Compte tenu de ma récente intégration dans un cabinet professionnel en qualité d’associé, et précisément en raison même de l’arrivée des quelques nouveaux, au profil jeune et dynamique, je ne pouvais éviter de participer à cette réception de bienvenue réunissant associés, anciens et frais émoulus, relations diverses et clients les plus représentatifs, la plupart accompagnés d’une probable légitime escorte en robe de cocktail.
En ce qui me concerne, heureux temps, j’étais célibataire, libre de batifoler, butiner, bourdonner de fleur en fleur.
Après les allocutions d’usage, les invités s’égayaient qui dans le salon, qui dans le patio, qui dans la véranda attenante, un verre à la main et piochant sur les plateaux de petits fours et zakouskis variés que tendaient, imperturbables et stylés, des extras des deux sexes au sourire convenu.
Bref, je commençai à penser que je ne devais pas être le seul à rencontrer le début du commencement des premières impressions d’un certain ennui.
Après avoir sacrifié aux politesses d’usage, je me préparai à m’éclipser aussi discrètement que possible tout en déambulant de salle en salle, portant de préférence le regard sur les éléments féminins présents à ce raout de bonne compagnie.
Alors que le tour d’horizon auquel je m’étais livré ne m’avait pas permis de repérer le butin convoité, j’avisai, quelque peu isolée, une femme en tailleur chic et légèrement moiré, vert d’eau, une coupe de champagne à la main, admirant le jardin d’automne éclairé a giorno par les éclairs fixes des spots et baigné de la douce lumière du crépuscule naissant.
Un hasard fort opportun plaça sur mon chemin un coreligionnaire de promotion que j’interrogeai sur l’identité de cette beauté. Un second hasard des plus chanceux fit qu’il savait parfaitement qu’il s’agissait de l’épouse de l’un de nos principaux clients à laquelle il avait été présenté.
Je m’approchai à une distance raisonnable de cette dame et me mis à l’observer à la dérobée (au sens figuré) mais non sans m’interroger in petto ce qu’il résulterait d’une situation effectivement dé-robée.
La fine mouche ne tarda pas à s’apercevoir de mon manège et de mon côté, m’approchant enfin, je ne fus pas sans remarquer la légère rougeur colorer les pommettes de cette gracieuse commensale, impression que je me plus à expliquer par l’imminence d’une approche masculine qu’au champagne rosé qu’elle sirotait.
Un rien de Demi Moore, ses cheveux noirs remontés avec des mèches qui encadraient son visage d’un ovale parfait, une peau mate, des lunettes aux verres sans monture, un maquillage discret mais efficace, une silhouette ondulée, des jambes gainées d’un voile blanc et des escarpins de même couleur.
Elle fit un geste désignant les pièces attenantes, et je compris dans ce geste que ledit mari n’était pas toujours à proximité immédiate de sa moitié.
Mouvement de sourcil en guise de réponse mais petit sourire en coin…
Un brin d’hésitation dans son regard noisette.
Bon Dieu ! qu’elle était sexy. Et puis, qu’avais-je à perdre ? Personne ne pouvait écouter notre conversation.
Un léger flottement s’en suivit.
Elle se rapprocha légèrement de moi, et je sentis l’effluve capiteux de son parfum. La garce, elle se maîtrisait bien. Elle accusa le coup d’un mouvement des cils et d’une jolie moue.
Surpris d’une telle science, je m’entendis répondre :
D’une oeillade délicieusement polissonne, elle m’invita à poursuivre…
Du coup, c’était moi qui me trouvais légèrement déstabilisé. Elle me regardait d’un sourire malicieux..
Nous étions tous deux et me penchai vers elle, humant de nouveau la fragrance de son eau de toilette, et peut-être aussi, les premiers phéromones de l’attirance sexuelle etc…
Je vis son regard se baisser sur ma braguette. Un sourire marquer délicieusement ses lèvres.
Sourire…
Elle projeta son regard alentour, fis deux pas pour se dissimuler derrière une plante et d’un geste prompt, glissa un bras sous sa jupe et fis descendre sa fine culotte. Soulevant une jambe puis l’autre, elle me tendit le tissu de dentelle.
Je portais aussitôt ce précieux trophée froissé dans ma paume sous mes narines, humant la délicieuse exhalaison d’une incontestable excitation, d’un désir manifeste, au plus haut degré de la lubrification…
Je continuai à sentir ce joli string et même à en lécher l’intérieur, le regard coquin de Marie-Laure me remerciant de ma gourmandise…
Comprenant son dessein, je jetai moi aussi un œil alentour, et me rendis compte que nous étions effectivement à l’écart et qu’une longue table nous dissimulait en partie aux yeux de la salle.
Elle sourit, complice, et se tournant vers le jardin, dos à la grande salle, elle écarta sa veste de tailleur et laissa apparaître un superbe soutien-gorge demi balconnet, assorti au string, tout en fine dentelle blanche. Elle baissa d’un geste les deux bonnets et je vis apparaître ses globes parfaits à l’aréole formée et manifestement excitée.
D’un gracieux et très érotique mouvement de son index, elle caressa un mamelon turgescent tout en me gratifiant d’un regard en coin d’une totale lubricité.
