Mardi 7 mai 2013 2 07 /05 /Mai /2013 10:02

Je pensais encore à cette fille que j’avais rencontrée dans le bus et avec qui j’avais fait plus ample connaissance, je n’oublierai jamais qu’elle s’était exhibée à moi en essayant tous les vêtements qu’elle avait achetés ce jour-là. C’est en ouvrant mon portefeuille que tout ceci m’est revenu en mémoire et pourtant cela ne faisait que deux semaines, j’avais son numéro de portable sous les yeux, elle me l’avait donné, c’est avec le cœur battant la chamade que j’ai composé le numéro.


Ça sonne, au bout de la cinquième sonnerie, elle décroche.


  • — Allo…
  • — Bonjour Nadine c’est Pierre, tu te souviens de moi ?
  • — Oui, bien sûr, un après-midi aussi mystérieux dans ma journée, je ne peux pas l’oublier.
  • — Comment vas-tu Nadine ? Cela me fait plaisir que tu me dises cela. Je t’ai contactée car j’aimerais te revoir.
  • — C’est bizarre, mais cela fait quelques jours que je pense à toi et à ce que tu as réussi à me demander.

J’ai vite cherché une idée dans ma tête, car sa voix était, comme d’habitude, très sensuelle.


  • — Nadine nous pourrions organiser une soirée sympathique chez toi.
  • — Et quel jour aimerais-tu le faire ?
  • — Demain soir si cela te va ?
  • — Mon mari est à la maison.
  • — Ce n’est pas un problème, Nadine, ce ne sera qu’une soirée entre amis. Tu diras la vérité à ton mari, que c’est moi qui ai retrouvé ta chaînette et que tu voulais me remercier en m’invitant chez toi.
  • — Tu as toujours les bons mots pour me convaincre, alors vas pour demain soir, nous ne serons que nous trois, les enfants ne seront pas là.
  • — Je me réjouis déjà pour demain, j’ai une faveur à te demander.
  • — Laquelle ?
  • — Tu porteras une chemise un petit peu transparente et une jupe courte de ton choix, je te fais confiance. Et les sous-vêtements seront un de ce que tu avais essayé devant moi, le feras-tu ?
  • — …

Je n’attendais que son consentement, il tardait à venir, mais cela m’excitait beaucoup.


  • — Nadine…
  • — Oui…, oui je le ferai.
  • — Alors, disons 19h00, c’est ok ?
  • — Nous nous verrons demain soir, mais tu seras sage.
  • — On verra.
  • — À demain.
  • — À demain.

Ma tête était pleine d’idées, je pensais déjà à ce j’attendais d’elle, son mari serait là, mais c’est au risque d’être surpris qu’il y a plus de plaisir. Je me suis arrangé pour chercher un superbe bouquet de fleurs juste avant d’aller chez elle. J’ai sonné à la porte et c’est Nadine qui est venue m’ouvrir, je suis restée bouche ouverte quand j’ai vu la chemise qu’elle portait, je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit aussi transparente (c’est par la suite qu’elle m’a dit que son mari lui avait demandé de mettre cette chemise là et qu’elle serait la plus belle.)


  • — Bonsoir Nadine
  • — Bonsoir Pierre, viens, rentre, ne reste pas cloué là.
  • — C’est pour toi, j’ai pensé que cela te ferait plaisir.
  • — Merci c’est trop gentil, viens, je te fais la bise.

La première bise était sur la joue, mais je me suis arrangé pour que les deux autres soient plus près de ses lèvres.

Elle m’a regardé, ses yeux brillaient, je ne pouvais distinguer exactement de quoi mais certainement de l’excitation du moment.


  • — Chéri, c’est Pierre regarde le beau bouquet qu’il m’a offert.
  • — Bonsoir Pierre, ma femme m’a beaucoup parlé de vous, venez, rentrez dans le salon, je préparais justement l’apéro.

