Vendredi 9 août 2013 5 09 /08 /Août /2013 06:54

A mon réveil il était midi passé, et constatant la journée froide et grise qui s’annonçait, j’eus soudain l’idée de donner une suite stimulante à mon aventure de la veille au soir…Je me levai, pris un long bain moussant et parfumé, puis passai dans la chambre, choisir les parures dont j’allais revêtir mon corps. J’optai pour un ensemble soutien-gorge, porte-jarretelles, culotte et caraco en satin bordeaux rehaussé d’une fine dentelle noire ; puis je choisis une paire de bas de nylon noirs à couture, que je fixai aux jarretelles. A chaque fois que je faisais glisser le nylon le long de mes jambes imberbes, j’étais gagné par la même excitation qui me procurait un mélange exquis de frissons, accompagné d’une légère érection. En dessous froufroutants devant la coiffeuse, je soignai particulièrement mon maquillage, qui se devait d’être impeccable …pour cette première sortie de jour !

Après un léger fond de teint, je tamponnai de la houpette un peu de poudre de riz, puis rehaussai mes pommettes d’une légère touche ocrée. Je marquai le bord de mes yeux d’un crayon de kôhl noir, puis dégradai mes paupières et le bord de mes yeux d’un fluide dégradé de bleu nuit, qui faisait ressortir l’azur de mes iris. Délaissant le rose sage que j’avais essayé la nuit dernière, je choisis un rouge à lèvres carmin, qui donna aussitôt à mon visage un air très sensuel. Dès que j’eus posée et coiffée ma perruque, je tombai amoureux de l’image que me renvoyait le miroir : celui d’une jeune femme sensuelle et décidée. Je me parfumai largement le creux du cou, la poitrine, les aisselles, et même mes dessous ! J’hésitai un peu sur la tenue à choisir pour recouvrir d’aussi affriolants dessous, et optai finalement pour une tenue très bourgeoise : un chemisier de soie imprimée, dont l’encolure se terminait par un col foulard que je nouai d’un nœud sage, et sur lequel j ‘attachai un collier de perles de maman. Puis j’endossais un tailleur Channel chiné vert sombre. N’ayant pas les ongles longs, je me contentais d’une couche de vernis de la même couleur que le rouge à lèvres, puis choisis une paire de fins gants de peau noirs, aux poignets rehaussés d’une légère fourrure. Debout devant la glace du salon, j’étais presque prête. Je laçai les escarpins noirs à brides de ma mère, serrant les lanières sur mes chevilles gainées de nylon noir. Je choisis un grand foulard Hermès que je nouai sagement autour de l’ovale de mon visage, puis me glissai voluptueusement dans le lourd manteau de fourrure de ma mère. J’empruntai un sac à bandoulière dans lequel je glissai mon porte-monnaie, mes papiers d’identité et mes clefs. Un dernier regard dans le miroir, puis je claquais derrière moi la porte de l’appartement, et cette fois-ci, choisis d’emprunter le vieil ascenseur hydraulique. Je n’y croisai personne, alors qu’au fond de moi, je me sentais déjà prêt – prête – à affronter en plein jour, le regard de n’importe qui. Je débouchais sur l’avenue de Ségur où planait un froid brouillard de novembre, qui m’enveloppa aussitôt. On ne voyait pas très loin devant soi, mais je savais où j’allais, et je traversais l’esplanade pour me diriger vers le carrefour de l’Ecole Militaire. Un coup d’œil à ma montre : 14h40, je serai à l’heure pour la séance de cinéma  de 15h.

