Mardi 28 janvier 2014 2 28 /01 /Jan /2014 14:47

 

Je me présente, je m’appelle Cécilia et j’ai trente-six ans. Malgré deux grossesses, j’ai un corps toujours attirant pour les hommes. Il faut dire que je fais beaucoup de sport pour l’entretenir. Je suis professeur de mathématiques dans un lycée. J’enseigne dans plusieurs classes, allant de la première scientifique aux classes préparatoires. Je préfère ces étudiants post-bac car ils sont assidus contrairement aux lycéens qui passent leur temps à chahuter et aussi à me mater en douce.


Il faut dire que j’aime mettre mon corps en valeur et je m’habille de façon assez sexy, mais jamais de façon provocante. Mes plus belles tenues, je les réserve souvent à mes étudiants. Même s’ils me regardent, ils sont beaucoup plus discrets et parfois, je n’arrive pas à sentir leurs regards furtifs sur moi. Alors je les provoque un peu, force mon déhanché, me penche pour expliquer quelque chose tout en ayant oublié de fermer un bouton de mon corsage…

Pour résumer, je m’amuse à offrir à leurs yeux mes courbes comme une récompense au travail acharné qu’ils fournissent tout au long de l’année. Cependant, les choses en sont toujours restées là, mes élèves comprenant bien les règles du jeu.


En ce jeudi après-midi, je viens de terminer mes cours et reste dans la salle pour corriger des devoirs. Aujourd’hui, je me suis habillée un peu plus sexy qu’à l’habitude. Je porte une jupe marron assez moulante ainsi qu’un chemisier mauve. Dessous, j’ai mis des bas noirs stay-up, un string et un soutien-gorge rouge. Cela fait bientôt une heure que je suis à corriger mes copies et je commence presque à m’endormir dessus.


Soudain, quelqu’un frappe à la porte et entre. Il s’agit de Sébastien, l’un de mes étudiants. Il s’approche du bureau, un cahier à la main.


  • — Excusez-moi de vous déranger, mais je n’ai pas tout compris à l’exercice de cet après-midi, vous pourriez m’expliquer à nouveau ?
  • — Bien sûr, que n’as-tu pas compris ?

Il me montre son cahier, je reprends avec lui la démonstration mais je sens son regard sur moi. Furtivement, il jette des regards dans mon décolleté et je m’amuse de cela.


  • — Bon alors, c’est bon, tu as compris maintenant ?
  • — Oui… enfin, non. Je ne vois pas comment vous passez de cette équation à celle-là.
  • — C’est ce que l’on a vu hier. Attends, je te le remontre.

À ces mots, je me lève pour lui refaire la démonstration au tableau. Naturellement, je redescends ma jupe sur mes jambes mais je ne peux m’empêcher de me caresser discrètement les fesses et les cuisses. Debout devant le tableau noir, je reprends donc mes explications en écrivant les démonstrations. Sébastien est debout légèrement derrière moi. Je ne peux voir ses yeux mais je devine, tout du moins j’espère, qu’il est en train de reluquer mon postérieur bien moulé par ma jupe. Une fois que j’ai terminé, je repose la craie et m’appuie contre le bureau. Après avoir jeté un dernier coup d’œil au tableau, il se tourne vers moi :


  • — Là, c’est bon. Je crois que j’ai compris. J’aurais juste une dernière question.
  • — Vas-y je t’écoute.
  • — Pourquoi est-ce que vous cherchez toujours à nous allumer comme ça ?

Je suis stupéfaite par la question, tant par sa soudaineté que par sa directivité.


  • — Euh… Enfin, que veux-tu dire ?
  • — Ne faites pas l’innocente ! Vous vous habillez toujours hypersexy quand vous avez cours avec nous. Vous faites exprès de croiser et décroiser les jambes sans arrêt. Vous vous penchez plus que de raison sur les tables quand vous donnez des explications à l’un d’entre nous !
  • — Mais tu te fais des idées, balbutié-je.
  • — Allons madame, ne me prenez pas pour un imbécile !

