Dans le cadre des Portes Ouvertes des Ateliers d'Artistes à Montreuil
LAURENT BENAIM VOUS INVITE
A SON VERNISSAGE le Vendredi 11 Octobre à partir de 19 H 00
Ainsi que le SAMEDI 12 ET DIMANCHE 13 OCTOBRE 2013 DE 14 H à 20 H00
Un artiste que j'aime beaucoup.
Son travail se trouve là : Laurent Benaïm
Janvier 2025 | ||||||||||
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Un petit extrait de Sade, qui vous pourrait donner des idées...
"Nous nous enfonçons dans un taillis, je me trousse, j’écarte les cuisses… elle me branle… A peine m’a-t-elle touchée que je décharge ; jamais encore je ne m’étais trouvée dans un égarement si terrible ; Elvire, qui ne se doutait de rien, ne savait comment interpréter l’état où elle me voyait.
— Branle… branle… lui dis-je en suçant sa bouche, je suis dans une prodigieuse agitation ce matin ; donne-moi ton con, que je le chatouille aussi, et noyons-nous dans des flots de foutre.
— Et qu’est-ce donc que madame vient de faire ?
— Des horreurs… des atrocités, et le sperme coule bien délicieusement lorsque ses flots s’élancent au sein de l’abomination. Branle-moi donc, Elvire. il faut que je décharge.
Elle se glisse entre mes jambes, elle me suce…
— Oh, foutre ! lui criai-je, que tu as raison : tu vois que j’ai besoin des grands moyens, tu les emploies…
Et j’inonde ses lèvres.
Nous rentrâmes ; j’étais dans un état qui ne peut se peindre, il me semblait que tous les désordres, tous les vices s’armaient à la fois pour venir débaucher mon cœur, je me sentais dans une espèce d’ivresse, dans une sorte de rage : il n’était rien que je n’eusse fait, aucune luxure dont je ne me fusse souillée. J’étais désolée de n’avoir atteint qu’une si petite portion de l’humanité ; j’aurais voulu que la nature entière eût pu se ressentir des égarements de ma tête. Je fus me jeter nue sur le sopha d’un de mes boudoirs, et j’ordonnai à Elvire de m’amener tous mes hommes, en leur recommandant de faire de moi tout ce qu’ils voudraient, pourvu qu’ils m’invectivassent et me traitassent comme une putain. Je fus maniée, pelotée, battue, souffletée ; mon con, mon cul, mon sein, ma bouche, tout servit : je désirais avoir vingt autels de plus à présenter à leur offrande. Quelques-uns amenèrent des camarades que je ne connaissais pas : je ne refusai rien, je me rendis la coquine de tous, et je perdis des torrents de foutre au milieu de toutes ces luxures. Un de ces grossiers libertins (je leur avais tout permis) s’avise de dire que ce n’était pas sur des canapés qu’il voulait me foutre, mais dans la fange… Je me laisse traîner par lui sur un tas de fumier, et me prostituant là comme une truie, je l’excite à m’humilier davantage encore. Le vilain le fait, et ne me quitte qu’après m’avoir chié sur le visage… Et j’étais heureuse ; plus je me vautrais dans l’ordure et dans l’infamie, plus ma tête s’embrasait de luxure, et plus augmentait mon délire. En moins de deux heures, je fus foutue plus de vingt coups, pendant qu’Elvire me branlait toujours… et rien… non, rien n’apaisait l’état cruel où me plongeait l’idée du crime que je venais de commettre."
S'il est possible de jouer sur place comme sur la photo, nous pourrions venir
Il suffit de le lui demander, rien ne lui fait peur et il est toujours en recherche de modèles hards