Organisation de Gang Bangs et Soirées Libertines à Paris

 

Mon mari et moi, sommes mariés depuis 7 ans, mais notre union a pris un nouveau départ depuis plusieurs mois.
Quelque fois pour pimenter notre relation, il voulait que je le domine. Ce n’était pas vraiment de la domination car c’est lui qui décidait ce que je devais lui faire, il me manipulait. Notre vie c’est déroulée comme cela de nombreuses années. Puis mon mari a commencé à avoir de plus en plus de mal à me satisfaire. Et l’excuse de ces nombreuses pannes et du refus de mes avances était selon lui, la fatigue et le stress de son travail. Quelques jours après profitant d’une séance de domination soft où il était attaché aux quatre coins du lit ; j’attendis que son excitation soit au maximum pour lui montrer sa nouvelle ceinture de chasteté. Il fut assez surpris et un petit peu inquiet. -« Mais mon chéri c’est seulement pour t’aider à ne plus te masturber. Et de toute façon si jamais tu refuses, tu n’es plus prêt de faire l’amour avec moi. De plus si tu acceptes dans quelques jours on pourra utiliser le deuxième paquet surprise » -« Oh ma chérie, tu ne peux pas me faire cela, j’ai trop envie de toi.» -« Ok comme tu veux, alors bonne nuit. » -« Non attend, je veux bien mais on fixe une limite maxi de 2 semaines car plus je ne pourrai pas. » -« Je ne peux pas te promettre de respecter cette limite mais j’essaierai de ne pas trop abuser, de toute façon c’est pour ton bien. » Tout en reprenant un lent va et vient de ma main sur son sexe, je lui demande de décider rapidement, sinon j’allais bientôt me coucher car je devais me réveiller tôt le lendemain. Et comme prévu il acceptât ma proposition. Je le chevauchais donc, et fit l’amour avec lui. Ensuite je lui nettoyais le sexe avec un gant de toilette, puis je lui installais sa nouvelle ceinture de chasteté en plastique rigide avant de le détacher. Déjà seulement après cinq jours quand je suis rentrée de mon déplacement professionnel, un changement avait déjà commencé à opérer. Tout d’abord il m’a accueillie à la porte au lieu de rester affalé sur le canapé en regardant la télévision sans même un regard pour moi. De plus la maison était un peu près aussi propre que je l’avais laissée ce qui va m’économiser de longue heure de ménage. Et surtout il était très tendre avec moi, très câlin et attentionné. Mais je le voyais venir avec ses grands sabots. -« Oh ces quelques jours sans toi ont été très durs, tu m’as beaucoup manquée,j’ai très envie de toi et j’ai été très sage je mérite que tu m’enlève cette ceinture. » S’il croit que ces cinq jours font suffire à me faire oublier toutes ces branlettes dans mon dos et toutes ces défaillances, c’est vraiment qu’il me prend pour une conne et s’il espère encore me manipuler, il ne va pas être déçu. Evidemment qu’il a été sage, il n’en avait pas le choix. -« Bien sur mon petit coeur je vais t’enlever ta ceinture qui doit maintenant te serrer. Mais avant déshabille-toi, va chercher les menottes et rejoint moi à la salle de bain. » Une fois nu et fermement attaché, je lui ôtais cette ceinture afin de pouvoir lui faire un brin de toilette tout en profitant de lui faire des caresses sensuelles. Une fois que le nettoyage est terminé et que son excitation est à son apogée je prétextais une fatigue soudaine pour lui dire qu’il serait préférable que je lui remette sa ceinture de chasteté. -« Non je t’en supplie ma chérie, tu ne peux pas faire ça, je fais tous ce que tu voudras si tu me laisse jouir. Et puis vu la rigidité de ma bite tu ne pourras pas la remettre. » -« Mais si tu vas voir. » Je partis chercher des glaçons et je lui rafraîchis ces parties. -« Oh comme c’est rigolo, avec le froid ton zizi est tout recroquevillé, on dirait un petit garçon. Tu vois que je peux le remettre facilement dans sa cage. Voilà plus d’érection possible mon petit énuque. » ( Je disais cela tout en tapotant ses bouboules.) -« Allez ne fais pas la tête ce n’est que partie remise et il faut que tu sois encore plus sage pour avoir droit à une gâterie. » Donc après le week-end où il a été au petit soin pour moi, je lui ai préparée une fin de soirée torride. J’ai tout fait pour qu’il soit excité au maximum, je l’ai déshabillée, mis les menottes et continuée à lui faire des caresses sensuelles avec ma main et ma bouche. -« Oh mon chéri, cela longtemps que je ne t’ai pas sentie à l’intérieur de moi et je crois que tu es aussi excité que moi. Je pense que tu va passer une soirée inoubliable. Mais avant tu dois faire un choix entre deux possibilités.» « Choix n°1 : La soirée est finie, et tu remets ta ceinture pour une durée de trois semaines. A la fin de cette période, on pourra reprendre notre ancien train-train et tu seras débarrassé de cette ceinture. » « Choix n°2 : Je te promets que je te viderai les couilles ce soir, mais en contre partie du deviendra mon soumis. Tu porteras ta ceinture continuellement et moi seule pourra décider de ton dégagement. » Comme prévu, il a choisi le choix n°2 ( J’ai juste intensifié mes caresses lorsque je lui ai parlé du deuxième choix). Ensuite je l’ai emmené au salon et fermement attaché à la table. Ventre collé à celle-ci avec ses genoux posés et ficelés sur une chaise afin qu’il ait son petit cul offert, et que son sexe soit accessible au bord de la table.
