Jeudi 15 novembre 2012 4 15 /11 /Nov /2012 00:14

La langue de Sandra se fit soudain plus insistante. Depuis plus d’une demi-heure qu’elle se contentait de parcourir mes lèvres et de titiller mon clitoris avec une précision de chirurgien, elle m’avait amenée progressivement au bord de l’orgasme. Sentant ma poitrine se soulever de plus en plus frénétiquement et mes gémissements, étouffés par ma main que je mordillais, se faire plus sonores, elle écarta doucement mais fermement ma jambe droite en appui sur son épaule. Mon vagin s’en ouvrit davantage aux pressions incessantes de sa langue.


Comment aurais-je imaginé, il y a seulement une journée, me retrouver cette nuit dans cet endroit incongru et légèrement glauque ? Accolée au mur suintant d’humidité de cette entrée d’immeuble du centre de Paris, je redoutais (et espérais ?) d’être surprise dans cette posture si plaisante mais néanmoins fâcheuse . Le bras droit en appui sur un semblant de boîte aux lettres, adossée au mur, la veste de tailleur ouverte, le chemisier déchiré et les seins bandés à m’en faire mal, je ne tenais debout que par ma jambe gauche. Le talon de l’escarpin noir de celle-ci tapait à intervalle régulier sur le carrelage grossier qui habillait le sol, au rythme des coups de boutoir de la bouche de Sandra qui, maintenant, dévorait littéralement mon sexe. Ma jupe noire et stricte de femme active n’était plus qu’un morceau de tissu roulé sans précaution sur mes hanches au moment des premiers assauts. Frêle protection qui n’avait résisté bien longtemps à Sandra, ma culotte gisait à présent à mes pieds. Mes bas noirs étaient parcourus de déchirures causées par ses ongles acérés que le désir avait aiguisés au point d’en faire des armes redoutables.


À genoux entre mes cuisses trempées de sperme, souvenir du début de soirée, de mouille et de salive, Sandra continuait son travail de sape, sourde à mes supplications, entièrement tournée vers son but ultime : boire à même mon sexe ma cyprine jusqu’à la dernière goutte. Agrippée à mon porte-jarretelles, sa tête ondulait en cadence sans jamais s’arrêter ou se décoller de mon sexe. La jambe droite reposant sur son épaule, je lui labourais le dos du talon de mon escarpin, traduisant en geste l’exact contraire de ce que je la suppliais de faire entre deux spasmes : arrêter.


J’avais fait sa connaissance quelques heures plus tôt dans une salle d’un club échangiste de la capitale. Non que je sois une habituée de ces endroits, mais la curiosité et le désir m’y avait conduite ce soir. À 33 ans, célibataire, rousse aux yeux verts, plutôt mignonne si j’en crois les commentaires que j’entends parfois, ma vie sexuelle se limitait jusqu’à présent à de longues séances de masturbation solitaire et à quelques aventures sans lendemain. Ce vendredi fut plus difficile que d’accoutumée, au bureau. Aussi, en regagnant mon véhicule, vers 20 heures, ai-je eu envie de compenser… Le désir de fréquenter un club échangiste était venu en « surfant » sur Internet. Mon appartement regagné, une tenue sexy plus adéquate enfilée, je commandai un taxi qui me conduisit dans un de ces endroits.


L’entrée était discrète et le personnel plutôt accueillant. La première salle ressemblait beaucoup à une discothèque, avec son bar, sa piste de danse, ses fauteuils profonds et ses lumières tamisées. Il n’était que 22 heures et peu de personnes se trouvaient déjà ici. Quelques couples se trémoussaient doucement sur la piste, quelques-uns discutaient autour d’une table et quelques solitaires occupaient le bar. Ce fut Michel qui m’offrit le premier un verre. Plutôt grand, blond avec un regard tendre, il m’invita bientôt à danser. La musique langoureuse nous imposa une danse plutôt serrée, ce qui n’était pas pour me déplaire. Rapidement, ses mains se firent plus insistantes et baladeuses. Me collant les fesses sur son bas-ventre, je sentis immédiatement son sexe déjà gonflé vibrer sous son pantalon. N’opposant aucune résistance à ses avances, bien au contraire, il m’invita à le suivre dans la salle du bas.


Cette dernière était constituée d’une sorte de scène légèrement surélevée et capitonnée. À notre arrivée, une quinzaine de personnes était debout autour de la scène, à regarder deux hommes et une femme en train de faire l’amour. La plupart des hommes qui regardaient en profitaient pour se masturber. Sur la scène, un des hommes était allongé sur le dos, nu. La femme brune, plutôt mignonne, qui s’avérait être Sandra, était empalée sur son sexe. Elle montait et descendait sur cette hampe de chair, tout en avalant goulûment le sexe du second homme, debout au-dessus du premier. Son pénis de belle dimension rentrait dans la gorge de Sandra presque jusqu’aux couilles. Elle lui enserrait d’ailleurs la base de son sexe, ralentissant ainsi la montée de sa jouissance. Quelques spectateurs fébriles en vinrent rapidement à l’éjaculation, éclaboussant Sandra et ses partenaires de jets de foutre chauds. À chaque fois, Sandra délaissait quelques instants la fellation, ramassait du bout des doigts le sperme répandu et s’en enduisait le corps et la langue. Puis elle reprenait sa fellation, titillant le gland rouge du bout de la langue, tournant autour, avant de glisser autour du membre turgescent qui lui était offert.


La vision de ces ébats m’excita rapidement. Comme d’autres femmes spectatrices, je déboutonnai mon chemisier et me caressai les seins, qui devinrent rapidement durs. Michel fut happé par une jeune blonde presque nue qui avala son sexe. Je n’en éprouvai aucune rancœur, étant moi-même occupée à soulager un jeune homme d’une vingtaine d’années, au teint blafard mais au sexe consistant.


Sur la scène, Sandra était à présent trempée de sperme et de transpiration. Ses chaussures à talon tendaient ses mollets gainés de soie. Ses seins dégoulinaient du sperme des spectateurs. L’homme allongé n’était pas loin d’exploser. Les allées et venues de Sandra sur son sexe commençaient à avoir raison de sa volonté. S’en apercevant, elle interrompit ses empalements, ménageant ainsi un peu de repos à son partenaire. L’homme debout n’était guère plus frais. La fellation de Sandra avait produit ses effets. Là aussi, elle cessa ses caresses et l’invita à passer derrière elle.


Michel finit par jouir dans la bouche de la blonde, qui s’efforça d’avaler le jet de sperme. Quelques gouttes réussirent néanmoins à sortir aux commissures de ses lèvres. Ils échangèrent un baiser et se quittèrent.


Pour ma part, tout en contemplant la scène, je poursuivais ma fellation sur le jeune homme, qui devait être hollandais. Le jugeant mûr, je m’interrompis. Il me sourit et me fit signe de monter sur la scène. J’hésitai un instant et finis par accepter. Je me retrouvai donc à quatre pattes, jupe relevée sur les hanches, culotte retirée. Il se positionna derrière moi, enfila un préservatif et approcha son gland de mon sexe. La fellation pratiquée et la vision de Sandra et ses amis m’avaient mise en état de manque. Aussi n’eut-il aucune difficulté à me pénétrer, mon vagin étant déjà trempé. Me tenant par les épaules, il s’enfonçait jusqu’à la garde puis ressortait pour ne laisser que le bout du gland. Je sentais le plaisir monter en moi. À côté de nous, Sandra s’était à nouveau empalée sur l’homme allongé. L’autre homme était passé au-dessus d’elle et la sodomisait. Prise en sandwich, elle hurlait de plaisir tout en maltraitant par ses coups de boutoir le sexe de l’homme allongé.


Souhaitant changer de position, le jeune homme qui me besognait me retourna, m’allongea sur le dos et me reprit dans une position plus conventionnelle. Au moins ainsi pouvais-je voir parfaitement Sandra se désempaler de l’homme allongé alors que celui qui la sodomisait avait fini par éclater sur son dos . Elle masturba quelques instants l’homme, avant qu’un jet de foutre ne vienne lui cingler le visage. C’est alors qu ’elle m’aperçut. Laissant ses amants de fortune se remettre de leurs émotions, elle glissa jusqu’à moi, embrassa la scène d’un regard.