Nadine était juste devant moi et, subtilement, j’ai posé ma main sur une fesse en la suivant. J’ai vu qu’elle commençait à rougir. J’étais assis juste à côté d’elle et, au moment où Jean s’est levé pour aller chercher des glaçons, je lui ai glissé à l’oreille :


  • — Je vois bien ton soutien-gorge denteler sous ta chemise, tu es très excitante.
  • — Merci.
  • — Si tu ouvrais un deuxième bouton, tu serais plus à l’aise, il fait chaud ici.
  • — Non, s’il te plaît, sois correct maintenant.
  • — Humm, tu dis maintenant, donc plus tard éventuellement ?
  • — Je….
  • — Alors, Pierre, racontez comment s’est passé votre rencontre.

Jean venait de rentrer, Nadine n’a pas pu me dire ce qu’elle voulait.


Nous avons discuté pendant tout l’apéro et quand est venu le moment du repas, vu que Jean avait prévu de cuisiner ce soir-là, je suis resté seul avec Nadine, je me suis approché d’elle et je l’ai adossée contre le mur et, là, j’ai posé mes lèvres tendrement sur sa bouche, elle a un peu protesté au début mais a fini par ouvrir ses lèvres et j’ai commencé à jouer avec sa langue et nous nous sommes embrassés un peu sauvagement, vu que cela faisait deux semaines que je ne l’avais pas vue.


  • — Je suis sûr que tu n’es pas chiche d’ouvrir le deuxième bouton de ta chemise.

En me regardant droit dans les yeux, elle a pris le bouton, l’a fait tourner et, comme par magie, j’en voyais un peu plus de son décolleté, humm un délice.

J’ai passé ma main droite sous sa jupe et j’ai senti qu’elle avait le string, mais je ne savais pas lequel et j’ai voulu la tester encore.


  • — Nadine, enlève ta culotte et donne-la-moi, ensuite tu diras à Jean que tu veux me montrer quelque chose sur l’ordinateur pour qu’on puisse être seuls.

Elle ne disait rien, j’ai pensé que rien ne se passerait. Mais, d’un coup, elle a passé ses deux mains sous sa minijupe et, en attrapant les deux extrémités du string de chaque côté, elle l’a fait glisser, une jambe s’est relevée puis l’autre et elle me mit le string dans la main.


J’ai passé ma main comme si je n’étais pas sûr qu’elle soit cul nul et j’ai de nouveau senti les poils de sa chatte, hummm, je bandais de plus en plus. Mon doigt glissait tout seul vers sa fente béante et ouverte de désir.


  • — On monte Nadine.

J’ai vite mis le slip dans ma poche et j’ai terminé mon verre, Nadine est allée voir son mari et lui a dit :


  • — Chéri je vais montrer les photos de nos dernières vacances à Pierre.
  • — Ok, super, je vous appelle quand c’est prêt.

Nous sommes montés, Jean ne savait pas que sa femme n’avait plus de slip et cela m’excitait terriblement, je n’attendais qu’une chose, que je sois seul avec elle.


Son doigt a appuyé sur le bouton et l’ordinateur s’est mis en marche, je me suis mis derrière elle et j’ai passé mes mains sous sa chemise pour aller chercher ses seins, j’avais tellement envie de les toucher et de les caresser.


  • — Que fais-tu ?
  • — Je te caresse, laisse-moi enlever ton soutien-gorge.
  • — Non, ça se verra, mon mari verra que je ne l’ai plus.

J’ai sorti un sein de sa cachette et je touchais le téton qui gonflait rapidement.


  • — Donne moi ta main, touche là, sens comme j’ai envie de toi, oui tu aimes avoir mon sexe dans ta main et si tu lui disais bonjour comme tu sais si bien le faire.
  • — Pierre, si Jean monte on est dans de beaux draps.
  • — Ne t’en fais pas, montre que tu aimes le risque, de toute façon on l’entendra monter.