Je me dandinais sur mes talons avec un plaisir extrême, lorsque j’arrivai près du carrefour avec l’avenue Bosquet. Il y avait un peu plus de monde que sur les avenues de Ségur et de Suffren que je venais de traverser, mais j’étais si sure de moi que rien n’aurait pu me détourner de mon but.Avant de m’engouffre avenue Bosquet – où se trouvait le cinéma du même nom que j’avais choisi – je longeai la vitrine de la grande brasserie qui occupait l’angle de l’avenue, et eût la surprise d’y découvrir, assis devant la vitre, ce même monsieur distingué et cérémonieux rencontré la veille au soir ! J’éprouvai aussitôt comme un choc en le reconnaissant, et je dus marquer un temps d’arrêt, car levant les yeux de son journal, il me découvrit 
soudain face à lui de l’autre côté de la vitre embuée. Il me sourit aussitôt, se leva pour me saluer, mais moi, les joues en feu, resserrant le col de mon manteau de fourrure, je m’engouffrais à pas rapides dans l’avenue qui menait au cinéma.
Ces séances de semaine en après-midi n’attiraient qu’une faible clientèle du troisième âge, parfois rejoints par quelques lycéens « sècheurs » de cours ou quelques mères de famille esseulées ; mais lorsque mon billet déchiré, je suivis l’ouvreuse dans la salle, je n’y dénombrais guère qu’une douzaine de spectateurs disséminés dans cette grande salle glaciale. Je m’assis au fond, loin de la porte d’accès, et dénouant mon foulard je me recoiffai, mais gardai ma fourrure, ne trouvant pas la température assez douce pour me mettre à l’aise. La première partie ne me passionna guère et lorsque les lumières se rallumèrent pour le court entracte, je m’appliquai à détailler discrètement les rares spectateurs de cette séance d’après-midi. Comme je le pensais, il n’y avait quasi exclusivement que des hommes, soigneusement disséminés aux quatre coins de la salle, et fort éloigné le uns des autres. L’un d’eux me regardait avec insistance et me sourit ; je détournai la tête …et mon cœur faillit s’arrêter de battre dans ma poitrine, lorsque je découvris sur le même rang que moi, mais à quelques dix fauteuils de distance, ce même monsieur rencontré il y a un instant et qui habitait l’immeuble 
voisin du mien ! Je faillis m ‘évanouir lorsqu’il me sourit et me fit un petit signe de la main, et au moment même où les lumières s’éteignirent, je le vis se lever…et venir s’asseoir dans le fauteuil situé juste à côté du mien ! L’obscurité se fit dans la salle et le générique commença à se dérouler là-bas, au bout de la salle sur le grand écran blanc. Moi, j’étais tétanisée, incapable de bouger, de respirer, avec cet homme à mes côtés. Je fixais l’écran mais ne voyait rien, tous mes sens étant tournée vers cet homme dont j’attendais (avec impatience ?) un geste, un soupir, un mot murmuré. Je crois qu’il s’est passé de longues minutes avant que je ne sente son bras droit venir se poser sur l’accoudoir mitoyen. Je faillis retirer mon bras gauche, mais avant même que j’ai esquissé le moindre geste, l’homme avait posé sa main sur la mienne, et enserré ma main gantée dans la sienne. Ses longs doigts caressèrent alors doucement le dos de mon gant, et aucune caresse intime n’aurait pu à ce moment, me procurer une onde de volupté si brutale que celle qui soudain me transperça. Je tournai légèrement mon visage pour regarder sa main caresser la mienne, lorsque sa main, quittant mon gant, vint se poser sur mes épaules ; ses doigts glissant sous le col de fourrure, se mirent alors doucement à caresser mon cou et ma nuque avec cette même douceur, à laquelle je savais déjà que je ne pourrai pas résister…

Une légère pression de ses doigts sur ma nuque me força à tourner mon visage vers lui, mais je n’osai pas le regarder en face et je fermais les yeux. Il me fit poser la tête au creux de son épaule, et je sentis alors son visage s’approcher du mien, puis ses lèvres vinrent se poser sur les miennes. Quasi naturellement , j’entrouvris les miennes et sentis sa langue venir chercher la mienne, s’y enrouler, et me faire basculer dans un premier baiser qui fut pour moi un délice de volupté.
Il m’embrassa merveilleusement bien, longtemps, tendrement, puis, tandis que ses lèvres venaient effleurer mon oreille dans un court baiser, il me murmura « Vous êtes si belle, et j’ai tellement envie de vous… » Sa main gauche vint alors se poser sur mon genou, et remontant lentement sous la jupe de mon tailleur en faisant crisser mon bas, elle me caressa en progressant doucement mais régulièrement vers le haut… Lorsque ses doigts atteignirent la partie de chair située au-dessus de la bordure de mes bas, je feulais doucement dans ses bras ; il me murmura aussitôt « Vous aimez mes caresses ? » et je m’entendis chuchoter « oh ouiii » en me lovant davantage dans ses bras. Sa main remonta encore et arriva au liseré de dentelle de ma fine culotte, elle en caressa le dessin, puis s’insinua sous l’élastique… Je souhaitais ardemment ce genre de situation, et en même temps, je mourrai d’inquiétude à l’idée de sa réaction lorsqu’il découvrirait mon état de garçon. J’eus un instant l’idée de me lever brusquement et de quitter la salle…mais j’étais vraiment trop bien là , dans ses bras, ensorcelée par ses caresses qui m »excitaient, et je m’abandonnais… Lorsque ses doigts rencontrèrent mon petit sexe dressé sous le fin satin de ma culotte, il ne marqua aucun étonnement, sa main droite posée sur ma nuque amena de nouveau mon visage vers le sien, et cette fois je gardai le yeux ouverts lorsqu’en me souriant tendrement, il m’embrassa avec passion, tandis que ses doigts fins prenaient possession de ma colonne de chair, qui fût aussitôt agitée de spasmes d’excitation. J’éjaculai brutalement dans sa main, qui se referma aussitôt sur mon pénis pour garder mon sperme dans sa paume. Lorsque les spasmes se calmèrent et que je repris un peu conscience après cette violente montée d’excitation, il m’embrassa de nouveau, puis sortant sa main de sous ma jupe, il l’approcha de ses lèvres, et sans cesser de me regarder, se mit lentement à la lécher… Blottie dans ses bras, pelotonnée contre cet homme qui venait de m’amener si délicieusement à l’extase amoureuse, je me sentis soudain soumise et terriblement féminine. Je pris sa main encore humide et je la baisai amoureusement.

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