  • — Bonsoir, nouvelle venue ?

Le Hollandais semblait parfaitement contrôler ses va-et-vient. Tenant chacune de mes jambes par une main, les chevilles en appui sur ses épaules, il appliquait à son bas-ventre un mouvement alternatif et régulier. À chaque pénétration, je sentais son gland frapper le fond de mon ventre et ses couilles taper mon sexe. Entre deux ahanements, je réussis à sourire à Sandra et à lui répondre.


  • — Oui, nouvelle. Je me prénomme Marie.
  • — Moi Sandra… C’est ton petit ami qui te baise ?
  • — Non, je ne le connais pas, parvins-je à répondre, avant qu’une poussée plus puissante du Hollandais ne m’arrache un petit cri.

Les spectateurs s’étaient presque tous dispersés. Seuls demeuraient une femme d’une cinquantaine d’années, bien mise, qui nous regardait en se masturbant, ainsi qu’un homme plus jeune qui, lui aussi, finissait de se branler en nous regardant faire. Les autres s’étaient éloignés, d’aucuns étaient remontés au premier étage, d’autres faisaient l’amour dans de petites alcôves collatérales à la scène centrale où je me trouvais.


  • — En tout cas, il y met du cœur, cet amour, est-ce que tu le sens bien ?
  • — Ohhhh ouiii ! De te voir avant nous a bien excités.
  • — Merci. Je te trouve très désirable, me dit-elle en souriant.

Elle approcha sa tête de la mienne et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue se mélangea à la mienne. Ses seins gluants du sperme récolté frôlèrent les miens, tandis que sa main caressait mon ventre et fouillait mon pubis.


Le Hollandais dut être excité par cette vue, parce que son mouvement de marteau-pilon s’accéléra soudain. Je mouillais comme jamais. Sandra n’arrêtait pas de m’embrasser. Son haleine sentait le foutre, résultat de la fellation prodiguée auparavant. Elle se détacha de ma bouche, se tourna vers le Hollandais, qu’elle embrassa également, puis revint vers moi :


  • — Fais-moi jouir, me dit-elle. Je te le rendrai au centuple.

Elle se leva, passa derrière ma tête, leva une jambe et me présenta le talon de son escarpin devant la bouche. Instinctivement, j’ouvris les lèvres, laissant s’introduire le talon dans ma bouche. Je le suçai avidement, excitée par cette pratique inédite pour moi. Plus je le suçais, plus elle l’enfonçait dans ma gorge. Soudain, elle retira le talon de son escarpin de ma bouche et, face au Hollandais, s’installa à califourchon sur ma bouche. Je fus alors couverte par son sexe, le nez dans son petit trou.


À ma gauche, la femme qui nous regardait poussa un cri de jouissance et s’écroula sur la chaise. Une main à présent inerte pendait entre ses cuisses. Le jeune homme qui se branlait en nous regardant s’approcha d’elle, quémandant sans doute une caresse apte à le soulager. La femme le dévisagea, se lécha la main que je devinais pleine de mouille, s’accroupit face à lui et goba avidement son sexe tendu à l’extrême. Un sourire de félicité éclaira alors la face du jeune homme.


Les bas de Sandra me cinglaient les joues. Son sexe ouvert sur mes lèvres était trempé de mouille et de sperme. Je commençai doucement à la lécher. Le foutre de l’homme l’ayant sodomisé coulait en plaque du bas de son dos, roulait sur ses fesses et finissait sur mes yeux, mon nez et mon front.


  • — Oui, lèche-moi bien doucement, vas-y.

L’odeur âcre de sa substance intime et du sperme mélangés me remplissait à présent la bouche. Le Hollandais devait être dans un jour exceptionnel. Depuis un quart d’heure qu’il me pilonnait, il n’avait pas faibli une fois. À présent, pour tenter d’atteindre les seins de Sandra à quelques centimètres de sa tête, il était obligé de s’enfoncer plus profondément encore en moi. Les jambes presque à la verticale, je sentais sa poussée dans mon ventre, étrange mélange entre douleur et plaisir. Mes mains étaient remontées le long du corps de Sandra. Dessinant le périmètre de ses seins du bout des doigts, je remontai jusqu’à ses tétons, durs comme du métal. Instinctivement, je les pinçai, lui arrachant ainsi un petit cri de douleur.