Puis, je l’ai bâillonné et mis un bandeau sur les yeux. Enfin j’ai pris les glaçons que j’avais préparés et grâce à un sac plastique et un peu de ficelle j’ai pu lui maintenir ses testicules au frais. Une fois que son membre avait perdu un peu de sa superbe, je lui mit tant bien que mal un préservatif maintenu par un bout de scotch. -« J’ai bientôt fini les préparatifs, ne bouge pas je vais chercher le dernier élément qui se trouve dans l’autre paquet que l’on avait reçu la dernière fois. » L’ustensile en question sert à faire un massage de la prostate. Pour tout vous dire cela n’est pas très évident à s’en servir. Même s’il est assez fin et que je l’ai bien lubrifiée, cela ne rentre pas facilement dans les fesses vierges de mon compagnon. Ensuite il m’a fallu de longues minutes avant de découvrir la bonne zone à titiller surtout que le mode d’emploi n’est pas très clair. Mais ce fut une excitation très grande lorsque son sperme commença à remplir le préservatif. -« Voilà mon chéri tes couilles sont vides, moi je suis tellement humide que ma culotte est trempée. Quel dommage que ta queue soit inutilisable car j’ai trop envie de me faire pénétrer.» Je lui retirai quelques instants le bâillon afin de lui introduire dans la bouche le préservatif rempli de sa semence sans lui laisser le temps de protester. -« Tiens cadeau, comme ça te déplaît que je n’aie jamais voulue avaler ton sperme, j’ai pensé que sa te ferait plaisir d’y goûter. C’est toi qui disais que c’était bon et naturel, alors régale-toi. » Je lui mis ma culotte trempée sur la tête afin qu’il puisse remarquer mon degré d’excitation. Le problème c’est que je ne pensais pas que cela m’émoustillerai autant. J’avais vraiment une folle envie de me faire pénétrer, alors je partis à la recherche d’un sexe de substitution. Heureusement j’ai été sauvée par une carotte recouverte d’un préservatif. Depuis j’ai investi dans un vibromasseur afin que ce genre de mésaventure n’arrive plus. -« Je n’ai pas le temps de te détacher tout de suite, car il faut que j’aille me masturber avec une carotte. Mais ne t’inquiet pas, je laisserai la porte de la chambre ouverte pour que tu puisses m’entendre m’amuser toute seule. J’espère que tu commences à regretter tes masturbations en cachette. Tu as intérêt qu’il ne reste plus une seule goutte de sperme dans le préservatif lorsque je reviendrai. » Je dois avouer que je garde un très bon souvenir de cette soirée et que cette petite carotte m’a procurée un orgasme incroyable. Les quelques jours suivants ont été un peu fastidieux car mon mari était un peu pénible et il avait du mal à accepter son nouveau statut de soumis. De plus il n’arrêtait pas de me supplier de le laisser jouir. -« Je te signale que c’est toi qui as voulu commencer à jouer à des jeux de domination. C’est toi également qui à choisi d’être soumis en prenant le choix n°2. Je sais que tu ne pensais pas perdre le controle de la situation, mais ces jeux m’amusent de plus en plus, même si toi tu rigoles un petit peu moins. Donc si tu veux avoir un espoir de me pénétrer un jour, il va falloir que tu sois très très mais alors très gentil. Il faut arrêter de te plaindre que tu ne jouis pas assez. Je m’en contrefous que tu jouisses ou non, ce qui est important c’est que je prenne mon pied. Donc à chaque plainte ou à chaque contestation, je prolonge ta période de chasteté d’une semaine. »
-« Mais, tu ne peux pas faire ... » -« TAIS TOI, laisse moi finir. En plus tu as perdu une bonne occasion de te taire, car tu viens d’allonger ta période d’abstinence. Je vais te rappeler les taches d’un bon petit soumis. Tous d’abord c’est toi qui feras toutes les taches ménagères ( vaisselle, cuisine, le linge, le repassage, les poussières, la serpillière, les poubelles,). Je veux avoir une maison parfaitement entretenu sinon abstinence et punitions. Ensuite je veux être choyée, massages et caresses à volonté. J’ai même acheté une huile de massage relaxante. Comme je n’ai qu’un eunuque à la maison, il va falloir que tu sois performant avec ta langue et tes mains si tu ne veux pas que je te punisse. Si tu es sage, je t’autoriserais peut être à tenir mon vibromasseur pendant que je me masturbe. Ou bien je vais peut être