Et nous attendions impatiemment le week-end suivant. Au magasin, Basile fut exemplaire, comme s’il ne s’était rien passé, aucun risque donc de ce côté.
Pour accélérer le récit : nous avions convenu de nous retrouver au club. Basile est venu avec un ami mais nous n’avons fait que danser, Basile demandant à Nora de danser avec son ami, un Black aussi, et nous nous sommes retrouvés à trois pour une nouvelle nuit d’enfer. Simplement Basile m’a demandé de guider sa bite en Nora, le reste a été sans particularité, orgasmes sur orgasmes, devant moi ce coup-ci, en me permettant de photographier.
Nos relations occupaient uniquement nos vendredis, mais au club il me semblait que le congénère de Basile devenait de plus en plus entreprenant sous l’œil blasé de ce dernier. Nora s’habillait toujours de la même façon et les mains de l’ami de Basile, Patrick, devenaient baladeuses.
Sur la banquette, les positions étaient définies, Nora au milieu des deux, moi en face sur un pouf. Nos amis et connaissances se moquaient, nous demandaient à quand le mariage. J’étais penaud. Un soir que j’étais malade, je suis rentré seul plus tôt, les laissant tous les trois, et Nora est rentrée seule en fin de nuit.
La semaine suivante, mes amis se sont fait un plaisir de me conter la soirée, Nora a dansé avec les deux, et a passé la nuit toujours avec les deux Blacks dans une alcôve fermée, d’où ne sortaient que les bruits caractéristiques de l’amour et des orgasmes. Quand je lui ai demandé des explications, elle m’a répondu que Basile voulait offrir un cadeau d’anniversaire à Patrick, et comme il n’y avait pas de femmes libres, elle s’est dévouée. En fait, elle a fait l’amour avec les deux, l’un après l’autre, puis ensemble, une bite dans le minou et une dans la bouche, ils se sont relayés, puis l’ont prise devant et derrière, pour elle c’était la première fois.
Nos relations ont évolué, Basile a quitté son emploi au magasin mais est venu vivre chez nous. Je me suis aménagé une chambre d’ami. Nos sorties ont perduré, Nora s’offrait en boîte devant Basile ou avec lui. Pour ma part, je trouvais mon compte avec d’autres femmes en club. De temps en temps, Basile invitait un ami pour passer la nuit à trois avec Nora. Je me complaisais dans cette situation, Nora avait l’air heureuse, et je baisais autant qu’avant, mais avec d’autres.
Le plus difficile a été d’accepter qu’ils se comportent en couple lors de nos sorties cinéma, restaurants, vacances. Un soir, ils sont sortis seuls dans une boite afro, il voulait la présenter à ses amis. En fait, il se cherchait un successeur car il devait rentrer en Côte d’Ivoire exercer son métier. Elle a donc connu un jeune étudiant de vingt ans, toujours un Black, aussi beau garçon que lui. Elle a fait l’amour dans la boite avec Thierry devant Basile, et ils m’ont raconté cette soirée le lendemain.
Actuellement, nous attendons le départ imminent de Basile, et je pense que Thierry prendra sa place tant dans notre lit qu’au magasin."
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