  • — Hum, moi qui te croyais innocente… tu es une belle chienne !

Cette insulte me stimula plus encore. J’accentuai ma pression sur son sexe, la pénétrant de ma langue, mordillant son clitoris au passage. J’entendis le jeune homme prévenir la femme plus âgée qu’il était sur le point de jouir. Cette dernière le pria de venir sur son visage. Quelques secondes après, un cri de mâle me fit penser qu’il venait de recouvrir le visage de sa partenaire d’une épaisse couche de sperme chaud.


Le sexe de Sandra était détrempé, ce qui facilitait grandement mon travail de succion. Visitant son vagin, ma langue fouillait chaque recoin de son intimité et en extrayait une liqueur d’exception que j’avais le plus grand mal à avaler sans respirer. Petit à petit, mon travail faisait son effet et je sentais Sandra qui commençait à chanceler.


  • — Oh ! Oui !

Le Hollandais avait réussi à atteindre les seins de Sandra, car je sentis sa langue sur mes doigts alors que je maltraitais gentiment un de ses tétons. Arc-bouté sur mes jambes, introduit au plus profond de mon corps, il profitait de chaque poussée pour lécher et sucer les seins de Sandra. Tout à coup, je sentis que la résistance offerte par mes jambes au Hollandais venait de diminuer. C’était Sandra qui, attrapant mes chevilles, les tirait vers elle, facilitant ainsi le travail du Hollandais. Surtout, elle était à présent en mesure de sucer alternativement les talons aiguilles de mes escarpins. Visiblement, elle adorait cela. Quasiment pliée en deux, défoncée par ce jeune homme au mandrin puissant, occupée à pénétrer de ma langue le corps de Sandra, je ne prêtais plus attention aux allées et venues. Trop concentrée sur le plaisir que je tentais de donner à Sandra et sur le mien que j’essayai de canaliser, j’en avais oublié le jeune homme et la femme mûre. C’était pourtant elle qui prenait place sur la scène, à quelques mètres de moi. Le jeune homme s’allongea sur elle, tête-bêche. Je vis la femme, le visage couvert de sperme, avaler une nouvelle fois le sexe encore mou de son amant et j’imaginai ce dernier, la tête enfouie entre les cuisses de sa libératrice. Cette vision et cette pensée me survoltèrent. Profitant de ce que Sandra, délaissant mes talons aiguilles, s’était allongée sur moi, je la repoussai légèrement et, sans interrompre ma pénétration linguale, j’approchai ma main droite de l’orifice de son cul, préparant ainsi une petite pénétration anale. Comme je m’apprêtais à le faire, je ne pus retenir un cri de plaisir au moment où Sandra pénétra mon anus de ses doigts.


  • — Je sais que tu aimes ça… me dit-elle en couvrant l’essoufflement qui la gagnait.

Pour toute réponse, vaincue par le plaisir procuré par la double pénétration, je me cambrai pour mieux recevoir ses doigts qui me fouillaient.


Au moment où elle s’allongeait plus encore pour mieux me pénétrer, j’en profitai pour lui rendre la pareille. Je lui fourrai le pouce dans l’anus, tentant d’aller le plus profond possible. Cette manœuvre lui arracha un spasme rauque. Se redressant en libérant mon anus, elle s’empala plus profondément encore sur ma langue d’une part et sur mon pouce d’autre part. Prise de frénésie, elle balançait son buste de gauche à droite et d’avant en arrière. Ses cuisses gainées de soie me frottaient sur les joues. Ses mains fouillèrent mon corps, arrachant au passage mon chemisier dans un craquement de tissu. Ses ongles acérés se plantèrent sur mon ventre et remontèrent lentement jusque sur mes seins. Le Hollandais était à présent au bord de la jouissance. J’entendais son souffle de plus en plus court et je sentais son sexe en moi qui commençait à convulsionner. La femme allongée à mes côtés commençait elle aussi à gémir. Accélérant le mouvement de ma langue et de mon pouce, j’attrapai Sandra par les seins et la forçai à demeurer en contact avec ma bouche. Un long cri précéda de quelques secondes un flot de mouille qui m’inonda la bouche et le visage. Ne parvenant pas à avaler la totalité de sa liqueur, je fus contrainte de me dégager légèrement pour ne pas étouffer. La bouche, le visage et le haut du corps trempés, je vis Sandra s’effondrer sur le côté, son corps parcouru de quelques spasmes. À bout de force, le Hollandais ressortit une dernière fois sa queue de mon sexe détrempé. Il arracha le préservatif, libérant ainsi son membre turgescent et décalotté. Parcouru de convulsion, son sexe témoignait de l’intensité de l’effort qu’il venait d’accomplir. Les jambes pendantes, je me redressai avec peine. Sandra se retourna vers moi, un sourire éclairant son visage.


