Mercredi 7 août 2013 3 07 /08 /Août /2013 09:42

Merci à elle pour cette histoire;

Z.

"J’étais encore un jeune lycéen imberbe et immature, qui avait découvert le plaisir fétichiste des masturbations solitaires en enfouissant mon visage dans les lingeries soyeuses de ma mère. Nous vivions seuls depuis qu’elle s’était séparée de mon père, et j’étais amoureux d’elle…

Elle dirigeait le département commercial d’une grande marque de cosmétiques, et elle était souvent en déplacements en France ou à l’étranger ; pourtant, j’attendais avec ferveur ses retours, me lovant conte elle à chaque retrouvaille, respirant son parfum suave et délicat, me frottant à ses tissus raffinés. Elle m’avait eu assez jeune, et lorsque nous sortions ensemble, j’étais fier, avec mes quinze ans, de m’accrocher au bras de cette femme superbe, sur laquelle je découvrais les regards des hommes, et même de certaines femmes… Elle était vraiment belle, avec de la classe et ce brin de sensualité qui la rendait si désirable. Je l’avais parfois espionnée lorsqu’elle prenait son bain, savourant la beauté de sa poitrine, dont les mamelons étaient larges et dotés de tétons pointus. Ce qui m’avait passablement intrigué, c’est que contrairement aux femmes dont nous parlions avec mes copains du lycée, elle n’avait aucun poil là où nous pensions qu’elles avaient toutes « un buisson ardent » ! Sa peau était lisse et imberbe, et je découvrais par la grille d’aération par laquelle je l’observais, ses petites lèvres intimes, qui me faisaient irrésistiblement penser à un adorable coquillage. Ses cheveux auburn, qu’elle portait mi-longs « à la Lauren Bacall », ses yeux verts et le carmin de ses lèvres et de ses ongles ont longtemps délicieusement hanté mes nuits. Et bien sur, ses fabuleuses lingeries intimes, que j’avais découvert dans les tiroirs de sa commode, ces bouillonnés de soie, de satin, de nylon et de dentelle…combien de fois y-ai-je enfoui mon visage, à la recherche de ses parfums intimes ! C’est durant les congés de Toussaint de l’année de mes seize ans, que ma vie a alors soudainement basculé dans un sens irrémédiable.

Au lieu d’aller passer les quinze jours de congés scolaires chez ma grand-mère maternelle à Nice, je suis resté seul à Paris. Ma mère était partie pour un Salon professionnel à Boston, et ma grand-mère en voyage organisé en Egypte. J’étais donc seul, livré à moi-même et à mes fantasmes secrets, dans le grand appartement parisien que nous occupions avenue de Ségur. Je ne me souviens plus comment l’idée m’en est venue…mais je sais que j’avais été très émoustillé par des 
photographies de Coccinelle, une très jolie transformiste blonde, dont les journaux avaient longuement évoqué le cas… et le sexe ! L’idée qu’un homme puisse vivre habillé en femme m’était d’abord apparue vaguement saugrenue, mais la  sensualité qui se rattachait aux parures de ma mère, m’amena progressivement à ressentir un trouble de plus en plus prononcé en y pensant. Lorsque, sortant du bain, je me glissai nu dans la chambre de ma mère, pour glisser ma main dans le tiroir de ses lingeries intimes, je constatai vite le désir qui monta aussitôt en moi. Je sortis l’une de mes culottes 
préférées – en nylon noir transparent ornée d’une large dentelle de même couleur – et je l’enfilai en constatant que le simple frottement du léger tissus sur ma peau, avait provoqué une érection ! J’ouvris alors ses armoires et son dressing, et entrepris du mieux que je pus, de me transformer en femme.Je n’avais pas de perruque, mais je nouai sur ma tête un grand carré Hermès imprimé, et me maquillai du mieux que je pus. Le résultat devait être quelque peu hésitant, mais je me trouvais tout de suite très belle en m’admirant dans la glace de sa coiffeuse, et je minaudai en me caressant doucement… Je jouis trois fois d’affilée ce premier après-midi ! C’est ensuite que j’eus envie de sortir travesti dans la rue ; mais il me fallut quelques jours pour concrétiser ce désir. J’achetai une perruque brune mi-longue, et je m’appliquai à me maquiller chaque fois un peu mieux, surtout au niveau du fond de teint et des yeux. Je fis un premier essai le soir-même. J’avais patiemment attendu une heure tardive, et je me faufilai silencieusement hors de l’appartement. L’épais tapis du couloir étouffa le bruit des talons des jolies chaussures à brides que j’avais choisies, et avec lesquelles je m’étais entraîné à marcher longuement dans l’appartement. Je délaissai l’ascenseur hydraulique, et descendis silencieusement les trois étages sans allumer la minuterie, et en restant aux aguets. Arrivée dans le grand hall, je fus saisie d’un moment d’appréhension, mais la vue à travers la double porte de verre et fer forgé, de la calme frondaison de l’avenue de Ségur à cette heure nocturne, m’enhardit soudain ; je pressai le bouton électrique pour dégager la clenche de la lourde porte.
Je me souviens encore des deux premières impressions qui accueillirent mes premiers pas mal assurés sur l’asphalte du large trottoir : le léger courant d’air frais, qui passant sous ma jupe, vint caresser le haut de mes jambes, et le léger – mais oh combien excitant ! - crissement des deux bas nylon que j’avais enfilé, à chacun de mes pas…Je serrai les pans du manteau de fourrure de ma mère autour de mon cou, resserrai le nœud de mon foulard de soie, et d’un pas de plus en plus assuré, je traversai l’avenue pour me promener sous les grands arbres de l’allée centrale. Je m’y promenai ainsi pendant plus d’une heure, m’enhardissant à quitter l’ombre des arbres pour suivre les trottoirs éclairés, en flânant dans les rues quasi-désertes de mon quartier. Le léger claquement de mes talons sur l’asphalte semblait le seul bruit de cette nuit calme et pour moi, oh combien délicieuse !

C’est au moment où je revenais vers mon domicile, que je vis de loin, un taxi s’arrêter au pied de l’immeuble voisin ; un homme en sortit et le taxi s’éloigna. Je voulus m’arrêter, mais décidai de continuer à marcher vers lui. Il s’était arrêté et reboutonnait son pardessus sombre. Je constatai – avec un certain soulagement – qu’il était d’âge mur, mais dès qu’il découvrit ma silhouette, il parut intéressé, mais souleva son feutre pour me saluer d’un déférent « Bonsoir Madame ». En proie à un vertige grandissant, j’inclinai légèrement la tête et lui rendis d’une voix faible son salut « Bonsoir Monsieur » Il me regarda passer à côté de lui, et c’est un peu tendue que je parcourus la dizaine de mètres qui me séparaient de ma porte. En arrivant face à celle-ci, je glissai un œil dans sa direction, et sursautai en constatant qu’il m’avait suivie et qu’il se tenait là, à moins d’un mètre de moi ! Lorsqu’il constata que grâce à ma clé j’allais entrer dans l’immeuble, il souleva de nouveau son chapeau et me gratifiant d’un charmant sourire en me disant « Il m’est très agréable de découvrir que nous 
sommes voisins ; j’espère avoir le grand plaisir de vous rencontrer de nouveau dans le quartier. "Ce n’est pas tous les soirs que l’on rencontre une aussi jolie jeune femme devant chez soi… " puis, s’avançant vers moi, il s’empara doucement de ma main gantée et s’inclinant , y déposa un furtif baiser. Je me glissai alors précipitamment dans le hall de mon immeuble, dont la porte se referma avec un claquement sec. Je n’allumai pas la minuterie, et je pus le voir me faire un petit salut de la main, puis rebrousser chemin pour rejoindre son domicile. J’avais le cœur qui battait follement dans ma poitrine, et je dus 
m’appuyer un moment à la grande glace du hall, tant j’étais émue de cette première sortie nocturne, et surtout de cette troublante rencontre. Après cette excitante première aventure, je passai la matinée du lendemain en nuisette dans mon lit, à me remémorer tous les instants de cette soirée délicieuse. Après une violente excitation, suivie d’une éjaculation 
qui me laissèrent épuisé et à moitié honteux, je m’endormis sereinement."

Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire - Par Z. - Publié dans : Histoires
Retour à l'accueil

Profil

  • Z.
  • Organisation de Gang Bangs et Soirées Libertines à Paris
  • salope soumise sm sperme chienne
  • Organisateur de gang bangs hards a Paris. Organisateur de soirées sur mesure pour couples et femmes seules.

Z-Shop (boutique)

pavé 2

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Rechercher

Images Aléatoires

  • catalya02 jpf0226
  • tumblr mmkoci4cvr1r1oz63o1 500
  • IMGP6486
  • l (1)
  • 23
  • Untitled187

Présentation

  • : Organisation de Gang Bangs et Soirées Libertines à Paris
  • Organisation de Gang Bangs et Soirées Libertines à Paris
  • : Rencontre
  • : Organisateur de soirées libertines pour couples (multicouples et pluralité masculine) à Paris et région IDF Organisation sur-mesure de gang bang , de bukkake, public disgrace et autres joyeusetés pour adultes consentants.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Catégories

 
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés