Vendredi 14 décembre 2012 5 14 /12 /Déc /2012 00:35

 

La baronne Sophie de L. est une jolie brune piquante de 30 ans, mariée au baron de L., de 25 ans son aîné. Celui-ci vit au gré de ses passions que sa jeune épouse n’est pas invitée à partager. Certes, la baronne sait fort bien que son époux lutine et renverse à l’occasion Amélie, la bonne.


Elle-même ne se prive pas d’amours ancillaires. Elle n’ignore plus rien de la généreuse virilité de son chauffeur, et elle offre parfois son intimité aux manières frustes du jardinier, dans la serre aux orchidées. Elle accepte souvent, à l’heure de son déshabillé, les voluptueuses et féminines caresses de sa camériste, dont l’habileté linguale ravit le minou épilé de la baronne. Mais ce sont là des plaisirs qui, pour une personne du rang de la baronne, ne prêtent ni à conséquence ni à péché.


À l’occasion d’une visite faite à son amie la comtesse Marie-Cécile de la M., la baronne Sophie s’est trouvée prise, si l’on peut ainsi s’exprimer, de toute autre façon, acceptant, avec la lubrique complicité de la comtesse, de recevoir en même temps l’hommage de trois vigoureux braquemarts, appartenant à de jeunes ouvriers réalisant des travaux dans le château de la comtesse.


Pour tout dire, elle avait surpris la comtesse en pleine action, et après quelque hésitation mais sous les encouragements dévergondés de Marie-Cécile, elle s’était vite retrouvée en guêpière et jarretelles à donner généreusement de sa noble personne à ces gueux bien montés. Ses trois trous furent explorés, comblés, remplis, inondés avec délices, sans compter les saphiques attouchements de sa vicieuse amie.


Sophie conservait de cet après-midi orgiaque, certes, un excellent souvenir sensuel ayant finalement très apprécié d’être traitée de salope, de grosse cochonne, de jouisseuse de la haute, mais son éducation lui commandait de ne pas demeurer seule avec ce grave péché de luxure, d’où sa décision de se confesser.


Elle conçut donc le projet de se rendre en l’église d’un bourg voisin, où si son nom était connu, sa personne ne l’était pas. Elle attendit son tour près du confessionnal et vit les quelques bigotes qui la précédaient entrer et sortir rapidement.


Elle se fit la réflexion que ces dames compassées et sèches n’avaient probablement pas à avouer à leur curé qu’elles s’étaient livrées, corps et âme, et surtout le corps, à une partouze débridée.


Puis ce fut à elle d’entrer dans le confessionnal, de s’agenouiller et de tirer le rideau.


  • — Mon père, je viens me confesser car il me semble avoir beaucoup péché.
  • — Je vous écoute ma fille,
  • — C’est que mon père, mes péchés sont délicats à avouer…
  • — C’est si grave que cela ma fille ?
  • — Oh ! oui, j’ai commis un péché capital mon père.
  • — N’hésitez pas ma fille, je puis tout entendre, et si vous voulez être pardonnée, il faut tout avouer. Avez-vous péché en pensée, ma fille ? par omission ou par action ?
  • — Bien, mon père, j’ai, euh, plutôt péché par action et aussi en pensée, bien sûr.
  • — Oui ?
  • — Voilà, je me suis vautrée dans la luxure, mon père, et j’ai fait l’amour avec plusieurs hommes et une femme.
  • — En même temps, ma fille ?
  • — Euh, oui, mon père, et, euh, en trompant mon mari par la même occasion.
  • — Oh ! en effet, c’est très grave, vous encourez l’enfer. Dites-moi tout.
  • — Eh bien, mon père, je visitais mon amie, Marie-Cécile.
  • — Vous voulez dire la comtesse, ma fille ?
  • — Euh, oui, c’est elle… Vous, vous… la connaissez ?
  • — Bien sûr, ma jolie pécheresse, elle vient souvent se confesser, mais continuez, je vous prie…
  • — Eh bien donc, vous disais-je, je visitais mon amie en sa demeure.


« Je sonnai, personne ne vint m’ouvrir et je pensai qu’elle avait donné son après-midi à la bonne. Je rentrai, elle n’était pas au salon, ni à la bibliothèque. Je montai le grand escalier et soudain je perçus des gémissements et des voix d’hommes. J’arrivai aux appartements de Marie-Cécile. La porte de son boudoir était ouverte et ce que je vis me renversa. Un homme nu de dos. Je voyais ses fesses puis plus bas, ohh ! deux paires de testicules poilues. Je compris que mon amie la comtesse se faisait prendre par deux sexes à la fois, un par-devant et un par-derrière. Et elle avait l’air d’aimer cela. Elle criait, elle gémissait, elle les suppliait de continuer. Un autre homme nu était debout devant la bouche de Marie-Cécile. Il se masturbait en frottant sa queue sur la langue sortie de mon amie qui lui caressait ses fesses. Tous, ils disaient des cochonneries et Marie-Cécile aussi, elle n’arrêtait pas de dire qu’elle aimait se faire mettre par tous les trous, qu’elle adorait se faire défoncer le cul par des grosses bites etc… et eux grognaient de plaisir, insultant la comtesse et la traitant de salope, de belle putain, de cochonne, de jouisseuse et tout…


« Je restais à regarder ce spectacle et je me sentais très excitée. Je voyais les deux queues entrer et sortir de la chatte et du cul de la comtesse et je mouillais. Alors, j’ai mis ma main sous ma jupe et je me suis caressée en regardant, retirant même ma culotte trempée de mon excitation.