  • — Toi alors.
  • — Soulageons ce garçon, lui dis-je.

Elle s’agenouilla près de moi et nous léchâmes simultanément le gland boursouflé du jeune homme. Quelques coups de langue après, il ne put retenir de longs jets de sperme qui vinrent frapper nos visages. Épuisé, il s’allongea sur le côté, le sexe à présent dégoulinant de semence. J’embrassai Sandra et lui léchai le visage. Elle me rendit la pareille.


Après avoir récupéré nos affaires, nous nous retrouvâmes dans la rue.


  • — On ne va pas se quitter comme ça, me dit-elle. Viens prendre un verre.
  • — Pourquoi pas.
  • — Ma voiture est à quelques rues d’ici.

En passant dans une rue déserte, elle me stoppa, se tourna vers moi et m’embrassa longuement. Ses mains descendirent sur mes seins, qu’elle caressa, puis glissèrent jusqu’à mes cuisses.


  • — Je t’ai promis de te rendre la pareille au centuple…
  • — Maintenant ?
  • — Tout de suite !

Elle poussa la porte de l’immeuble. L’entrée était dans le noir, hormis la lumière de la rue qui passait quelque peu. Elle me colla au mur, m’enleva mon imperméable, écarta ma veste, arracha ce qui restait de mon chemisier. N’ayant pas remis mon soutien-gorge, mes seins apparurent. Elle les flatta du bout des doigts, me provoquant ainsi un premier spasme de plaisir. Mon ventre était rayé de zébrures provoquées par ses ongles. Elle lécha les plaies rouges. Elle retroussa ma jupe sur les hanches et retira prestement ma culotte qu’elle jeta à terre. Elle se recula légèrement, comme pour admirer un tableau, puis revint se coller à moi. Près de mon oreille, elle murmura :


  • — Tu vas prendre un pied génial, ma belle, je te le promets.
  • — Mais si on vient ?

Elle ne répondit pas à la question. Sa main droite descendit jusqu’à mon sexe, fouilla dans ma toison encore humide de nos ébats. S’agenouillant entre mes jambes, elle m’incita à mettre ma jambe gauche sur son épaule. Elle promena sa langue sur les bas qui couvraient mes cuisses, jouant avec mes nerfs. Puis, telle une sangsue, elle se colla à mon sexe…




Marie. Paris.

Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire - Par Z. - Publié dans : Histoires
Retour à l'accueil

Profil

  • Z.
  • Organisation de Gang Bangs et Soirées Libertines à Paris
  • salope soumise sm sperme chienne
  • Organisateur de gang bangs hards a Paris. Organisateur de soirées sur mesure pour couples et femmes seules.

Z-Shop (boutique)

pavé 2

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Rechercher

Images Aléatoires

  • powergirl03
  • catalya02 jpf0242
  • tumblr n199rcbNMw1s2gmayo1 500
  • Untitled170
  • club013
  • sissyboys 1 m

Présentation

  • : Organisation de Gang Bangs et Soirées Libertines à Paris
  • Organisation de Gang Bangs et Soirées Libertines à Paris
  • : Rencontre
  • : Organisateur de soirées libertines pour couples (multicouples et pluralité masculine) à Paris et région IDF Organisation sur-mesure de gang bang , de bukkake, public disgrace et autres joyeusetés pour adultes consentants.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Catégories

 
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés