Il me caressa tendrement les cheveux, tandis que son autre main, après avoir dégrafé deux boutons de mon chemisier, s’était introduite vers ma
poitrine, où ses doigts partirent à la recherche de mes petits tétons, raides d’excitation. Il en prit un entre son index et son pouce, et commença à me le malaxer, d’abord doucement, puis
insensiblement de plus en plus fermement. Je sentais mon téton se durcir sous ses doigts, et l’excitation remonter lentement en moi. C’est alors que je découvris qu’un homme assis jusque là
plusieurs rangs devant nous, s’était délicatement rapproché dans l’obscurité, et occupait maintenant le fauteuil situé juste devant les deux nôtres. Il s’était retourne lentement vers nous et son
regard était posé sur moi, à l’endroit où la main de mon voisin me caressait doucement. Je me retournai vers mon compagnon, l’interrogeant du regard, mais il ne protesta pas, me sourit et murmura
« nous allons procurer un peu de plaisir à ce pauvre voyeur qui s’ennuie dans ce grand cinéma… » ; puis prenant ma jupe à deux mains, il la retroussa très haut sur mes jambes gainées de soie. On
découvrait maintenant les jarretelles de mes bas, ainsi que la chair nue du haut de mes
cuisses, et même la dentelle de ma culotte. M’écartant lentement les cuisses, mon compagnon me souleva légèrement le bassin et fit glisser le long de mes jambes ma culotte de satin, qu’il respira
voluptueusement, avant de la mettre dans la poche de son pardessus... Puis il prit mon petit sexe dans sa main et recommença à le caresser très lentement, en regardant notre voisin dont les yeux
ne perdaient pas une miette du délicieux spectacle offert. Il lui demanda soudain à voix basse s’il voulait me sucer. L’inconnu acquiésa d’un hochement de tête et vint nous rejoindre sur notre
rang. Il s’assit dans le fauteuil vide à ma droite, et inclinant son buste vers mon entrejambe, prit soudain mon sexe entre ses lèvres. Le contact chaud et humide de sa bouche autour de ma hampe
fut absolument fabuleux ; je crois que je poussai un petit cri de plaisir, qui fit rire mon compagnon de gauche, et hésiter une seconde mon nouveau voisin de droite. Puis il reprit sa délicieuse
caresse des lèvres et de la langue. Lorsque je me mis à jouir à longues saccades, l’homme ne quitta pas mon sexe, avalant consciencieusement la moindre goutte de ma laitance ; puis il nettoya mon
méat de sa langue, se redressa, murmura « merci » et se leva pour aller retrouver son siège plusieurs rangs devant. Mon compagnon se tourna alors vers moi « Que diriez-vous de finir l’après-midi
chez moi, chère amie ? Je rêve de vous offrir un délicieux thé afin de vous
réchauffer » Je lui rendis son sourire et en minaudant lui répondit « avec plaisir cher monsieur ! » mais il m’interrompit aussitôt « non ma chérie, appelez-moi par mon prénom : Victor, pour vous
servir et vous aimer belle inconnue. » Je ris et nous levâmes pour quitter la salle obscure. Dans le hall il prit mon bras, et attendit que je renoue mon foulard face aux grandes glaces, qui me
renvoyaient l’image de notre couple distingué et racé : une belle jeune femme en manteau de fourrure, accompagnant un homme aux tempes argentés, en pardessus et feutre sombre.
L’obscurité commençait à tomber lorsque nous débouchâmes sur l’avenue Bosquet, et les réverbères distillaient leur lueur jaunâtre sur le
revêtement asphalté des grands trottoirs mouillés. Comme un couple bourgeois rentrant tranquillement chez lui après une promenade, nous parcourûmes et sans prononcer une parole, les grandes
avenues quasi désertes pour rejoindre notre quartier. Arrivés en bas de chez lui, il m’attira vers lui, m’embrassa et me demanda « Vous voulez bien monter chez moi ? Je vous ai promis un thé, et
j’aimerais bien que nous fassions plus ample connaissance » J’avais une telle confiance en cet homme raffiné, poli et merveilleusement caressant, que je n’hésitai pas une seconde, je lui souris
et acquiésai de la tête. Il se déroba pour me laisser passer et nous pénétrâmes dans un immeuble fort semblable à celui que nous habitions, un petit peu plus loin . Dans l’ascenseur je me lovai
dans ses bras. Victor habitait un très grand appartement au second étage de son immeuble, un six ou sept pièces, somptueusement meublé, très confortable et douillet. Une douce chaleur y régnait
et Victor m’aida à ôter ma fourrure, mon foulard et mes gants, puis prenant ma main, il me guida vers un grand salon dont il alluma les lumières indirectes. Je m’assis dans un profond canapé
Directoire, et il s’excusa pour aller préparer le thé. Pendant ce temps, je détaillai les objets, tableaux et bibelots du salon, pour tenter de mieux cerner la personnalité de cet homme encore
mystérieux ; mais je ne découvris ni photo, ni témoignage d’une quelconque présence supplémentaire. Il revint avec un plateau garni d’une théière, de deux grandes tasses, d’une assiette
de boudoirs, et de deux grands verres à alcool dans lesquels brillait un liquide ambré.
« Vous goûterez ma fine champagne, elle vient de mes vignes familiales, et j’en suis très fier » Il vint s’asseoir à mes côtés, prit ma main, y
déposa un baiser et fit le service. Le thé était délicieux, les biscuits moelleux et nous fîmes plus ample connaissance. Sans aucune honte, en totale confiance, je me mis à lui raconter comment
j’en était venu à cette sortie travestie ; il m’écouta silencieusement, se contentant de hocher la tête en signe d’assentiment. Sa main avait repris la mienne, et ses doigts en caressaient la
peau, comme pour me communiquer cette confiance, cette intimité qui était en train de s’installer entre nous. Lorsque j’eus fini, il me raconta à son tour qu’il était divorcé depuis cinq ans,
qu’il vivait
seul, partageant son temps entre sa propriété familiale en province qu’il administrait lui-même, et ses fonctions de représentant des propriétaires-viticulteurs de la région à la Chambre de
Commerce de Paris. Il m’avoua qu’il vivait très isolé, et que lorsqu’il m’avait vu l’autre nuit il avait tout de suite eu envie de me revoir, me trouvant à la fois fragile, timide et si
merveilleusement envoutante. En me revoyant aujourd’hui, il avait saisi l’occasion de me suivre et de me rejoindre au cinéma. Etonné – mais non surpris – par ce qu’il avait découvert sous mes
soieries intimes, il m’avoua qu’il avait espéré que j’étais un garçon, car me dit-il, c’est à cause de l’amour qu’il avait porté à un délicieux jeune homme, que sa femme avait demandé le divorce
! Il se rapprocha alors de moi, me prit à nouveau dans ses bras, et je m’abandonnai totalement à son baiser passionné. Puis nous avons parlé, et bu de son délicieux cognac, au point que j’en
étais toute étourdie. Il m’avait ensuite portée dans une grande chambre dont il avait tiré les lourds rideaux et allumé une petite lampe de chevet. Il
m’avait doucement déshabillée en me caressant et en m’embrassant. Je n’avais plus de culotte – qu’il m’avait dérobée au cinéma – mais il me laissa mon porte-jarretelles et mes bas, puis me
prenant dans ses bras, il me porta au creux du grand lit, où il vient de sa langue caresser mon petit sexe déjà tout émoustillé par ces préparatifs… Il me suça merveilleusement bien, et je
jouis dans sa bouche. Il vint ensuite me rejoindre, collant ses lèvres aux miennes, et me retransmettant ma propre laitance, douceâtre que j’avalais goulûment… Ensuite il se déshabilla, et se
présentant nu face à moi me dit « Tu n’as pas trop honte de mon corps ? Tu sais, j’ai presque soixante ans » mais je lui souris en lui ouvrant les bras, et il vint se blottir contre moi. Peu
m’importait son âge, son petit ventre replet ou ses petits bourrelets, c’était l’homme qui m’avait choisie, qui m’avait amenée au plaisir d’être femme, et je savais déjà que j’étais à lui,
que je lui appartenais, totalement. Je l’aimais déjà avec une passion un peu aveuglante, et une soumission quasi totale au moindre e ses désirs.
