Organisation de Gang Bangs et Soirées Libertines à Paris

Viviane

Bukkake… Premiers jets…!

Je continue en compagnie de Z l’exploration de mes fantasmes. Une vraie merveille de respect et de gentillesse. Je me sens tellement en sécurité que je me livre parfois plus que je ne le voudrais déjà.

Ah ! Il ne faut pas lui en conter au jeune homme ! Dès que je lui parle d’une idée, son imagination se met en branle (sans mauvais jeu de mots) et les rouages de son cerveau se mettent à fonctionner presque sous mes yeux. 

Dernièrement, nous échangeons à propos du plaisir que j’ai lorsqu’un homme libère son plaisir sur moi… Le point final.

Celui qui marque sa jouissance. 

L’émotion est grande de sentir la vague monter, d’entendre son souffle s’accélérer, ses mouvements de plus en plus saccadés lorsqu’il me reprend son chibre pour mieux se branler, ma langue qui lui taquine le gland si sensible, et sentir au creux de ma main, parfois, sa semence qui monte jusqu’à la libération ! 

Oui, l’émotion est grande lorsque dans un cri, un râle, un souffle, son jus s’écrase sur ma poitrine frémissante. Ou dans ma bouche offerte, lorsque je l’ai décidé…

Bukkake. Bien qu’appréciant la culture japonaise, je n’ai jamais pris le temps de découvrir le sens et l’origine de cette pratique. 

Maintenant, je sais. Une façon originale de punir l’infidélité… 

Je préfère le parfum sulfureux de l’érotisme qui s’en dégage lorsque je le reçois.

C’est ainsi que pour mon plaisir, Z m’organise mon premier bukkake. Il en fait une surprise, une fête des sens. 
A la dernière minute, il me rappèle tout de même que cela ne durera pas longtemps puisque les hommes invités ne me toucheront pas, se contentant de réchauffer ma peau de leur jus… 
Que nenni mon ami ! Si je suis cérébrale, je n’en suis pas moins charnelle et cela ne me suffira point ! Je veux toucher, sentir, lécher, je veux être envahie, caressée, je veux les sentir en moi et jouir d’eux bien avant qu’ils ne jouissent de moi, sur moi ! 

Pour un plaisir collégial, ce fut gang bang et bukkake.



Nous arrivons au loft en avance. L’appréhension me noue le ventre malgré ma hâte. Nous discutons tranquillement, je fume une cigarette compulsivement. Je tourne, je vire… L’excitation grandit en même temps que la peur s’amenuise. Je n’essaie même plus de poser des questions car Z, taquin, garde le mystère… 
L’heure approche, je me fais jolie. Nous improvisons un bandeau. J’en suis adepte. 
Je vis et j’assume mes désirs, mes plaisirs, mes vices mais je suis un peu timide, je n’y peux rien ! Et puis on se lâche si facilement avec des inconnus lorsque l’on se cache derrière un bandeau. 

Ils arrivent. Silencieux. Doucement, ils chuchotent. Se dévêtent. Tous mes sens en alerte. J’attends. Sur le grand pouf, offerte, j’attends. Comme un animal, je renifle l’air autour de moi, je cherche l’odeur du mâle. 
« Ils vous dévorent des yeux, ils ne sont là que pour votre plaisir… » 

Une main me cajole la croupe, une autre s’égare sur mon sein. « Bonjour Mademoiselle… » Un doigt fureteur se glisse dans ma moiteur. Surprise ! Je mouille déjà. Un visage se fraie un chemin entre mes jambes, une langue explore mes plis, goûte ma saveur, je m’ouvre un peu plus…

Je gémis doucement.

D’autres mains me caressent, me découvrent. Je les entends qui se branlent face à moi. 

J’avance une main, je tâtonne. J’entrouvre les lèvres et un sexe s’y glissent, je le happe, je le suce, il est épais et me rempli la gorge. La valse commence et d’autres suivent. Douces, parfumées, longues et grosses, fièrement bandées ou encore timidement molles, je m’affaire au plaisir de cette kyrielle de bites. Enserrées entre mes lèvres, excitées par mes soins, j’aspire et mordille et suce encore jusqu’à entendre leurs gémissements, leur souffle plus court… 

Un vit égaré se faufile et me prend. Il s’enfonce dans mon conin baveux. Un instant je m’immobilise. Savoure la lente reptation de ce chibre qui m’écartèle. Soupir. L’homme s’accroche à mes hanches et entame un long va et vient tout en force. Il me laboure, me pistonne. Je me tends vers lui sans lâcher ni des lèvres ni des mains ces sexes affamés de luxure. 
C’est mon cul que l’on pilonne maintenant. Je crie de surprise et de plaisir mêlé… Oui…! Encore et encore ! 
Doucement, tout doucement, un autre me prend et lime mon anneau, il me fourre et me défonce si bien… De plus en plus fort, de plus en plus vite et je connais l’enfer et le paradis !

L’air est lourd des effluves de sexe et de nos sueurs mêlées, le claquement des peaux s’amplifie au rythme des envolés de nos envies, les râles et les soupirs sont assourdissant et exacerbent notre fureur. Tel un tsunami la jouissance se libère en moi, ravageant tout sur son passage. Me laissant sans force, à bout de souffle, heureuse… Et mes amants, surpris.

Ils m’entourent. Je les imagine braquant leurs sexes turgescents vers moi, l’œil unique et larmoyant, prêt à verser des larmes d’extase pour moi. Ils se masturbent encore, je les caresse de la bouche, de la main, je les sens venir et je m‘impatiente… Jouissez pour moi ! Baignez-moi ! 
Ils se répandent sur moi dans un bel ensemble, m’inondent de leur foutre chaud, zèbrent mon corps de leur plaisir. Comme autant d’impacts je les reçois et je devine les rivières de sperme blanc courant sur ma peau noire… Gourmandise délicieuse !

Merci messieurs pour votre délicatesse, pour ce plaisir unique que vous m’avez offert.

Merci Z…