« Nue, excepté ses bas blancs, Marie-Cécile attendait que ces trois rustres qui se branlaient sur elle jouissent et répandent leur sperme sur son ventre, quand elle m’aperçut. « Oh… Sophie mais que fais-tu là ? »


« Les trois hommes nus me virent et me découvrirent, la main entre mes cuisses gainées de noir, excitée par cette orgie. Un des gaillards vint me chercher et je me retrouvai bientôt en guêpière et bas, allongée à côté de Marie-Cécile, attendant que ces coquins lâchent leur semence de plaisir sur nous. Les trois hommes se branlaient sur nous et la main de Marie-Cécile caressait ma chatte. « Eh, quelles salopes elles font, ces deux aristos. Oui, elles aiment ça, les belles garces… » « Ouiiii, lâchez-nous votre purée », hurlait Marie-Cécile, folle de perversité.


« Puis, mon père, ce fut mon tour. Les trois cochons eurent vite fait de reprendre de la vigueur et je me retrouvai bientôt dans la même position que celle de Marie-Cécile lorsque je l’avais surprise. Ces trois hommes alternèrent dans ma bouche, dans mon con et mon cul et m’ont fait jouir comme jamais.


« Oh ! mon père, j’avais bien honte, mais que c’était bon, et j’ai joui comme jamais chez mon amie Marie-Cécile qui se branlotait doucement en me regardant subir ces vigoureux assauts. Elle caressait les fesses des hommes qui me limaient par mes trois trous et à nouveau, ils jouirent, sur mon cul, mon ventre, dans ma bouche. Puis la comtesse vint lécher le foutre de ces coquins, répandu sur tout mon corps, et s’en délecta de nouveau. Les ouvriers partirent et nous laissèrent nues et pantelantes de plaisirs et de jouissance.


« Eh bien », dit Marie-Cécile, « puis-je vous offrir du thé, ma chère amie ? » Nous descendîmes à l’office pour chauffer l’eau et nous prîmes un délicieux thé fumé, encore nues avec nos bas pleins de traînées blanches de plaisir de nos trois coquins.


« Voilà, mon père, j’ai fini. Vous voulez que je vous parle de moi avec le chauffeur, aussi ?


  • — Non, non petite dévergondée, ça suffit comme ça, vicieuse…


Le père avait depuis longtemps relevé sa soutane (Sophie le comprit plus tard en se remémorant les bruits de tissu entendus dans le confessionnal) et s’astiquait vigoureusement la queue en écoutant la confession gratinée de la baronne.


  • — Votre pénitence sera à la hauteur de votre grave péché ma fille. Suivez-moi dans la sacristie, ordonna le confesseur.


Elle le suivit dans la sacristie et sitôt la porte fermée il lui demanda de relever sa jupe et de retirer sa culotte.


  • — Un aussi gros péché, ma fille, ne peut s’absoudre que par la voie où il est venu. Allez, exécution.


Elle n’osa désobéir et se trouva assise sur la table de chêne, les cuisses écartées devant son confesseur. Elle le vit relever sa soutane et faire jaillir une énorme queue qu’il branla un instant.


  • — Voilà le saint goupillon, lui dit-il et, sans plus de cérémonie, le lui enfonça dans la chatte.


Et celui-ci commença ainsi à ramoner la baronne, la limer comme il devait, dans diverses positions qu’il imposait à la baronne à mesure de ses désirs coquins. Certes, il baisait souvent ses pénitentes, mais la baronne était sûrement un meilleur coup que la boulangère et la femme du notaire, les deux plus vicieuses de sa paroisse.


Soudain, le grincement de la porte de la sacristie attira l’attention de deux luxurieux protagonistes et le joli visage de sœur Marie-Ange se dessina, ses yeux étonnés fixant la scène scabreuse de son curé avec une paroissienne chevauchant le saint goupillon..


  • — Oh ! mon père, dit-elle observant les nobles fesses de la baronne coulisser sur le chibre vigoureux, je ne savais pas que vous pussiez aussi bénir à l’intérieur.
  • — Voyez, sœur Marie-Ange, approchez-vous et regardez comme Madame la baronne Sophie, qui est bien punie de ses péchés, se trouve à subir ce ramonage purificateur.


Sœur Marie-Ange se pencha et la nonne prit entre ses doigts les couilles du curé en caressant les fesses de Sophie. L’abbé, qui mangeait les seins de la baronne, continuait de la limer, appréciant la douce main de la novice sur ses bourses.


  • — Sœur Marie-Ange, sortez mon goupillon de la chatte de cette paroissienne et mettez-la dans votre bouche..


La religieuse s’exécuta immédiatement et la baronne Sophie sentit le front de sœur Marie-Ange aller et venir contre ses fesses ouvertes. Le curé ne tarda pas à exploser entre les lèvres de la nonne, qui aspira un premier jet de sperme blanc et dirigea les autres sur son visage extatique.


  • — Oh ! oui, mon père , bénissez-moi.


La baronne se retira pour voir ce spectacle inouï dans la sacristie, s’assit sur la table cuisses écartées, et se branla noblement mais avec maestria, en regardant la novice se faire gicler le foutre du confesseur sur les joues.


  • — Léchez la chatte de la baronne Sophie, ordonna bientôt le curé paillard.


Sœur Marie-Ange ne se fit pas prier et plaqua immédiatement sa bouche sur l’abricot odorant et dégoulinant d’excitation de Sophie qui jouissait déjà, excitée au plus haut point. Jamais elle n’avait imaginé se faire brouter par une jolie bonne sœur aussi lubrique.


Elle revint naturellement plusieurs fois raconter au vicieux curé ses exploits amoureux et partager avec lui une pénitence bien méritée.

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