Il sortit alors du tiroir de la table de nuit, un tube dont il prit une grosse noix de crème parfumée ; puis s’accroupissant entre mes jambes,
il posa la noix de crème au bord de mon anus, et d’une lente caresse, il la fit délicatement pénétrer en me massant délicieusement le conduit intime. Il dut sentir mes contractions, car il me
parla doucement pour me calmer : « Ne crains rien ma chérie, ce sera délicieux et absolument pas douloureux, je te le jure. Je vais bien te masser, et préparer ton petit temple d’amour, pour
distendre tes anneaux intimes, afin que tu ne sentes que ma présence en toi. Je t’assure que je serai très doux. Tu as envie que je te fasse femme ? Tu as confiance en moi ? » Je jetai mes bras
autour de son cou, et lui avouai «Oui mon amour ; j’ai tellement envie de connaître ce plaisir, d’être femme dans tes bras, de t’appartenir toute entière, de te sentir en moi. J’ai envie ce soir
d’être ta femme et ta maîtresse… »Il m’embrassa amoureusement et reprit une nouvelle noix de crème, en continuant de me masser l’anus. Au bout de dix minutes, je sentais ses doigts pénétrer sans
aucun effort en moi, et ces caresses me procuraient à chaque pénétration de courtes ondes de chaleur et déjà de plaisir… Je ronronnais arc-boutée sur le lit, tandis que ses lèvres suçaient les
tétons de mes seins, en mordillant le pointes pour les étirer félinement. A un moment, il posa sa main sur mon sexe qui était de nouveau redevenu dur et dressé, et me demanda si j’étais prête ?
Je lui souris et me retournai à plat ventre sur le lit. Il vint alors se placer entre mes jambes, en redressant doucement mon bassin. A peine sentis-je un petit caillou dur se poser à l’orée de
mes fesses, que déjà, je le sentais glisser en moi, doucement, me procurant une incroyable sensation d’excitation. Victor avait posé ses mains sur mes hanches et il s’était aussitôt retiré
délicatement, avant de revenir doucement me re-pénétrer en douceur. A chaque nouvelle intromission, il progressait de quelques centimètres, et à peine avait-il effectué cette progression, qu’il
se retirait aussitôt comme s’il avait eu peur de me blesser. Mais je ne ressentais rien de douloureux, ben au contraire ! A chacune de ses pénétrations, je sentais mon anus s’écarter sans que
j’ai besoin de le lui commander, et son sexe prenait alors doucement possession de moi. A un moment, je le sentis tout entier en moi, ses bourses butant contre mes fesses. Il s’arc-bouta et me
demanda si j’étais bien « Oh oui, chéri ! c’est merveilleux, je te sens en moi, je sens ton sexe qui me possède ! » Alors il commença doucement à bouger en moi, mais cette fois il ne ressortit
plus. Lorsqu’il arrivait au bord
de mon anus, il se ré-enfournait doucement et ainsi de suite en accélérant doucement ses va-et vient en moi…J’étais comme folle, cette pénétration me procurait un plaisir nouveau, totalement
inconnu, qui bien mieux que mes masturbations me possédait et me faisait soudain basculer dans un délire érotique si intense que je me sentais perdre la tête. Je réalisais soudain que je
pleurais, de joie, tandis que s’agrippant soudain un peu plus violemment à mes hanches, j’entendis soudain mon amant feuler en gémissant ; je sentis alors un liquide chaud couler entre mes
fesses, et tandis qu’il se retirait délicatement de moi pour me prendre tendrement dans ses bras, j’éclatais en sanglots, enfouissant mon visage contre son torse en criant presque « Oh je t’aime,
mon chéri, je t’aime… Merci d’avoir fait de moi une femme, ta femme ! » Et c’est vrai qu’à ce moment précis, je me suis sentie enfin, vraiment, entièrement, pleinement femme !
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Hummmmmmmmmm ce récit me fais mouillée de bonheur, de plaisir, de désir. J'aurais aimée être à la place de cette jeune femelle pour prendre et donner du plaisir. (jpehem.mm@orange.fr)