Mercredi 19 mars 2014 3 19 /03 /Mars /2014 10:04

J’étais alors étudiant en première année d’architecture, dans une école où se mélangeaient les jeunes architectes, et les graphistes de pub…

Dans cette prestigieuse école parisienne se trouvaient des jeunes de tous les pays. Et en particulier une sublime américaine, aussi stupide que belle. Tous les copains (archis comme graphistes) fantasmaient sur elle, tant parce que son physique était proprement hallucinant, que par l’insondable bêtise dont elle faisait preuve… Vous me direz, c’est tellement facile de se moquer de la "blonde stupide"… Oui, mais là, c’était on ne peut plus réel.


De mon groupe d’archi, j’étais le seul à maîtriser l’anglais, grâcae à un passage de trois ans dans un collège anglais, et du fait, j’étais le seul à pouvoir "m’occuper" d’elle, lui faire découvrir Paris, les sorties, les cafés, enfin, les mille et un attraits de la ville…

Le schéma classique, quoi… La drague de base, on se promène, on se frôle, on se serre l’un contre l’autre, tout ça plein de romantisme à deux balles, et puis, le soir venu, le dîner, le pot, le dernier pot chez moi, la drague qui s’alourdit, le premier baiser, et la bonne partie de cul.

Et là, surprise, Mary se révéla super chaude, obsédée, pleine de fantasmes qu’elle me décrivait pour nous exciter encore plus (comme si j’en avais besoin !)…

Et puis, une certaine tendresse, en amour le cerveau sert peut, finalement.


Le lendemain, une certaine jalousie se voyait sur les visages des copains, surtout parce que Mary se collait à moi, avec l’idée précise de vivre avec moi, et que je n’étais donc pas "un coup d’un soir"…

J’étais fier, vous pouvez me croire.

Et puis, on emménagea ensemble dans un petit studio non loin de l’école, bien parti pour une vie de couple comme on en rêve.

Le seul point qui me dérangeait, c’était ces fameux fantasmes qu’elle décrivait si bien lors de nos ébats.

Je ne peux pas dire que ça ne m’excitait pas, non, mais quand elle commençait à décrire des scènes avec d’autres mecs, qui la prenaient par tous les trous, devant moi, me demandant si j’en avais envie… Ben… Euh… pas trop, non.

Et puis, après l’amour, elle ne revenait jamais sur ces idées, un peu comme si cela ne devait faire partie que de notre intimité…

Mais dans ma tête, finalement, je finissais par la voir en rêve, prise par deux ou trois mecs, inondée de sperme chaud, un filet coulant de ses lèvres superbes, ses seins magnifiques tachés de foutre, sa chatte blonde étroite complètement distendue par le passage de toutes ces queues…

Bref, je finissais pas en avoir envie… pour de vrai.


Un soir, on était assez chaud, et tout en marchant dans la rue, on commençait à parler de ce fantasme, moitié en rigolant, moitié l’air coquin, histoire de voir si l’autre suit.

Finalement, elle me dit qu’elle voudrait bien essayer maintenant.


  • — Tout de suite ? Dans la rue ? lui demandais-je.
  • — Oh, no ! Pas dans le rue ! Si toute le monde nous voit, ils vont appeler le police, no ?
  • — Bon, pas dans la rue… Mais alors ? Chez nous ?
  • — No !!! Dit-elle, l’air choqué. Chez nous c’est le intimité ! C’est rien que à nous ! Il faut que tu trouve un endroit mieux !
  • — Bon, pas dans les toilettes d’un resto, ça pue… Dans un cinéma ?
  • — Oh yes !!! Son visage s’éclairait ! Tu veux qu’on le fasse dans le cinéma ?
  • — Et bien, ma chérie, si ça te fait plaisir…
  • — And you ? Hummm ? Ça ne te ferait pas du plaisir ?


Son regard allumé, gourmand, m’empêchait de la contredire…


On rentra à la maison, et elle s’habilla pour la circonstance. Il faut que je vous la décrive, tout de même. 1 m 82, cinq centimètres de moins que moi, blonde vénitien, des yeux vert sublimes, une bouche avec de belles lèvres retroussées naturellement, une poitrine (95 D) à faire bander un saint, avec de tout petits tétons, super sensibles. Des jambes à rendre jalouse Adriana K. Une petite chatte toute fine, avec un goût délicieux, étroite, et avec à peine une touffe de petits poils blonds juste au-dessus de son clito.

