Mardi 18 septembre 2012 2 18 /09 /Sep /2012 11:36

Lettre à un cocu [1]

 

Bientôt ta salope de femme Sophie viendra rejoindre Z et ses complices pour une partie de baise effrénée. Elle sera présentée les yeux bandés à une bande de mâles en rut, prêts à infliger les pires sévices à cette victime consentante.

 


Sophie sera d'abord observée, scrutée, dévisagée, objet de commentaires d'abord polis, puis de plus en plus crus, voire salaces comme ceux de JYves… Elle sera effleurée, caressée, touchée, palpée, avant d'être lentement dévêtue, effeuillée pièce par pièce.

 


D'abord ses fausses lunettes qui lui donne un air de secrétaire, puis son chemisier blanc dévoilant un affriolant soutien-gorge noir. Sa jupe tailleur tombera vite à ses chevilles. Ta femme se retrouvera ainsi exposée, en talons hauts, bas noir et lingerie assortie, livrée à la merci de ses tortionnaires.

 


Vois-tu, cocu, ta femme aime les hommes virils qui s'imposent, la brusquent, la dirigent, la baisent, sans violence, sans douleur. Nous ordonnerons ensuite à cette garce de se mettre à quatre pattes. Docile et obéissante, ta salope de femme s'exécutera immédiatement, excitée par la situation.

 


Nous lui passerons alors un collier de cuir autour du coup. Ta femme Sophie deviendra alors notre chienne… Seras-tu là cocu pour assister au spectacle aux premières loges, ou resteras-tu sagement à la maison, imaginant cette salope se faisant défoncer par tous les trous ? Nous aurons à ce moment une pensée pour toi.

 


Sophie sera d'abord lentement apprivoisée, caressée, puis bien vite, des mains balladeuses effleureront son dos, ses bras, ses cuisses, ses fesses… Le soutien-gorge ne résistera pas longtemps aux assauts, libérant sa jolie poitrine aux têtons durcis par l'excitation.

 


Ensuite cocu, nous vérifierons bien que ta chienne de femme mouille proprement. Nous nous ferons un plaisir de lui arracher sa culotte, de lui caresser l'entrejambe, de lui taper fermement sur le cul, et de lui glisser tour à tour 2 ou 3 doigts dans la chatte.

 


Cette superbe cocufieuse se mettra à respirer un peu plus fort, à gémir, à remuer du cul, comme une invitation pour lui en donner toujours plus… Puis nous viendrons tour à tour nous frotter la queue sur son sexe humide dégoulinant de désir pour lui offrir ensuite à sucer. La garce se délectera ainsi de son propre jus de chienne en chaleur.

 


N'est-ce pas terriblement excitant, cocu, de voir ou d'imaginer ta femme nous obéir aveuglément, s'offrir totalement, se soumettre et subir de tels outrages ? Sois patient, dans quelques semaines, nous emmènerons Sophie sur des chemins encore inexplorés du vice et de la perversion, et tu y prendras grand plaisir…

 


[suite à publier plus tard]

 


Au plaisir !

 


LibRt1Paris
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commentaire n° :1 posté par : lailatvx le: 18/10/2012 à 07h30