La coquine laissa ses seins hors de leur prison de dentelle se contenant de refermer la veste de son tailleur, me permettant un panorama très ouvert sur la vallée de ces délices mammaires.
C’est ce moment que choisit pour passer près de nous une jeune serveuse blonde, qui ne dus rien manquer de cette saillie, si l’on peut dire, de Marie-Laure.
Nous reprîmes l’un et l’autre une coupe de champagne à disposition sur le plateau, tandis que la serveuse, le rouge aux joues, ne pus s’empêcher de baisser son regard vers l’endroit stratégique de ma personne.
La décence et les contraintes de son service ne lui permettaient pas rester davantage mais je crus percevoir qu’elle nous quittait avec un zeste de regret.
Quelque peu emprunté finalement devant la tournure des événements, mais finalement gagné par notre commune fièvre polissonne, je dézippais ma braguette et d’un geste aussi discret que possible, dos à la salle, j’extirpais mon engin bandé à mort aux yeux de Marie-Laure.
Elle ne fit pas un geste pour la toucher. Elle matait intensément ce gourdin déployé devant elle.
Il y avait de la tension dans l’air et la situation était particulièrement excitante.
Elle se rapprocha de moi et glissa à mon oreille, frôlant cette fois de sa main l’engin exposé.
Elle me jeta un regard d’un exquise friponnerie.
Elle passa sa langue sur les lèvres en me souriant tout en se caressant les seins.
Alors que je remettais tant bien que mal mon outil dans mon pantalon et rabattais ma veste, je vis apparaître un homme qui venait tout droit vers Marie-Laure.
Je manquais m’étouffer et cracher dans ma coupe de champagne devant l’imminence de la catastrophe.
Quelque peu marri par cette interruption brutale, je laissais mon regard errer sur la croupe ondulante de Marie-Laure. Je la vis alors mettre un bras derrière son dos, former un cercle avec son pouce et son index et ainsi dans un mouvement évocateur et haut en bas et de haut en bas, me faire comprendre, avec une délicieuse vulgarité, qu’ils ne nous restait plus que nos propres ressources pour nous délivrer sinon du ma,l mais certainement de la tentation.
Je regardais le couple se retirer lentement, saluant quelques personnes au passage.
Je n’avais plus rien à faire à cette soirée et me dirigeai alors directement vers le vestiaire.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je m’y présentai de voir que la préposée, dont le badge portait le prénom de Mélanie, n’était autre que la jolie serveuse qui avait tout à l’heure nécessairement surpris quelques bribes de notre si particulier entretien.
Me voyant seul, elle me gratifia de son plus beau sourire.
Elle me conduisait dans le vestiaire en lui même et me poussant entre les portants emplis des vêtements, elle posa sa main sur ma braguette saisissant ma queue encore raide.
Elle n’attendit pas ma réponse, ouvrant la fermeture et glissant ma main menue dans mon pantalon, baissant le slip et sortant triomphalement mon sexe de nouveau bien ragaillardi.
Elle n’hésita qu’une seconde avant de se pencher pour la lécher et la sucer avec une bien agréable gourmandise et un indéniable savoir-faire.
Je me laissais ainsi faire, trop heureux de trouver l’occasion de satisfaire mon excitation.
Mais on entendit un petit coup de sonnette et la coquine dut se relever pour vaquer à son nouveau service.
Nous fûmes dérangés deux ou trois fois. Lorsqu’elle me quittais provisoirement, je prenais la suite bien en main et la jolie vicieuse me jetai un œil canaille en voyant ma main aller et venir sur ma hampe tendue.
Elle revenait précipitamment dès que possible poursuivre son office buccal entre deux clients, relevant à chaque fois un peu plus sa jupe, ce qui me permettait d’admirer ses jolies jambes gainées de dim up.
Une nouvelle fois, elle abandonna son ouvrage pour répondre à un coup de sonnette.
Alors que je reprenais manuellement le relais, Mélanie revint me voir un ticket de vestiaire à la main. Elle me regarda quelques secondes mais cette fois ne pris aucun vêtement.
Je l’entendis alors dire à une cliente :
C’est ainsi que je vis arriver devant moi, alors que je continuais ma douce masturbation, Mélanie suivie de Marie-Laure, qui me découvrit ainsi, dans la ligne de notre impudeur récente, la queue en main.
Elle sourit au stratagème de la serveuse et sans hésiter s’approcha pour saisir mon engin qu’elle serra entre ses doigts dans une savante branlette.
Accroupie, les cuisses écartées devant ma queue ainsi manipulée, Mélanie se caressait, une main dans sa culotte regardait avec avidité le travail de Marie-Laure.
J’étais dans un tel état d’excitation que je ne tardais pas à exploser et soudain mon sperme jaillit, giclant sur le visage de Mélanie qui s’était rapprochée dans ce but, ce qu’avait bien compris Marie-Laure.
Mélanie se releva, consciente de la précarité de la situation. Marie-laure se rapprocha d’elle et sans hésitation, lécha et prit de sa langue le jus blanc des joues de Mélanie.
Marie-Laure prit alors son manteau et me laissa avec Mélanie, qui elle aussi testait la saveur de cette douce liqueur, léchant d’abord son doigt puis venant sucer mon gland duquel sourdait les dernières gouttes de mon plaisir.
La perspective de parachever agréablement cette soirée n’avait rien pour me déplaire.
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