Bref, comme elle le dit elle-même : "une vrai bombe".

Bon, le point moins drôle, c’est une cervelle d’oiseau… Mais un cœur d’or, et un amour sincère et profond pour moi. Que je lui rendait bien.


Donc, elle s’habille. Un petit pull fin, collant, et pas de soutien-gorge. Ses seins ressortaient, et on devinait le téton pointant fièrement sous la laine. Une petite jupe, assez courte, et bien sûr, pas de culotte, ni de string. Quand elle se penche, on a une vue complète de sa chatte, de ces deux lèvres gonflées, entre ses deux fesses divines.

Là-dessus, une paire d’escarpins à talons, pas trop haut, elle ne voulait pas faire pute, quand même… Juste un sex-symbol !


Et nous voilà partis pour le cinéma de la rue de l’arrivée. Petites salles, films intellos, et la proximité de la rue de la Gaîté (qui à l’époque, était encore le Pigalle de la Rive Gauche, avec ses sex-shops, et ses putes sur le trottoir…).

On s’installe dans un salle, peu importe le film…

Il y a quelques mecs dans la salles, et Mary passe par le devant de la salle, en plein devant l’écran, pour qu’on trouve une place au milieu. Inutile de dire que tout le monde l’a bien vue !

On s’assoit, et les regards commencent à se tourner vers nous, discrètement.

Mary se colle à moi, et prends ma main pour la coincer entre ses cuisses. Elle est déjà moite, la peau colle, elle soupire. Je glisse vers sa chatte, et je la découvre trempée, limite fontaine. Elle écarte un peu les jambes pour que je lui titille son clito.

Je bande comme un fou, et elle commence à me masser la queue par dessus mon jean. Si ça continue, je vais jouir dans mon caleçon !


Elle ferme les yeux, commence à soupirer, je sens son clito gonflé à bloc, et je le pince entre le pouce et l’index, le faisant tourner doucement… Je sens ses lèvres qui s’écartent, la mouille qui commence à couler. Elle se cambre vers l’avant, remonte un peu plus sa jupe, et se retient de ne pas crier.

Elle n’en peut plus, me sort la queue du jean, et me branle carrément.

N’importe qui, pas loin de nous, ne pourrait rien rater de la scène.

Mais voilà, personne ne voit rien. Incroyable. Mary fait du bruit, proche de sa jouissance, et personne ne bronche.

Elle finit par jouir, bruyamment, et inonde son fauteuil de ses jets de mouille. J’en ai plein la main, poisseuse, et elle me la prend pour me lécher les doigt, comme on taille une pipe, tout en continuant de l’autre main à me branler.

Voyant que j’allais aussi exploser, elle se penche sur moi, m’engloutit la bite dans sa gorge, et je finis rapidement par jouir dans sa bouche pulpeuse. Elle se relève, la bouche pleine de sperme (elle n’avale jamais, elle n’aime pas le goût.) Et entrouvre ses lèvres pour que je vois bien le sperme sur sa langue…


Mary regarde autours de nous, et me dit d’un air déçu :


  • — Dis donc, les Français, ils ne sont pas si obsédés que ça, hein ?
  • — Si, ma chérie, mais on était discret, ils n’ont pas pu profiter de la scène…
  • — Alors, pour la fantasme, c’est foutu ?
  • — Tu veux vraiment, mon Amour ? Tu veux que des mecs te prennent, là, maintenant ? Avec ta chatte trempée ?
  • — Oui, mon Amour, me dit-elle avec un air de chatte, je voudrais du sperme plein le pussy, et que tu vois ça…
  • — Bon, on va aller dans les toilettes, alors.


On se lève, et je vois bien que plusieurs mecs nous suivent du regard… L’entrée des toilettes est en bas de la salle, juste devant l’écran, sur la droite, et tout le monde voit bien qu’on y va à deux…

On rentre dans la partie "Hommes", et Mary me place d’office dans un coin, devant un pissotière. Elle me demande de ne pas bouger, et va se placer devant la glace, face au lavabo, bien cambrée, les jambes un peu écartées. Vu sa taille, sa jupe se relève facilement, et on voit bien sa chatte, ses lèvres, et la mouille qui descend le long de ses cuisses. Une vrai vision de rêve.

Devant la glace, elle attends. Elle fait semblant de se maquiller, elle se passe la main dans les cheveux, et dans le miroir, me jette des regards coquins…

On n’a pas à attendre longtemps.

Un premier homme arrive, faisant comme s’il avait eu envie d’aller pisser en plein milieu du film… Il reste une seconde planté devant la vision de Mary, ouverte et offerte. Mais il me voit aussitôt, et fait semblant de rien, et va devant une pissotière… Il regarde Mary en coin, mais ne bouge pas…

Mary le regarde carrément, et lui sourit. Il me regarde, inquiet. D’un petit sourire, je lui fais signe qu’il peu y aller, il me réponds avec un sourire.

Il s’approche de Mary, et se colle à elle, sa bite sur ses fesses. Il commence à la caresser, et lui soulève le pull, libérant les seins, qu’il peut voir dans la glace. Mary remonte un peu ses fesses, et avec ses mains, les écarte pour bien lui faire comprendre qu’elle veut de la bite, maintenant.


Le type bande comme un taureau, sa bite n’est pas énorme, mais assez trapue. Je contemple la scène de coté, et de mon coin, à un mètre cinquante, je vois parfaitement.

La queue trouve la chatte, se frotte sur les lèvres mouillées, et glisse lentement à l’intérieur. Mary ferme les yeux, ouvre la bouche, et se plonge dans son plaisir…

Le mec commence à la ramoner, de plus en plus vite, et de temps en temps, Mary me regarde, souriante, heureuse de m’offrir ce plaisir, et aussi heureuse d’assouvir enfin son fantasme.

Le mec la bourre bien fort, maintenant, ce n’est pas très fin, mais bon, il se l’enfile comme un lapin. Les fesses claquent à chaque coup, et Mary prends son pied.

Je vois soudain la porte s’ouvrir, et un autre mec, jeune, arrive. Il reste interloqué par la scène, mais comprend tout de suite. Deux mecs et une nana fabuleuse dans les chiottes, le message est clair.

Mary ne l’a pas vue, elle ferme les yeux pour mieux sentir la bite qui s’enfonce en elle…

Le jeune sort sa bite, et vient de l’autre coté, vers la tête de Mary, et lui présente sa queue. Elle n’arrive pas à le sucer, tant l’autre mec la défonce… Elle tiens la bite du jeune dans une main, et de temps en temps lui donne un petit coup de langue… La nouvelle bite est longue, fine, un peu cambrée, elle me jette un regard et me demande, la voix saccadée par le plaisir :


  • — Mon Amour, tu veux que je la prenne aussi ?
  • — Si tu veux, ma Chérie, c’est toi qui décide. Elle te plait ?
  • — Oh yes, I wanna fuck with him too, can I ?
  • — Vas-y mon Amour, prend toutes les bites que tu veux.


Le mec se crispe, ralenti son ramonage, et pousse un petit grognement. Il se retire d’un coup, et je vois la chatte de ma chérie ouverte, rouge, et un filet de sperme en coule, roule sur le clito, et glisse lentement jusqu’au sol… Le type se remets de ses émotions, n’ose rien dire, range sa queue, et sors, comme s’il était honteux…

Le jeune, lui, a toujours sa queue dans la main de Mary…Il lui caresse les seins, le dos, la tête, on sent qu’il n’en peut plus…

Je me rapproche et je glisse ma main sur la chatte de Mary. Elle est inondée, mélange de foutre et de mouille. J’étale tout ça sur ses fesses, et je fait signe au jeune mec qu’il peut se placer…

Il fait le tour, et enfonce son braquemart d’un seul coup dans la chatte béante de Mary. Elle suffoque un coup, ouvre la bouche tout grand, surprise par la taille de la bite qui s’enfonce en elle…

Elle me regarde, étonnée.

 



  • — Mon Amour, il me remplit complètement, il touche la fond de mon chatte ! C’est bon !
  • — Vas-y mon Amour, vas-y, fait le jouir, prends ton pied, je te regarde, tu es belle !


Le mec la pistonne, mais elle est tellement mouillée que sa bite sort quelques fois, il la rentre vite, pour retrouver la chaleur de cette fente divine…

Les seins de ma chérie ballottent en cadence, et sa tête se perd dans la chevelure, je ne vois plus son visage… La sueur colle les cheveux, elle en a dans sa bouche… Je lui enlève délicatement, le la caresse et lui susurre des mots obscènes dans l’oreille…


Elle se concentre, et joui d’un coup, violemment, avant que le jeune mec n’ait pu jouir aussi… Elle s’effondre à genoux, et le type se demande ce qu’il doit faire. Je le rassure, lui demande de rester. Mary halète, retrouve son souffle, se redresse. Elle fait face au mec, je la tiens par les épaules. Elle prend la tête du mec, et lui roule un super patin. Je suis à dix centimètres de son visage et je regarde, je bande tellement que j’en ai mal.


Mary me regarde, et me dit :


  • — Amour, je voudrais que vous soyez toutes les deux dans mon moi…
  • — Tu veux qu’on te prenne ensemble, demandais-je ?
  • — Oui, ouiiiii, vite !


Elle pousse le mec pour qu’il s’allonge par terre, la queue bien dressée à la verticale. Mary se place sur lui, me regarde en souriant, et descend lentement.


  • — Oh ! Il va profonde, il me baise bien, regarde mon Amour, je me fais un mec devant toi !
  • — Oui, mon Amour, je t’aime, prend ton pied !


Et elle commence à monter et descendre sur cette superbe queue, je vois les lèvres se distendre, s’écarter, la mouille couler, toujours mélangée du sperme du premier type…

Elle se penche sur le mec, l’embrasse fougueusement, et se cambre pour me présenter son cul, luisant, ouvert.

Je glisse un doigt, puis deux dans son trou de balle, et je suis surpris de voir combien ça glisse facilement. Elle est vraiment excitée comme une chienne !

Je m’agenouille devant ce cul adoré, et je place le gland juste à l’entrée. Pas besoin de forcer, Mary bouge d’un coup pour s’empaler sur ma queue. Je sens la queue du jeune mec à travers la paroi vaginale.

C’est elle qui donne le rythme, qui s’empale sur ces deux queues…

Elle embrasse le mec, presque à l’étouffer, je suis jaloux de ce baiser…

Elle lui dit des mots d’amour, comme avec moi, elle luit dit qu’elle l’aime, qu’elle aime sa queue, qu’elle la sent bien dans sa chatte, elle en veut encore plus… Elle bouge comme une folle…

Son plaisir monte, elle joui, elle crie, elle se cambre, se crispe de tout son corps… Le jeune ne tient plus et je sens les contractions de sa queue quand il jouit, inondant de nouveau la chatte de ma copine…

Mary le laisse reprendre ses esprits, et lui demande de partir. Le type se glisse entre nous, se rhabille, et s’en va…

Mary est à quatre pattes, avec ma queue toujours plantée dans son cul… Je sens le sperme couler sur mes couilles, et je jouis. Je lui remplit le cul de foutre….


Mary me regarde, enlève son cul de ma bite redevenue molle, et à genoux elle aussi, me prend dans ses bras… Elle sent fort la sueur, le sexe, l’amour… Sa bouche à un goût différent, elle se passe la main sur la chatte, récupère un peu de mouille, de sperme, et l’étale sur ses seins en me regardant, heureuse…

On se lève, elle se lave dans le lavabo, se réajuste, et on rentre dans la salle de cinéma…

Crevé, on a failli s’endormir, l’un contre l’autre… On rentre, et on fait l’amour tranquillement, calmement, et elle joui encore une fois…


Depuis cet épisode, nous sommes ensemble (bientôt vingt ans, quand même !), et nous avons vécu d’autres aventures, que je vous raconterais… peut-être, hé, hé…

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