Imperceptiblement, il s’est rapproché et n’est plus qu’à quelques centimètres de moi.


  • — Non, je t’assure. Peut-être que mes tenues peuvent paraître moins chastes que de rigueur mais il n’y a aucune pensée derrière…

Ses yeux verts pleins d’assurance fixent les miens alors que je cherche comment me sortir de cette situation que j’ai, il faut bien le reconnaître, un peu provoquée. J’aurais bien dû me douter qu’un jour, l’un d’entre eux poussé par ses hormones, aurait le cran de venir me défier. Mais je n’avais pas envisagé cette solution et je dois maintenant reprendre rapidement le contrôle…


  • — Je suis sûr que vous faites cela pour nous exciter. Et cela vous plaît de savoir que vos élèves bandent en vous regardant pendant vos cours… D’ailleurs vous pouvez le vérifier de suite !

À ces mots, il prend ma main et la plaque sur son jean. Et là, je me retrouve à toucher une bosse d’une taille fort acceptable. Je ne sais plus que faire. Je ne retire pas ma main, ne pouvant me détacher de son regard.


  • — Et vos jambes toujours gainées de nylon ? Si vous portez des collants, je voudrais bien croire que c’est que vous avez froid. Mais si vous portez des bas, c’est bien que vous êtes une petite coquine qui espère que nous en apercevions le liseré sous une jupe négligemment remontée ! Puisque vous refusez d’avouer, vos vêtements le feront pour vous !

Devant mon silence, il pose une de ses mains sur ma cuisse et commence à la remonter sous ma jupe, me faisant frémir. Bien entendu, il caresse le sommet de mes bas et commence à sourire.


  • — Alors, prise en flagrant délit !
  • — Écoute… Peut-être que je m’habille sexy et je dois avouer que cela me plaît que l’on me regarde mais tout cela s’arrête là.

Alors que ma main est toujours sur la bosse qui déforme son jean, je ne peux quitter son regard. Je sens sa main remonter un peu plus sur ma cuisse pour aller chercher mes fesses. En sentant mon string, il esquisse un sourire encore plus franc.


  • — Alors, qu’est-ce que cela vous fait d’être arrivée à vos fins. Un de vos élèves est là, pour vous !
  • — Euh… rien…

Je n’arrive plus à parler, je suis tétanisée et à la fois follement excitée. Je sens que la situation va m’échapper et que je vais lui céder… Il est de plus en plus près de moi. S’il n’y avait pas ma main, nos deux sexes se toucheraient au travers du tissu.


  • — Vous voulez que je vous fasse l’amour n’est-ce pas ?
  • — Non mais, arrête… bien sûr que non !

Sa main qui était posée sur mes fesses les empoigne d’un coup me faisant pousser un petit cri et ce sursaut fait rapprocher nos lèvres qui se touchent. Il appuie ce baiser forcé et je me sens faiblir. Quand sa langue force le passage, je me laisse faire et réponds même à ses avances. Nos langues se mêlent dans un même élan alors que sa deuxième main vient, elle aussi, caresser mes fesses. Éloignant un peu son visage sans que son regard ne quitte le mien.


  • — Effectivement, vous ne voulez pas que je vous fasse l’amour…

Je reste interdite devant lui, sous le charme.


  • — En fait vous voulez vous faire baiser comme une petite salope !

Je réagis instantanément à cette provocation en le giflant. Cependant, ma claque n’est pas très appuyée.


  • — Je ne te permets pas !

Il sourit et m’embrasse encore plus violemment. Comme la première fois, je ne peux lui résister. Une de ses mains vient caresser mes seins et déboutonne un peu mon chemisier. Ma main caresse lentement son sexe tendu au travers du jean.


  • — Alors, avouez que vous la voulez !
  • — Oui, c’est vrai…
  • — Dites le plus fort, dites que vous voulez que je vous baise !
  • — Oui, j’ai envie de toi…
  • — Non, ce n’est pas ce qu’il faut dire !

Je ne me contrôle plus, mon string est trempé.


  • — Oui je veux que tu me prennes…
  • — Encore !
  • — Oui je veux que tu me baises, oui je suis ta prof et tu vas me défoncer !
  • — Parfait…

Sur ce, il s’écarte de moi. Je ne comprends pas trop quand il se dirige vers la porte, même si je me dis qu’il va la fermer à clé, sage précaution. Mais au lieu de cela, il l’ouvre et parle dans le couloir.


  • — Entrez, elle est prête.

Je suis complètement sous le choc quand je vois entrer deux autres de mes élèves, Sylvain et Christophe, avec lui. J’essaie de remettre en place mes vêtements mais Sébastien m’arrête.


  • — Non, restez comme ça. Ils sont là pour ça aussi.
  • — Sortez de là !
  • — Non, je vous explique. Vous voulez vous faire baiser par un élève, Sylvain est encore puceau. Donc vous allez le dépuceler comme ça tout le monde y gagne.
  • — Non mais ça ne va pas ! Je n’ai pas du tout envie de me faire baiser comme tu le dis.
  • — Ce n’est pas ce que vous disiez tout à l’heure…
  • — Ça suffit, sortez !

Il s’approche de moi en souriant et empoigne mes seins. Il pince un de mes tétons m’arrachant un cri de plaisir. Son autre main glisse sous ma jupe pour caresser mon string trempé.


  • — Alors, pourquoi est-ce humide ?

Je réprime mes soupirs quelques secondes mais je finis par céder.


  • — Vous aimez, n’est-ce pas ? Et vous en voulez plus…
  • — Oui…
  • — Sylvain approche. Vous allez le sucer avant, histoire que le pauvre garçon n’envoie pas la purée trop vite en vous.

Le jeune homme s’approche de moi. Sébastien appuie sur mes épaules pour me faire agenouiller. Je déboutonne le jean et en sors une queue de taille moyenne. Je la prends en main mais ne la lèche pas.


  • — Allez ! m’ordonne Sébastien.

Je ferme les yeux et commence à le sucer. Je décalotte son gland avec mes lèvres et le titille avec ma langue. Plus je le lèche, plus j’ai envie de me faire pénétrer. Cependant, Sylvain ne tient pas bien longtemps. Alors que je suis en train d’avaler sa bite avec un rythme soutenu, il éjacule dans ma bouche. J’avale sans rien dire et me relève


  • — Alors, on fait quoi maintenant ? Il n’est pas trop en état de me prendre là !
  • — Ne vous inquiétez pas, il va vite reprendre de la vigueur. Et puis, en attendant, vous en avez deux autres à goûter !

À ces mots, il prend mes mains en posant une sur son sexe et l’autre sur celui de Christophe. Je n’ai jamais fait l’amour avec plusieurs hommes et c’est pour moi la première fois que je me trouve à devoir sucer deux bites en même temps. Cependant, je n’hésite pas. Je ne me reconnais plus tellement j’ai envie de sexe.


Je m’agenouille devant eux et sors mes deux nouveaux jouets. Celle de Sébastien est de taille correcte mais celle de Christophe est énorme ! Je commence par les branler lentement et puis je les goûte une à une. Au début, ma bouche va rapidement de l’une à l’autre, ne s’attardant que sur les glands. Puis je prends le temps de les découvrir, les léchant sur toute leur longueur allant même sur les testicules. Alors que je suis en train de jouer avec celle de Sébastien, il attrape ma tête et commence à m’imposer le rythme qui lui plaît. Je le laisse faire et au fur et à mesure, il me force à l’avaler entièrement. Je peine au début à l’accueillir mais je finis par entièrement l’avoir dans ma bouche.


À son tour, Christophe veut que j’avale entièrement sa queue mais je ne peux en recevoir que les deux tiers malgré mes efforts. Au bout d’un moment, mes deux jeunes étalons ressentent le besoin d’exploser. Sébastien veut jouir dans ma bouche ; je lui donne donc satisfaction et avale goulûment toute son offrande. Moi qui n’ai pas l’habitude d’avaler du sperme, voilà que je viens d’en recevoir deux giclées en moins d’un quart d’heure ! Christophe, quant à lui, veut décharger sur mes seins. Je finis de retirer mon chemisier et ôte mon soutien-gorge, dévoilant complètement mes seins et mes tétons durcis par l’excitation. Je coince sa queue entre mes deux globes pour le branler quelques instants puis quand il se sent prêt, il se branle activement devant moi. L’éjaculation est telle qu’il arrose mes seins mais aussi une partie de mon visage. Je me relève en rigolant et m’essuie du revers de la main.


J’ai vraiment envie d’être prise maintenant et c’est avec joie que je vois Sylvain la queue à nouveau au garde-à-vous, une capote à la main. Je m’approche de lui et viens vérifier sa raideur en prenant sa bite en main. Ne perdant pas de temps, Sébastien s’est glissé derrière moi et a défait le zip de ma jupe qu’il fait lentement glisser le long de mes jambes. Il passe sa main dans mon string et caresse mon minou inondé. Malgré la douceur de ses caresses, je le repousse et viens m’asseoir sur le bord du bureau, jambes largement écartées.


  • — Alors, mon grand, ça va être à toi de jouer. Qu’est-ce que tu attends ?

Nerveusement, il défait l’emballage, déroule le préservatif sur son sexe et s’approche de moi. Je tire mon string sur le côté et attrape sa queue pour la présenter devant mon vagin. Je ne le quitte pas des yeux et l’incite du regard à me prendre. Alors que je commence à moi-même rentrer le membre tendu dans mon sexe dégoulinant, il donne un violent coup de reins pour me pénétrer entièrement. Je crie devant la vitesse à laquelle il est entré en moi. Il me regarde hésitant, fiché au fond de moi.


  • — Allez, défonce-moi !

Galvanisé par mes paroles, il entame un va-et-vient rapide tout en se cramponnant à mes cuisses. Oh que j’aime sentir une queue bouger comme cela en moi ! Cependant, la fougue et la hâte ont vite raison de sa résistance. Même si je prends mon pied, je suis encore loin de la jouissance. Malgré tout, je crie un peu pour lui faire plaisir. Au moment où il explose, il agrippe mes seins et les serre comme un fou. Après avoir rempli la capote, il donne encore quelques coups de reins.


  • — Allez, retire-toi, que tu ne laisses pas le préservatif au fond.

Il obéit mais reste devant moi, la capote toujours sur le sexe qui commence à ramollir. Je me redresse sur le bureau en caressant mes seins.


  • — Alors, quelqu’un d’autre est intéressé ?

Le sourire aux lèvres, Sébastien s’approche de moi et pousse son collègue. Sa queue est déjà recouverte de sa protection. Il saisit mes cuisses et les écarte largement. Présentant son sexe devant mon vagin, il m’embrasse fougueusement puis me murmure à l’oreille :


  • — Vous la voulez, n’est-ce pas ?
  • — Oui, mets-la-moi bien profond, lui dis-je aussi à voix basse.

Alors que sa langue va de nouveau à la rencontre de la mienne, il me pénètre très lentement mais jusqu’au bout. Quel délice à nouveau ! Il entame un lent va-et-vient en moi sans que son regard quitte le mien. Je suis envoûtée par ses yeux et je suis de plus en plus excitée. Il varie le rythme de ses mouvements ce qui n’est pas pour me déplaire. Au bout d’un moment, il se retire et me fait me retourner. Je suis le ventre appuyé sur le bureau, les jambes légèrement écartées, présentant avantageusement mes fesses. Il se place derrière moi et après avoir frotté mon clito avec son gland, il me prend à nouveau. Ses mains appuient sur mes épaules et quand j’essaie de me redresser, il me plaque littéralement sur le bureau. Je suis à sa merci mais cela ne fait qu’augmenter mon plaisir. Alors qu’il sent que je m’approche de la jouissance, il s’arrête planté en moi :


  • — Mais que fais-tu ?
  • — Rien, j’attends…
  • — Non, ne t’arrête surtout pas !
  • — Alors suppliez-moi…
  • — Baise-moi, je t’en prie !
  • — Mieux que ça…
  • — Prends-moi comme une chienne, je suis toute à toi, je suis toute à vous !

Je hurle comme une folle et m’en rends compte en croisant le regard des deux autres.


  • — Voilà qui est mieux !

À ces mots, il se remet à me pilonner mais avec beaucoup plus de violence et de vitesse. L’orgasme monte en moi et j’explose, criant mon plaisir à tue-tête. Une fois que je me suis calmée, il se retire. Je me rends compte que lui n’a pas joui.


  • — À toi, Christophe, la place est chaude, j’en garde un peu pour la fin.

Le dernier des trois s’approche de moi. Avec mes deux mains, j’écarte bien mes fesses pour pouvoir accueillir sa queue si conséquente. Quand il commence à entrer en moi, mon vagin peine à s’ouvrir mais je mouille tellement qu’il n’a pas beaucoup à forcer pour se glisser en moi. Cependant, il me remplit tellement que je le sens vraiment passer quand il coulisse en moi. Évidemment, ce ramonage en règle ne tarde pas à m’arracher un nouvel orgasme aussi intense et aussi bruyant que le précédent. À son tour, il se retire et va s’allonger sur le sol.


  • — Allez, venez sur moi.

Je ne me fais pas prier et viens m’empaler à cheval sur lui. Quand je le vois rentrer en moi à nouveau, je mesure vraiment la taille si importante de son sexe. Je commence à m’agiter sur lui qui en profite pour malaxer mes seins et mes fesses. Je ne réfléchis plus, je ne suis qu’une femme en furie, réclamant du sexe !


À un moment, je le vois faire un clin d’œil et m’attirer à lui. Je me laisse faire et je sens des mains se poser sur mes fesses pour les écarter. En un éclair, je comprends qu’ils en ont aussi après mon cul. Je redoute un peu que ces jeunes hommes, surtout Christophe, se glissent dans mon anus mais comment les en empêcher ? Je les ai sucés, les ai suppliés de me baiser comme une chienne alors évidemment que je ne peux leur refuser mon fondement… En tournant la tête, je vois Sébastien qui commence à caresser ma rondelle pour qu’elle s’ouvre. Je lui murmure avec un regard suppliant :


  • — Vas-y doucement s’il te plaît…

Il me répond par un sourire et glisse son index dans mon sphincter qui s’écarte lentement. Il crache plusieurs fois sur son doigt pour lubrifier et mon œillet s’ouvre lentement alors que Christophe continue à lentement me ramoner. Pendant ce temps, Sylvain s’est agenouillé pour jouer avec mes seins. J’ai les yeux fixés sur sa queue à nouveau tendue et Christophe ne tarde pas à le remarquer :


  • — Allons, elle vous fait envie ! Faites-vous plaisir et à lui aussi par la même occasion !

Évidemment, je lui obéis et attrape cette jolie verge pour la branler puis la sucer à nouveau.

J’ai maintenant deux doigts de Sébastien dans mon anus et je me sens prête à le recevoir. Je lui fais savoir en tirant son sexe vers mes fesses. Il vient donc appuyer sa queue sur ma rondelle qui résiste un peu mais finit par céder. Lentement mais sûrement, il entre dans mon fondement.


J’ai l’impression que les deux queues qui me remplissent arrivent même à se toucher. Ils restent un instant immobiles pour me laisser m’habituer. Je continue consciencieusement à sucer Sylvain qui cherche de plus en plus à fourrer toute sa verge dans ma bouche. Je dois le retenir avec ma main sinon il me violerait littéralement la bouche. Dire qu’il n’y a même pas une demi-heure, jamais une bouche n’avait touché son gland et là, il me baise la bouche comme il le ferait à la pire des salopes ! Mais ils ont tous les trois bien compris que j’aimais cela, que cela m’excitait d’être traitée comme une chienne !


Alors que je m’applique à caresser les bourses de Sylvain, ses deux compères se remettent à bouger en moi. L’effet est immédiat et dévastateur ! Je me sens complètement ouverte, j’ai l’impression de n’être qu’une vaste ornière du clito au cul. Je hurle sous les coups de boutoir que je reçois, cris d’une légère douleur mais surtout d’un plaisir intense. Jamais je ne m’étais fait pénétrer par deux hommes mais surtout, jamais je n’avais ressenti un tel plaisir ! Je me dirige vers un troisième orgasme qui s’annonce encore plus violent que les précédents.


Mes jeunes compagnons forcent l’allure et là, la seule chose qui peut calmer mes cris est la bite de Sylvain qu’il fourre encore et encore dans ma bouche. Je sens tout mon corps qui se met à trembler, ça y est, j’ai atteint le septième ciel ! J’entre carrément en convulsion pendant quelques secondes. Je devine les sourires qui se dessinent sur les visages de mes élèves. Alors que je suis totalement effondrée sur Christophe, ils continuent à me pilonner. Je m’imagine qu’ils veulent eux aussi se finir et je les laisse faire, bien incapable de bouger par moi-même pour les y aider.


Mais non, Sébastien puis Christophe se retirent. Ils me font allonger sur le dos à même le sol. Ils retirent les capotes et chacun leur tour, ils viennent rentrer leurs queues dans ma bouche que je laisse grande ouverte. Je suis tellement exténuée par tous ces orgasmes que je n’ai plus la force de les sucer. Quand ils en ont marre de ce petit jeu, ils se mettent côte à côte, le long de mon corps inerte. Sébastien tient son sexe au-dessus de mon visage, Sylvain au-dessus de mes seins et Christophe au niveau de mes cuisses. Ils se branlent tous les trois ainsi et je devine la douche de sperme que je vais recevoir. Ils éjaculent presque en même temps et je suis complètement recouverte de foutre. J’en ai dans les cheveux et sur le visage, mes deux seins sont maculés ainsi que ma chatte et mes bas. Ils poussent même le vice à étaler leur semence sur moi pour me maculer le plus possible. Soudain, j’entends frapper à la porte, je réalise la situation et me relève effrayée….


… Je me réveille et me rends compte que je m’étais assoupie sur les copies que j’étais en train de corriger. J’ai le souffle court et je me rends compte que mon string est totalement inondé. Je me lève, reprends mes esprits et replace mes habits. Je me dirige vers la porte et l’ouvre.


Derrière, il y a Sébastien, un cahier à la main !

 

Voir les 5 commentaires
Ecrire un commentaire - Par Z. - Publié dans : Histoires
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Commentaires

histoire captivante. J'ai abndament mouillé.

commentaire n° :1 posté par : lovabaize le: 07/02/2014 à 14h51

récit très excitant et intéressant à lire et à relire ! Il donne une sensation de chaleur intense sur tout le corps

commentaire n° :2 posté par : lovabaize le: 25/01/2014 à 10h48

Putaiiin selui ki ma faiiit bienn mouiller c'est Sebastien sans aucun doute !! hummm

commentaire n° :3 posté par : Lylyy le: 27/12/2012 à 05h29
Bien bandante cette histoire.... Patricia je veux bien être ton éleve si ca te branche...
commentaire n° :4 posté par : Moha le: 27/06/2011 à 10h40

je viens de finir la lecture de cette belle histoire fantasmatique et j'avoue que moi aussi à cet instant pprécis j'ai le string trempé.J' adorerai vivre ce genre de situation...

Merci Z pour ce texte, tes choix sont toujours judicieux et je prends un plaisir fou à les lire.

Patricia

commentaire n° :5 posté par : Patricia le: 23/06/2011 à 19h58

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