Nadine s’est laissé glisser le long de mon corps et a sorti mon sexe de sa cachette sur le côté de mon short et puis, en me regardant droit dans les yeux, elle m’a dit :


  • — C’est cela que tu voulais.

Et puis, plus un mot, mon sexe se frayait un passage entre ses lèvres, trop bon le plaisir que j’y ai pris, elle me suçait comme dans mes rêves et oui j’ai rêvé d’elle quelquefois depuis notre dernière rencontre.


  • — Alors, tu les trouves comment les photos Pierre ?

Jean, de la cuisine, m’a questionné.


  • — Ha, très bien Jean il y en a beaucoup.
  • — Oui j’aime prendre ma femme en photo tu sais.
  • — C’est super bon… heuu beaux.
  • — On mange dans cinq minutes.

Et puis plus rien, Nadine avait sorti mon sexe de sa bouche, me l’avait remis en place et avait vite cherché les photos pour me les montrer afin que je puisse dire ce que j’avais vu au cas où il me questionnerait durant le repas. Nadine souriait, elle était ravissante, elle a remis le sein en place, mais j’ai voulu sentir la chaleur de sa chatte. Je lui ai relevé une jambe et en me mettant à genoux j’ai posé mes lèvres sur ses grandes lèvres que j’ai aspirées tendrement.


  • — Hummm tu es très mouillée Nadine.
  • — C’est toi qui me rends folle, Pierre.

Je me suis relevé j’ai vite sorti ma queue et je l’ai positionné sur sa chatte, holala, c’est rentré tout seul, elle devait vraiment en avoir envie, Nadine. J’ai effectué quelques va-et-vient.


  • — Je suis folle, tu me rends folle. Ce n’est pas raisonnable ce que l’on fait. Je vais jouir si tu continues, s’il te plaît, fais-moi jouir.
  • — À une condition.
  • — Tout ce que tu veux.
  • — Pendant la soirée je te demanderai de faire des choses et tu les feras sans discuter.
  • — Oui ouiii, je veux bien, fais-moi jouir Pierre.

Et là, je n’ai pas pensé à mon plaisir mais seulement au sien. Je cherchais son clitoris avec mon gland et elle s’est lâchée, elle a joui, c’était super.


La minute qui restait, on a vite regardé quelques photos en bord de mer où elle était en vacances avec son mari et elle a remis de l’ordre dans sa tenue.


  • — Super vos photos de vacances, mais vous en avez encore beaucoup à voir…
  • — On pourra y aller tous ensemble après si tu veux.
  • — Ok volontiers.

J’étais assis juste à côté de Nadine et Jean en face de nous, on s’est régalé, on a vidé la première bouteille de vin et Jean s’est levé pour aller chercher une deuxième à la cave à vin.


Nous étions seuls, elle et moi.


  • — Relève ta jupe et assieds-toi de nouveau.

Elle l’a fait, car elle m’avait promis qu’elle ferait tout ce que je lui demanderais.


  • — Touche, tu sens comme tu m’excites.
  • — Tu es insatiable.
  • — Je n’ai pas encore joui.
  • — Je suppose que tu vas me demander de t…
  • — Voilà une nouvelle bouteille toute neuve.
  • — Et bien on va pouvoir la vider.

On a bien rigolé, c’était une superbe soirée et, pour pousser le vice encore un peu plus loin, dès que je fus seul avec elle, je lui ai demandé :


  • — Va dans ta chambre et enlève ton soutien-gorge, tu trouveras, je suis sûr, une bonne excuse si ton mari le voit.

Elle s’est levée et elle est allée dans sa chambre mais j’étais sûr qu’elle ne le ferait pas, j’ai attendu, Jean est revenu. Entre temps, il avait préparé les desserts.


Et c’est là que Nadine arriva, en même temps que son mari… J’ai fait de gros yeux, et Jean a vu, tout comme moi, ses seins par transparence, mais il n’a rien dit sur le moment. Il cherchait une réponse à une question qu’il n’avait pas posée et Nadine lui a fait un bisou sur les lèvres amoureusement et je n’ai pas entendu ce qu’elle lui a dit à l’oreille. Mais par la suite, elle me l’a dit (« J’avais chaud et je suis allée me mettre un peu à l’aise »).


Un autre bisou, mais ce coup-ci de Jean a répondu à sa femme et là j’ai entendu.


  • — Je t’aime chérie.
  • — Moi aussi.

Durant tout le dessert, j’avais du mal à détacher mon regard des seins de Nadine, je pouvais enfin les voir à loisir, bon ce n’était pas 100% transparent, mais disons 50%, et encore, je suis gentil.

Je n’avais qu’une envie, c’est de pouvoir remonter avec elle et lui faire encore l’amour. Jean voulait voir à tout prix la fin du film et il nous a dit qu’il ne viendrait pas avec nous pour voir les photos.


Nous sommes montés et nous avons regardé les photos. Oh oui, on les a regardées, mais de quelle manière…

Nadine était assise sur mes genoux je sentais la peau nue de ses fesses. Tout s’est accéléré, j’ai sorti mon sexe, elle l’a pris en main et l’a guidé vers son nid d’amour, flop c’est par magie qu’il s’est enfoncé entièrement dans son vagin. En faisant des montées-descentes sur mon sexe sous prétexte de me montrer un détail à l’écran, mon sexe rentrait et sortait de sa fournaise, je n’en pouvais plus, j’ai ouvert complètement son chemisier et j’ai pris ses deux seins en main pour bien les caresser. Nadine se laissait aller à son plaisir, elle a dû mordre dans sa main pour ne pas crier son plaisir.


  • — Je vais jouir Nadine, je vais jouir.
  • — Je n’ai pas de préservatif, vide-toi en moi, c’est trop bon.

Quel plaisir de sentir son sperme gicler dans sa chatte toute chaude, je croyais que je ne finissais plus. Mais on s’est encore embrassé et nous avons remis de l’ordre dans nos tenues.

Nadine a vite essuyé, comme elle pouvait, le trop-plein de sperme et on est descendus ensemble.


Le film arrivait presque à sa fin, nous avons convenu de nous revoir, car la soirée était vraiment hors du commun et Jean me trouvait très sympathique.

S’il savait… Intérieurement j’avais envie qu’il le sache, mais comment faire ?


Je suis monté dans ma voiture, je leur faisais des gestes de la main pour leur dire au revoir, j’avais baisé Nadine pendant que son mari était dans le salon en train de regarder la télé. Plein de choses me trottaient dans la tête, des idées cochonnes et très excitantes, car je bandais de nouveau. Je sentais encore son vagin autour de ma queue, je touchais la bosse de mon pantalon pour remettre en place mon sexe. Nadine, quelle belle femme, sa poitrine me fait tant fantasmer !


J’arrive enfin à la maison, je laisse la voiture dehors le quartier est assez calme, je ferme la voiture à clef et, en mettant les clés dans ma poche, par mégarde, je les fais tomber. Elles glissent dans l’égout, il ne manquait plus que cela, les clés de l’appartement plus celles de la voiture. Plus rien, j’ai regardé si j’avais la possibilité de rentrer chez moi, mais tout était fermé, alors j’ai pris mon portable et j’ai téléphoné Nadine.


  • — Allo
  • — Bonsoir Jean, c’est Pierre, excuse-moi de te déranger mais j’ai un petit problème.
  • — J’espère que ce n’est pas grave qu’est-ce qui t’arrive. ?
  • — En sortant de voiture mes clés sont tombées dans l’égout et je suis dehors, je ne peux pas rentrer chez moi.
  • — Bouge pas j’arrive, tu dormiras chez nous ce soir.
  • — Très sympa, merci Jean.

Pendant le chemin, alors qu’il m’emmenait chez lui, je lui ai dit que je les trouvais très sympathiques et qu’il avait de la chance d’avoir une femme si merveilleuse et si gentille. Je ne suis pas trop rentré dans les détails. De son côté il m’a fait comprendre qu’il était content que sa femme ait fait ma connaissance. Je ne savais pas trop quoi répondre à ses dires, mais nous arrivions chez lui, Nadine était encore debout, mais là surprise, elle était dans une très jolie nuisette où je devinais ses seins en dessous, avec un string blanc un peu transparent, je pense qu’elle s’était préparée pour son mari, nous avons encore bu un verre et puis Jean m’a montré la chambre où je dormirais. Je leur ai dit « bonne nuit » et j’ai fait la bise à Nadine, Jean ne regardait pas et j’en ai profité pour viser ses lèvres, c’était rapide, mais ô combien excitant de faire ça en présence du mari.


J’ai laissé la porte entrouverte et je me suis déshabillé, je n’avais pas de pyjama et je suis resté en caleçon. Ma queue pointait sur le devant, je ne contrôlais pas mon érection. Et c’est là que j’entendis toquer à la porte.


  • — Au fait, je t’ai préparé une serviette, la bleue, au cas où tu voudrais prendre encore une douche.
  • — Ha, très bien, merci Jean.

Je n’ai rien pu faire, j’ai vu son regard se poser sur le drapeau qui était dans mon caleçon et il a vu mon érection.


Je suis allé sous la douche et j’ai apprécié de me doucher là où Nadine se douchait tous les jours, là où elle faisait peut-être l’amour avec son mari, où elle se masturbait, je ne faisais qu’aggraver la situation, bref je bandais.

J’ai fait doucement en sortant de la douche. Je pensais me faire des idées mais c’est bien des petits gémissements que j’entendais dans le couloir. À petits pas et en oubliant que j’étais tout nu, je me suis dirigé vers ce bruit, je savais qu’ils étaient en train de faire l’amour et c’était plus fort que moi, je voulais savoir.

Par chance leur porte était un peu entrouverte, mais je ne voyais pas le lit. Et là, ô surprise, j’ai vu Nadine juste en nuisette, plus de string, la glace de leur chambre me donnait la possibilité de les voir à l’œuvre. Jean était couché sur le dos et Nadine guidait son pieu au fond de son vagin, en entrouvrant ses lèvres et en sortant des sons que j’aime beaucoup.


  • — Humm… c’est trop bon, j’en avais envie.
  • — Moi aussi chérie, viens, prends-moi entièrement dans ton ventre.

Je me suis surpris en train de toucher ma queue et de me masturber en les regardant. Je ne voulais pas jouir, pas comme ça, je cherchais le regard de Nadine et il a rencontré le mien, elle savait à présent que je les regardais faire l’amour, elle m’a fait un clin d’œil et a sorti sa langue en la passant sur ses lèvres tout autour, avec des hummm qui n’en finissaient pas.


  • — Viens, baise-moi.

J’ai crû qu’elle me demandait de venir et de la baiser devant son mari, mais j’ai vite réalisé que c’était à Jean qu’elle parlait. Elle s’est couchée sur le dos et a levé ses pieds pour les poser sur les épaules de son mari et j’ai vu la pénétration, le sexe de Jean la prendre à petits coups pour la faire gémir de plaisir, il l’a ramonée au moins pendant dix bonnes minutes.


  • — Je viens, je viens, chérie.
  • — Oui ouiii, jouis dans ma chatte, s’il te plaît, remplis-moi de sperme, j’aime cela, j’aime être pleine de sperme.
  • — Haaa, et ben, dis donc, on dirait que cette soirée t’a plu, car tu es drôlement excitée ce soir, ma salope. Tiens prends ça, haaaaaa je jouiiis.
  • — Ha ha ha ouii oui, je te sens, oh que c’est bon, donne-moi tout.
  • — On devrait organiser des soirées comme cela plus souvent, car j’aime te voir ainsi, j’ai surtout aimé te voir dans cette nuisette devant Pierre, je ne sais pas, j’ai trouvé cela excitant, tu l’as excité, tu sais.
  • — Qu’est-ce qui te fait dire cela ?
  • — Et bien, tout à l’heure, quand je suis allé dans sa chambre, j’ai vu qu’il avait une érection sous son caleçon et je suis sûr que c’est parce qu’il t’a vue dans cette tenue.
  • — Alors, comme cela, mon mari aime le regard des autres sur le corps de sa femme ? Tu ne dis plus rien ? Allez chéri, avoue pour une fois, que j’ai raison.
  • — À toi de penser ce que tu voudras.
  • — Petit vicieux, je vais prendre une douche.
  • — Remets au moins ta culotte.
  • — Tu n’as pas répondu à ma question, donc, pas de culotte, na. Hihi.

J’ai juste eu le temps de rentrer dans la chambre où je dormais, Nadine est passée à côté, y a jeté un œil, mais moi je faisais semblant de dormir, j’ai entendu du bruit dans la cuisine, elle devait certainement se servir à boire. Dois-je laisser passer cette occasion ? Non, je me suis levé et je suis allé d’abord devant la porte à moitié ouverte de sa chambre et Jean dormait déjà, enfin je pense, c’est du moins ce que j’ai vu. Puis direction la cuisine.


  • — Tu ne dors pas Nadine.
  • — Toi non plus, à ce que j’ai pu voir, chut pas de bruit mon mari est réveillé.
  • — Non il dort, je suis allé voir.
  • — Est-ce que je t’ai bien excité, tu as tout vu ?
  • — Oui mais, à présent, c’est à moi de conclure.

Je l’ai prise par la taille et je l’ai embrassée sur les lèvres, naturellement elle a ouvert la bouche et nos langues se sont rencontrées.


  • — Ce n’est pas raisonnable Pierre, mon mari peut nous surprendre.
  • — Humm j’aime prendre ce risque, avoue que tu meures d’envie que je te baise à mon tour.
  • — Oui…

Je l’ai plaquée contre le mur et elle a cherché elle-même mon sexe, elle l’a sorti de sa cachette et l’a masturbé tout doucement.


  • — Mon mari m’a avoué qu’il avait vu ton érection et que c’était moi qui en étais la cause, montre-moi qu’il avait raison.
  • — Tout ce que tu veux ma belle. Laisse-toi faire.

J’ai soulevé une de ses jambes pour la poser sur une chaise juste à côté et j’ai guidé mon gland devant sa chatte avec un peu de poil. Humm, mon cœur battait la chamade, elle m’embrassait comme une folle, je sentais son désir de m’avoir en elle, cette situation devait l’exciter au plus haut point. Mon gland prit disposition de son vagin tout chaud et tout le reste de ma queue la pénétra jusqu’au fond, un délice.


  • — Hummmmmm……ouiii.
  • — Avoue que tu aimes que je te fasse l’amour en sachant que ton mari est là, dans la chambre, il risque de venir et de voir sa femme avec la queue d’un autre homme dans sa chatte. Avoue Nadine.
  • — Hummm, baise-moi doucement, c’est trop bon, continue de me parler ainsi, j’aimmmmme.
  • — Tu es complètement mouillée, le sperme de ton mari coule sur tes cuisses.
  • — Et toi tu aimes cela, n’est-ce pas, hein, ta queue nage dans le sperme de mon homme, ouiiii, bouge encore, plus loin.
  • — Viens me sucer, je veux que tu me nettoies un peu.

Sans rien dire, je l’ai sentie se glisser le long de mon corps mais j’en ai profité pour retenir sa nuisette et la passer sur sa tête.


