Audiard, les Tontons, tout ça.
C'est juste génial. Je ne pense pas qu'il y ait d'autres mots.
Bonne lecture.
Z.
Ps : Je compte privatiser un ciné dans le VIeme arrdt tout bientôt. Nous pouvons choisir le film que nous voulons. Ce ne sera pas un plan libertin, juste aller voir un film entre potes. Si l'idée vous tente, il faut au minimum être 10.
Les Tontons Flingueurs au ciné, cela doit avoir une saveur particulière non ?
"
Dis donc, t'essaierais pas de nous faire porter le chapeau, des fois ? Faut le dire tout de suite, hein. Il faut dire: Monsieur Raoul vous avez buté Henri, vous avez buté les deux autres mecs ; vous avez peut être aussi buté le Mexicain, puis aussi l'archiduc d'Autriche!
Mais il connaît pas Raoul, ce mec ! il va avoir un réveil pénible. J'ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter que le sang coule. Mais maintenant c'est fini, je vais le travailler en férocité, le faire marcher à coup de lattes ! À ma pogne, je veux le voir ! Et je vous promets qu'il demandera pardon, et au garde-à-vous !
Si on bricolait plus souvent, on aurait moins la tête aux bêtises.
Il a osé me frapper. Il se rend pas compte.
Bougez pas ! Les mains sur la table. Je vous préviens qu'on a la puissance de feu d'un croiseur et des flingues de concours.
Mais dis donc, on n'est quand même pas venus pour beurrer les sandwichs !
Y'a vingt piges, le Mexicain, tout le monde l'aurait donné à cent contre un : flingué à la surprise. Mais c't'homme là, ce qui l'a sauvé, c'est sa psychologie.
Non mais t'as déjà vu ça ? En pleine paix ! Il chante et puis crac, un bourre-pif ! Il est complètement fou ce mec. Mais moi, les dingues, je les soigne. Je vais lui faire une ordonnance, et une sévère… Je vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon Puzzle. Moi, quand on m'en fait trop, je correctionne plus : je dynamite, je disperse, je ventile !
Alors, il dort le gros con ? Ben il dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule ! Il entendra chanter les anges, le gugusse de Montauban… Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère… au terminus des prétentieux…
Faut r'connaître... c'est du brutal !
On vous apprend quoi à l'école, mon petit chat ? Les jolies filles en savent toujours trop. Vous savez comment je l'vois votre avenir ? Vous voulez le savoir ? […] L'Égypte c'est pas commun ça l'Égypte. C'qui a d'bien c'est qu’là-bas, l'artiste est toujours gâté. […] J'disais l'Egypte comme ça! J'aurais aussi bien pu dire… le Liban.
Dis donc, elle est maquée à un jaloux ta nièce ? J'faisais un brin de causette, le genre réservé, tu m'connais : mousse et pampre, voilà tout d'un coup qu'un petit cave est venu me chercher… les gros mots et tout…
Et pourquoi pas de la quinine et un passe-montagne ? On croirait vraiment que j'pars au Tibet.
Vous avez quand même pas besoin de moi pour aligner 10 tracteurs dans un stand, non ? Hein ? ... Tâchez plutôt qu'elle tombe pas en panne comme la dernière
fois.
- Qu'est ce qui a été en panne?
- La dépanneuse.
“Louis de retour. Présence indispensable.” Présence indispensable! Après quinze ans de silence, y'en a qui poussent un peu, quand même ! Quinze ans d'interdiction de séjour ! Pour qu'il abandonne ses cactus et qu'il revienne à Paris, il faut qu'il en arrive une sévère au vieux Louis. Ou qu'il ait besoin de pognon ou qu'il soit tombé dans une béchamel infernale !
J'ai pas entendu dire que le Gouvernement t'avait rappelé, qu'est ce qui t'a pris de revenir ?
Dis-donc, j'tiens plus en l'air, moi ! T'aurais pas une bricole à grignoter là ?
J'ai une santé de fer. Voilà quinze ans que je vis à la campagne : que je me couche avec le soleil, et que je me lève avec les poules.
Trois morts subites en moins d'une demi-heure, ah ça part sévère les droits de succession.
Ça va changer vite, c'est moi qui vous le dis ; la boîte que je vais lui trouver, va falloir qu'elle y reste, croyez-moi! Ou sinon, je vais la filer chez les vraies sœurs, les vraies, pension au bagne avec le réveil au clairon et tout le tintouin, non mais sans blague !?
Patricia, mon petit… Je ne voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier… l'homme de la pampa, parfois rude, reste toujours courtois, mais la vérité m'oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser MENUES!
C'est jamais bon de laisser dormir les créances, et surtout de permettre au petit personnel de rêver.
Je ne rêve pas en couleur, je ne rêve pas en noir, je ne rêve pas du tout, je n'ai pas le temps !
Les cons, ça ose tout ! C'est même à ça qu'on les reconnaît.
On ne devrait jamais quitter Montauban.
Happy beurzday to you... Happy beurzday to you !.. Happy beurzday to you-ouuuuu !.. Happy beurzday to... *Flanque une volée à Raoul Volfoni*
J'ai connu une Polonaise qu'en prenait au p'tit déjeuner. Faut quand même admettre : c'est plutôt une boisson d'homme…
Quand la protection de l'enfance coïncide avec la crise du personnel, faut plus comprendre, faut prier.
Le lion est mort, les chacals se disputent l'empire. Enfin, on peut pas demander plus aux frères Volfoni qu'aux fils de Charlemagne.
C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases…
Touche pas au grisbi, salope !
On a dû arrêter la fabrication, y a des clients qui devenaient aveugles : ça faisait des histoires.
Y'a deux solutions : ou on se dérange ou on méprise... Oui, évidemment, n'importe comment, une tournée d'inspection ne peut jamais nuire, bien sûr !
Tiens, vous avez sorti le vitriol ?
Yes sir !
Welcome Sir ! My name is John !
Si ces messieurs veulent bien me les confier ! (réponse à Raoul Volfoni à propos de ses "flingues de concours", voir plus haut)
Your room is ready sir !
Hé ben moi j'aurais donné à mademoiselle 20/20, et en cotant vache.
Allons vite messieurs, quelqu'un pourrait venir, on pourrait se méprendre, et on jaserait. Nous venons déjà de frôler l'incident.
On demande monsieur au téléphone. Un appel de Montauban. L'interlocuteur me semble, comment dirais-je, un peu rustique, le genre agricole.
(prenant un pistolet dans une boite de biscuits) Quand ça change, ça change... Faut jamais se laisser démonter.
(donnant un pistolet à Fernand) Je ne demande pas à monsieur si monsieur sait s'en servir.
Écoute : on te connaît pas. Mais laisse-nous te dire que tu te prépares des nuits blanches, des migraines, des nervousses brékdones (nervous breakdowns) comme on dit de nos jours.
J'te disais que cette démarche ne s'imposait pas. Au fond maintenant, les diplomates prendraient plutôt le pas sur les hommes d'action. L'époque serait aux tables rondes et à la détente. Hein ? Qu'est ce que t'en penses ?
Pourquoi pas ? Au contraire, les tâches ménagères ne sont pas sans noblesse.
Vous avez beau dire, y a pas seulement que d'la pomme… y'a autre chose… ça serait pas des fois de la betterave ? Hein ?
C'est pas ma marque préférée.
La bave du crapaud n'empêche pas la caravane de passer !
Monsieur Fernand, le transport clandestin ne réclame pas seulement des compétences, mais de l'honnêteté, contrairement aux affaires régulières, on paye comptant et en liquide. Ça peut tenter les âmes simples.
Das Leben eines Mannes, zwischen Himmel und Erde, vergeht wie der Sprung eines jungen weissen Pferdes über einen Graben : ein Blitz... pfft, es ist vorbei... (La vie d'un homme, entre ciel et terre, passe comme le bond d'un poulain blanc au-dessus d'un fossé : un éclair... pfft... c'est fini...)(Chine, IVème siècle avant Jésus-Christ)
Il faut bien admettre qu'exceptionnellement, Dieu n'est pas avec nous ! (Gott mit uns)
Je ne dis pas que c'est pas injuste, je dis que ça soulage !
Moins qu'avant : la jeunesse française boit des eaux pétillantes, et les anciens combattants, des eaux de régime. Puis, surtout, il y a le whisky… C'est le drame ça, le whisky.
Y'a des impulsifs qui téléphonent, y'en a d'autres qui se déplacent.
Seulement, maintenant, on a le droit pour nous (...) Légitime défense, avec moi ça pardonne pas.
Une fois Stalingrad, ça suffit.
J'dis pas que Louis était toujours très social, non, il avait l'esprit de droite. Quand tu parlais augmentation ou vacances, il sortait son flingue avant que t'aies fini. Mais il nous a tout de même apporté à tous la sécurité.
Une bonne pensionnaire, ça devient plus rare qu'une femme de ménage. Ces dames s'exportent, le mirage africain nous fait un tort terrible ; et si ça continue, elles iront à Tombouctou à la nage.
Monsieur Naudin, vous faites sans doute autorité en matière de bulldozer, de tracteur et caterpillar, mais vos opinions sur la musique moderne et sur l'art en général, je vous conseille de ne les utiliser qu'en suppositoire. Voilà ! Et encore, pour enfants…
Rêvez-vous en couleur ?
Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.
Je ferai donc mon panégyrique moi-même, c'est parfois assez édifiant et souvent assez drôle, car il m'arrive de m'attribuer des mots qui sont en général d'Alphonse Allais et des aventures puisées dans La Vie des Hommes illustres.
...ce qu'il est convenu d'appeler un grand honnête homme. Porté sur la morale et les soubrettes, la religion et les jetons de présence.
Le Mexicain l'avait achetée en viager à un procureur à la retraite. Après trois mois, l'accident bête. Une affaire.
Seulement, de nos jours, il y a de moins en moins de techniciens pour le combat à pied. L'esprit fantassin n'existe plus, c'est un tort.
La psychologie, y en a qu'une : défourailler le premier !
Le prix s'oublie, la qualité reste.
J'peux pas l'dire, j'ai promis, ce serait mal.
Tomate, tu devrais envoyer Freddy faire un tour, il y a une charrette dans le parc avec deux gars dedans... Ça fait désordre !
Henri, fais tomber cent sacs au toubib !
Je suis revenu pour caner ici, et pour me faire enterrer à Pantin avec mes vioques. Les Amériques c'est chouette pour y prendre du carbure. On peut y vivre, aussi, à la rigueur. Mais question de laisser ses os, hein, y'a que la France !
Chez moi, quand les hommes parlent, les gonzesses se taillent !
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Et aussi dans les tontons :
Les cons ça osent tut c'est même à cela qu'on les reconnait ...
yep
J'en suis du Cine et Monsieur AUDIARD cela ne se limite pas aux TonTons Flingueurs ...
Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent. » 100 000 dollars au soleil
Allez c'est parti, il me manquait qu'une impulsion.
Entre les dîners (ou j'essaie d'empoisoner les gens), et la sortie ciné, je pense que nous pouvons faire quelque chose de sympa.
Z.
Merci Z
Belle Idée encore une fois...
:*
Je suis un fils de Bab el Oued, la culture populaire ça me connaît :)