J’étais en poste en Afrique et, comme là-bas tout est compliqué, nous avions un chauffeur qui accompagnait mon épouse pour tous ses déplacements.
Je qualifierais ma femme de cochonne, amoureuse de son homme.
Avant moi, elle avait eu des relations avec d’autres hommes et je savais qu’elle avait un faible pour les hommes de couleur.
Notre chauffeur était un black quelconque, pas très souriant et pour moi, il était impossible que quelque chose puisse se passer avec mon épouse.
Un matin, j’étais en ville pour une réunion et, celle-ci s’étant finie plus tôt, je décidais de passer à la maison pour prendre un café.
Je débarquais sans faire de bruit, la voiture était garée dans l’allée centrale, mais pas de trace de mon chauffeur. J’ouvrais la porte de la cuisine, personne pour m’accueillir.
J’allais ressortir quand j’entendis des râles venant de notre chambre à coucher. Je m’approchais sur la pointe des pieds, je passais la tête par la porte et je découvris ma femme, au lit avec mon chauffeur.
Cette salope était à quatre pattes, cambrée au maximum, la tête dans l’oreiller, se faisant défoncer le cul. Elle gémissait, hurlait en bougeant ses fesses, sous les coups de boutoir.
Ahmed était monté comme un âne, je voyais sa bite énorme, luisante, entrer et sortir du cul de ma femme, défonçant sa rondelle. Il coulissait en elle avec facilité, ses couilles tapaient sur les fesses de ma chérie qui l’encourageait en lui demandant de l’enculer plus fort. Il rentrait et sortait de son orifice distendu, posant ses mains sur la croupe de sa maîtresse pour admirer ce fessier qu’il défonçait avec son gros gourdin.
Je n’avais jamais vu mon épouse se déchaîner autant au lit. J’étais jaloux de la grosse bite d’Ahmed qui donnait tant de plaisir à ma femme.
Je ne pouvais pas détacher mes yeux du spectacle qui m’était offert, j’aurais dû intervenir et, au lieu de ça, je restais planté là, à regarder, ma bite gonflée par le désir, prête à exploser.
Le rythme s’accélérait, Ahmed baisait de plus en plus fort le cul de ma femme, elle criait des mots crus, encourageant son amant à en finir.
Ce dernier, sentant qu’il allait éjaculer, se retira du cul de ma femme, elle se cambra et posa les mains sur ses fesses pour écarter encore plus sa rondelle.
De longues giclées de foutre l’arrosèrent, graissant son œillet bien ouvert.
Je comprenais pourquoi ma femme avait pris autant de plaisir en voyant la bite d’Ahmed cracher son jus. Elle était veinée, puissante, large et très longue. Sa queue devait mesurer au moins 25 cm et plus de 5 cm de diamètre. Ma femme se retourna et prit à deux mains son sexe. Elle enfourna ce morceau de chair dans sa bouche et se mit à le pomper comme une furie. Elle, qui avait tant de mal à avaler ma queue d’habitude, s’enfonçait dans la gorge près de 20 cm de bite. Je ne la reconnaissais plus, elle était complètement accro à la grosse bite du black.
Je m’échappais sans faire de bruit et quittais la maison, encore troublé du spectacle auquel j’avais assisté. Je rentrais ce soir-là, à la maison, plus tard que d’habitude, retrouvant une femme épanouie.
Je savais qu’elle se faisait baiser mais elle ne se doutait de rien.

 

Après avoir découvert que ma femme se faisait baiser par notre chauffeur, je décidais de la piéger. J’installais une caméra-espion dans notre chambre, reliée à mon ordinateur portable.
Le matin avant de partir, je mettais la caméra en mode enregistrement et je pouvais ainsi contrôler ce qui se passait dans notre chambre à coucher.

Dès le lendemain de mon installation, je fus récompensé. Après s’être levée, douchée, ma femme revint nue dans notre chambre. La quarantaine, ma femme mesure 1,65 m et pèse 53 kg. Adepte de fitness, elle est bien faite, ses seins sont fermes, son ventre plat et ses fesses musclées. Elle prend soin d’elle au quotidien, se fait masser régulièrement et fait des UV toute l’année. Son pubis est entièrement épilé, ainsi que ses fesses.
Je la vis se planter devant le miroir et s’admirer sous tous les angles.
Puis, elle se mit à se caresser les seins, ses doigts jouant avec ses tétons. Sa bouche entrouverte confirmait qu’elle prenait plaisir à se caresser. Ses mains descendirent entre ses cuisses et elle se mit à jouer avec son bourgeon. Je l’entendais respirer plus fort, elle se cambrait, se laissant aller.
Après quelques minutes à se masturber, elle se retourna et se mit à quatre pattes pour mater son cul ferme et rebondi. Elle passa un doigt dans sa fente humide et se masturba à nouveau. Son abricot lisse était en feu, un autre doigt s’introduisit dans son sexe pour en ressortir peu de temps après et venir titiller sa rosette. Pour la petite histoire, ma femme prend son pied par le cul…..
Elle se cambra, posa son doigt sur son œillet lubrifié par son jus et l’introduisit dans son cul.
Elle se mit à faire tourner son doigt pour ouvrir son petit trou.
Sa rondelle très souple s’ouvrit rapidement, elle posa les mains sur ses deux globes de chair et les écarta, laissant apparaître son trou de salope bien dilaté.
Elle garda la position quelques instants, admirant son cul bien ouvert tout en prononçant ces mots crus : « ça, c’est un cul de salope aimant la grosse bite de black !».
Puis, elle se leva, enfila un string noir, se regarda à nouveau dans le miroir, se cambrant pour admirer ses fesses.

 

Contente d’elle, elle appela Ahmed qui devait se trouvait dans la cuisine.
Ce dernier arriva dans la chambre, quelques secondes plus tard, découvrant sa maîtresse à quatre pattes, un string noir dans la raie séparant ses deux globes de chair rebondis.
Elle lui demanda de baisser son pantalon et s’empressa de lui flatter ses couilles et sa grosse tige qui pendait. Sa queue au repos avoisinait les 18 cm et près de 4,5 cm de diamètre. Elle goba ses deux boules, les aspira, les fit rouler dans sa bouche. Elle se mit à lécher cette colonne de chair qui se redressait doucement, titillant du bout de la langue le gland gonflé. Elle tétait le gros fruit rubicond, aspirant goulûment cette tige qui se dressait fièrement. Après avoir joué avec, elle ouvrit grand la bouche et avala, cm par cm, la queue d’Ahmed. Elle salivait, pompait le gros morceau de chair qui palpitait, descendant de plus en plus loin, pour en prendre le maximum au fond de la gorge.
La bite du chauffeur était tendue, veinée, énorme, les deux boules gonflées se faisant malaxer par les doigts experts de ma salope de femme.
Ahmed était aux anges, il grognait de plaisir, encourageant mon épouse, en appuyant sur sa tête. Il matait dans le miroir le cul de ma femme qui n’arrêtait pas de se trémousser pour exciter son amant. Il lui demanda d’accélérer, elle pompait de plus en plus vite, il se dégagea d’elle et saisit d’une main sa queue. Ma femme ouvrit la bouche et reçut une p

commentaire n° :2 posté par : lailatvx le: 15/10/2012 à 13h53

Merci

réponse de : Z. le: 15/10/2012 à 14h00

Karim (lailatvx sur le net) était ravi. Pour la première fois depuis longtemps, il rentrait tôt. La semaine avait été dense mais fructueuse. Il avait placé tous ses contrats en trois jours. Il avait repris le train, ce matin et, le bus le déposait devant la maison. Nadia, sa femme, n’était sûrement pas encore arrivée : il avait tout le temps pour lui préparer une bonne surprise !
Karim, comme tout bon commercial s’absente une bonne partie de la semaine pour son travail. Il part le dimanche soir et ne revient jamais avant le vendredi dans la journée. Il est exceptionnel qu’il rentre ainsi un jour avant. Il a 38 ans. Il est marié avec Nadia depuis 5 ans. Ils vivent heureux dans un appartement spacieux au dernier étage d’un immeuble confortable, loin du centre ville mais suffisamment proche des centres commerciaux et des commerces de proximité. Ils n’ont pas d’enfants, hélas ! Ils ont longtemps cherché à en avoir mais la nature ne les a pas favorisés.

Il monte quatre à quatre les marches. Il refuse toujours de prendre l’ascenseur pour garder la forme. Il dépose sa valise dans l’entrée, boit un verre d’eau et redescend dare-dare. Il file tout droit chez le traiteur et commande de la nourriture chinoise – la nourriture préférée de Nadia. Puis il achète des roses et enfin, une bouteille de champagne.
Les bras chargés, il remonte chez lui et arrive en nage. En cette fin avril, les journées sont plus chaudes. Il range les courses et prend une bonne douche. Rafraîchi et reposé, il se met en devoir de préparer la table. Il met une belle nappe en dentelles sur la table et dépose des chandelles.
Tout était prêt !
Nadia est une jeune femme de 32 ans. Elle travaille à mi temps à la poste du quartier. C’est une jolie femme brune, au physique agréable sans être d’une grande beauté. Elle rit souvent et attire toujours la sympathie de ses voisins et amis. Karim est tout son contraire. Pour un commercial, il est plus « pantouflard ». Il aime peu voir du monde en dehors de son travail. C’est parfois le sujet de disputes entre eux. Mais ce sont des disputes qui ne durent jamais car une grande complicité et un amour profond les lie. Pour lui, Nadia est le grand amour de sa vie – le seul aussi car il n’a jamais connu d’autres femmes. Nadia, elle, a eu plusieurs amants avant de rencontrer son mari.
Karim représente pour elle une grande sécurité et une stabilité qui lui a toujours fait défaut.

Karim regarde l’heure : sa femme va rentrer d’un moment à l’autre. Il s’assoit dans le fauteuil le plus en face de l’entrée et attend. Il savoure à l’avance la réaction de sa femme quand elle le verra là. Bientôt l’ascenseur s’arrête au dernier étage. La porte couine toujours un peu à l’ouverture. C’était parfois agaçant quand les voisins rentraient tard. Mais depuis deux mois, l’appartement d’en face est vide et Karim a presque oublié le son grinçant. Il reconnaît la voix de Nadia. Elle parle avec animation. Elle ne semble pas être seule !
La porte s’ouvre. Elle apparaît dans la plénitude de ses 32 printemps. Elle est de plus en plus belle !
Le large sourire de Karim se fige car un homme entre à la suite de Nadia. Il lui tient la main. Nadia n’a pas vu son mari. Elle referme la porte et se tourne vers l’inconnu. Elle passe ses bras autour de son cou et l’embrasse. L’homme passe les siens autour de sa taille et relève sa robe. Il saisit fermement les fesses de la jeune femme et les lui écarte légèrement. Nadia pousse une plainte animale et se suspend au cou de l’étranger tout en nouant ses cuisses autour de la taille large.
Karim est devenu pâle. Il est immobile, silencieux. Le regard fixe : il regarde sans voir, sans réaliser ce qu’il voit. Sans vouloir admettre même ce qui se déroulait devant ses yeux.
Nadia ne porte même pas de culotte sous sa robe.
Les deux amants continuent à s’embrasser. L’homme insinue son index entre les fesses de Nadia et semblait la fouiller. Elle pousse de longs râles qui en disent long sur le plaisir qu’elle éprouve.
- Oui vas-y, fouille mon cul chéri ! Oh oui, enfonce ton doigt encore un peu. Là ! Comme ça !
- Tu veux deux doigts salope ?
- Oui mon cœur, défonce-moi ! Écarte-moi bien ! J’ai envie de sentir ton sexe dans mon cul.
- Alors suce !

L’homme a joint le geste à la parole. Il ressort son doigt de l’anus de Nadia et le lui tend. Elle ouvre la bouche et avale l’index et le majeur de sa main droite. Elle suce goulûment les doigts qui s’écartent à nouveau de sa bouche et redescendent vers ses reins. Karim assiste toujours sans rien dire, sans marquer aucune réaction. Il a la gorge serrée. Il ne croit pas ce qu’il voit ni ce qu’il entend. Jamais sa femme ne lui a dit de telles choses. Jamais, il n’a osé lui enfoncer ses doigts dans le cul !
C’est l’homme qui aperçoit le premier Karim. Il le fixe sans pour autant arrêter ses caresses impudiques. Il se tourne simplement afin que Nadia puisse voir son mari.
Elle marque juste un petit temps de surprise. Elle dénoue ses jambes et se laisse descendre, comme à regret. L’homme a retiré ses doigts que Nadia baise délicatement.
Elle lisse sa robe froissée et s’avance vers Karim sans avoir lâché la main de son amant.
- Bonjour Karim ! Je … te présente Nabil !
- Bonjour Karim, dit l’inconnu, au nom curieux.
Karim ne répond pas. Sa femme hésite quelques secondes et reprend :
- Il est … je pense inutile de te faire croire autre chose que ce que tu as vu. Je te trompe. Je suis avec Nabil depuis un an. Mais avant lui, il y en a eu d’autres. Tu es cocu mon chéri !

La déclaration de Nadia est abrupte et sans détour. Tout en disant ces paroles qui assassinent, elle se colle contre le corps de son amant, lui saisit les mains et les plaque contre sa poitrine. Nabil saisit à pleines mains les mamelons et les serrent.
Nadia pousse à nouveau un petit gémissement de plaisir et de douleur confondus. Nabil descend les bretelles de la robe et dégage les seins ronds et fermes de Nadia. Elle ne porte pas de soutien-gorge non plus. Nabil attrape les tétons et les pince fortement.
Nadia ouvre la bouche et crie :
- Oui chéri, fais-moi mal. Je te veux. Montre au cocu ce qu’il ne sait pas faire !

Karim voudrait répondre mais le mot « cocu » le frappe en pleine figure. Il vient de mettre enfin un mot à la situation. « Cocu ! » Sa Nadia, sa chérie le trompe ! Elle s’envoie en l’air avec d’autres hommes que lui !
Nabil lâche un des seins de Nadia et descend sa main vers le bas de sa robe qu’il relève brutalement, dévoilant le bas ventre de la jeune femme. Elle est toute nue sous sa robe. Nabil passe la main dans l’entrejambe de Nadia qui tient sa robe relevée et écarte les cuisses.
- Comment peux-tu me faire ça ? Regarde-toi ! Tu te conduis comme une putain !
- Karim ! Je ne suis pas une putain : je suis sa Femme, sa meuf ! Tu sais que je t’aime. Mais c’est un amour qui est devenu tendresse. Lui me donne du plaisir. Je me sens femme, tu comprends : FEMME ! Je trouve que tu es le plus merveilleux des maris : attentionné et prévenant. Mais hélas, tu es un piètre amant. J’ai connu des hommes
avant toi et j’ai toujours eu du plaisir avec eux : avant

commentaire n° :3 posté par : lailatvx le: 04/10/2012 à 07h35

Hello cher LibRt1Paris,

 

je n'ai qu'une chose à dire, bravo pour cette belle prose, je me sui délécté de tes mots et j'ai vraiment bien imaginé la scène.

J'ai hâte d'y être afin de mettre en exécution ce scénario afin d'honorer Sophie la cocufieuse et de bien cocufier son mari.

 

Sam

commentaire n° :4 posté par : Sam le: 19/09/2012 à 19h53

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