  • — Je te veux complètement nue, ainsi tu n’auras pas le temps de te rhabiller au cas où.
  • — Je ferai tout ce que tu veux, essaie, demande-moi et tu verras.
  • — Pour l’instant, suce-moi, ouii… entièrement, là sur le gland ta langue, tu lèches bien le sperme de ton mari. À présent, viens, couche-toi sur la table de la cuisine.

Elle m’obéit et c’est avec plaisir que je l’ai vue allonger son corps sur cette table où je n’aurais jamais imaginé lui faire l’amour un jour, ma queue est rentrée d’un seul coup, comme dans du beurre, sa chatte était plus qu’accueillante, c’était un délice de la baiser, j’écoutais dans le couloir, mais aucun bruit, donc j’allais pouvoir continuer de la baiser comme je voulais. Nadine aimait la queue et ça se voyait, elle mordait dans sa main pour retenir sa jouissance qui éclatait, elle jouit, là devant moi, humm, trop bon.


  • — Viens, Nadine, suis-moi.

Nous avons traversé le couloir, elle était toute nue et moi encore en caleçon avec mon sexe qui battait de droite à gauche, je l’ai faite s’adosser contre le mur du couloir, environ à un mètre de la porte d’entrée de sa chambre, je me suis approché de son oreille.


  • — Écarte bien les jambes.

Ma langue a glissé le long de son cou, je suis passé sur la pointe de ses tétons dressés au maximum, elle était en transe, tremblait un peu de peur ? Peut-être, mais ma langue a cherché et j’ai trouvé, oui j’ai trouvé ce volcan qui crachait sa jouissance, ma langue s’enfonçait le plus loin possible et j’ai agacé son clitoris au maximum. Elle a joui en silence, mais je n’avais qu’une idée en tête, lui faire sentir mon désir.


Je l’ai prise par la main et nous sommes allés au salon, je l’ai faite s’asseoir sur ma queue pour qu’elle rentre entièrement dans son vagin et je l’ai baisée, ho trop bon, quel délice, Nadine bougeait dans tous les sens.


  • — Oui continue comme ça, laisse-toi aller complètement, jouis… jouis Nadine.
  • — Pierre tu me rends fous, je te sens bien.

Je l’ai renversée sur le dos et je l’ai pénétrée ainsi, là où était assis son mari quelques temps avant et où on buvait un coup ensemble, mais là c’est des coups de bite que je lui donnais et elle aimait cela. Nadine avait les yeux fermés pendant que je labourais son vagin…

C’est là que je remarque Jean, près de la porte du salon, lui me voyait, moi je le voyais, mais Nadine, elle, ne le voyait pas, vu qu’elle était couchée, je n’ai pas eu le réflexe de me retirer de son vagin, de toute façon c’était trop tard. Mais Jean avait mis son doigt sous son nez pour me faire comprendre de ne rien dire. La situation était inversée, je baisais sa femme et il me regardait, comme moi je regardais dans la glace une heure avant.


Tout nu, son mari s’est approché et a fait le tour. Pendant un court moment, il regarda sa femme qui avait les yeux fermés, prise qu’elle était dans son plaisir, puis son regard s’est porté vers ma queue qui faisait des va-et-vient dans le vagin de Nadine. Ensuite, tout s’est accéléré, Jean s’est penché et, au moment où sa femme ouvrait la bouche pour laisser sortir sa jouissance, il enfonça sa queue entièrement dedans pour être sucé.


  • — Haaaaaa……uhmmmmmm, m…mais, chéri je, je ….
  • — Chuttt… mon amour, continue de me sucer, pendant que je regarde comment tu te fais baiser par Pierre.

Elle avait les yeux ouverts et faisait des va-et-vient entre moi et son mari, elle était très surprise. Elle ne s’attendait pas à cela et, d’ailleurs, moi non plus. Mais je continuais de la baiser tendrement.


  • — Je vois que tu aimes la queue de Pierre, c’est quand tu as joui devant la porte que je me suis dit que quelque chose se passait, je suis venu voir dans le salon et le spectacle était de taille. Tu vois, j’avais raison, c’est pour toi qu’il bandait avant, la preuve est dans ta chatte.
  • — Donc, moi aussi, j’avais raison, tu aimais son regard sur mon corps, haaaaaa, oui, plus vite, Pierre.
  • — Oui mon amour, cela m’a beaucoup excité, lève-toi Pierre, j’ai envie de ma femme, on change.

Je sortis à regret de son vagin, mais ce n’était que partie remise, son mari l’a pénétrée, elle s’était mise à genoux et il la prenait en levrette en la tenant par les fesses. Et vlan tout dedans, il était super excité.


  • — Montre-moi Nadine, comment tu sais sucer Pierre.

Hummm sa bouche, sa langue, je voyais son mari la besogner, je rêvais, non c’était la réalité.


  • — Ho putain chérie, je vais jouir, humm, prends ça salope, je t’aimmmmmmmmmmmmme.
  • — Moi aussi Jean, je t’aime.
  • — Viens, Nadine, on va te prendre en sandwich, ton mari et moi, je sais que tu aimes cela et que c’est ton fantasme.
  • — On ne peut rien vous cacher.
  • — Pierre te prend par la chatte et moi par le cul.
  • — Tes désirs sont des ordres mon amour. Je reviens de suite.

Nadine alla chercher un préservatif qu’elle me mit sur la queue avec amour, tout en me suçant, Jean a profité de ce moment-là pour lui glisser son sexe dans la chatte et faire des allers-retours.


  • — Maintenant tu pourras te vider les couilles dans mon ventre, mais fais un test hiv pour la prochaine fois, ainsi tu pourras me baiser sans capote et te vider en moi.
  • — La prochaine fois ? Tu y as pris goût mon amour, tu sais Pierre, ma femme aime avoir la chatte pleine de sperme, alors je suis d’accord avec elle, car comme elle le dit si bien, j’espère moi aussi qu’il y aura une prochaine fois… Assez parlé, on baise ma femme.
  • — Montrez-moi ce que vous pouvez faire.

J’ai fait accroupir Nadine sur ma bite qui l’a pénétrée lentement, hummm quand j’y repense, je bande. Jean est passé derrière et avec un peu de difficultés, il a fait rentrer son gland dans ses fesses et, avec un peu de mouille récupérée sur sa chatte, il a glissé tout seul dedans entièrement.


  • — Haaa doucement, tu me fais un peu mal.
  • — Je serais tout doux.
  • — Tu verras, Nadine, tu vas en redemander, laisse-toi aller. Oui, je sens ton vagin se contracter sur ma queue, humm, Jean, baiser ta femme c’est un délice.
  • — Ça je le sais, alors montre comment tu as fait quand tu l’as baisée tout à l’heure.

Je m’enfonçai par à-coups dans son vagin et ensuite je sentis la queue de son mari à travers la paroi. On la baisait en sandwich et elle aimait cela.


  • — Putain que c’est bon, hummm, chéri, Pierre, baisez-moi comme je le mérite. Ouiii ouiii encore plus vite, ha putain, haaaa encore là non oui, hooooooooo, je suis folle, je vous aime, remplissez-moi la chatte de votre sperme, ouuuuiiiiiiii.

Moi je n’en pouvais plus de l’entendre dire tout cela et Jean a remarqué que je transpirais de plaisir et, quand j’ai vu qu’il déchargeait son sperme dans le cul de sa femme, moi j’ai tout donné, dans le préservatif, mais j’ai jamais joui autant, j’avais ses deux seins dans la main, mais son mari aussi, ses tétons étaient érigés et Nadine à joui à haute voix ce coup-ci.


  • — Humm, trop bon, trop bon.
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