investir dans un gode ceinture que tu pourras utiliser par dessus ta ceinture de chasteté afin de me pénétrer. En contre partie je m’occuperais de l’hygiène de ton sexe et de te traire la prostate si ta période de chasteté est trop longue. As tu bien tout compris ? » -« Oui. » -« Oui qui ? » -« Oui Maîtresse. » -« Allez file, tu as du ménage à faire. » Et voilà, après une bonne explication, tout est rentré dans l’ordre. Cela fait maintenant presque cinq semaines que mon mari porte sa ceinture de chasteté. Il est toujours aussi adorable et attentionné puisque qu’il est en manque. Devant encore m’absenter pendant deux jours pour raison professionnelle et allant être difficilement joignable, je décidais de lui laisser l’enveloppe scellée contenant la clé de sa ceinture. A mon retour, je constatais qu’il avait essayé de me rouler car ce n’était pas la même enveloppe. Ma signature sur le rabat et l’enveloppe était plutôt bien imitée, mais il manquait le cheveu que j’avais caché à l’intérieur. J’étais furieuse, mais il fallait que je garde mon calme afin de trouver une punition appropriée. En effet, on était arrivé à un tournant de notre relation domination/soumission, et je devais trouver une punition assez dure pour lui faire regretter ce qu’il a fait sinon je risquais de perdre toute ma crédibilité. Je l’attendais donc de pied ferme car il était parti faire les courses. -« Bonjour Maîtresse vous m’avez manquée » -« Dépêche toi de ranger les courses, puis déshabille toi car nous allons faire une petite séance de bondage. » Une fois qu’il était bien ficelé à genoux au bord du lit je commençais mon interrogatoire. -« Pourquoi as tu enlevé ta ceinture de chasteté ? » -« Mais, je ne l’ai pas enlevé, d’ailleurs la clé est encore dans l’enveloppe.» -« NE ME PRENDS PAS POUR UNE CONNE, tu aggraves ton cas. Je sais très bien que tu as ouvert l’enveloppe. » -« C’est trop dur, un homme ne peut pas rester aussi longtemps sans jouir.» -« Tu m’as désobéi, tu mérites une bonne fessée. Je vois que l’idée de fessée te fait bander mon cochon. Mais je crois que tu vas déchanter car cela ne va pas être une petite fessée habituelle et je te garantis que ta petite nouille ne va plus être à l’étroit dans sa cage. »
Je l’ai donc bâillonné et j’ai commencé ma punition exemplaire avec des coups de ceinture. Je frappais de toutes mes forces ses fesses qui viraient du rouge au violet. A un moment j’ai vu des larmes sur son visage, et j’ai commencé à avoir pitié de lui car c’était la première fois que je voyais pleurer mon mari. Mais je devais absolument rester ferme si je voulais rester crédible. Une fois que j’étais à bout de force je lui dis : -« Tu vois maintenant ce que c’est une punition, cela n’a rien avoir avec la petite fessée habituelle qui t’excite tant. J’espère que tu as compris la leçon. » -« Oui, Maîtresse ( snif snif) je ne me libérerais plus jamais de ma ceinture sans votre permission. » -« Très bien mon petit eunuque, maintenant je vais te passer un peu de pommade apaisante sur tes fesses, et je vais prolonger un peu cette séance de bondage afin que tu puisses réfléchir calmement à ton statut de soumis.» Finalement cette expérience fut assez concluante, car depuis mon autorité et la docilité de mon soumis ne fait plus aucun doute. -« Alors mon chéri, c’était comment ta journée au boulot après ta petite fessée d’hier soir. » -« j’ai eu du mal à rester assis toute la journée, et mes collèges trouvaient que j’avais une démarche bizarre, alors j’ai du leur raconter que j’étais tombé dans les escaliers. » -« Sinon, j’ai fais quelques emplettes. Comme je sais que tu es un fan de lingerie, j’ai acheté plein de strings. Alors comment tu les trouves.» -« C’est une plaisanterie, ils sont trop larges pour toi. » -« Mais ils sont pour toi, il y en a même un que j’ai pris dans un magasin d’habillement pour femmes fortes. Allez mon chou essaye en un tout de suite.» -« Sur toi les strings c’est super sexy, mais sur moi c’est ridicule. En plus quand je marche la ficelle me rentre dans les fesses et c’est super gênant. » Il fut assez surpris quand je passais derrière lui, et lui remontai à fond le slip pour que celui-ci lui rentra profondément entre ses fesses. -« Et comme ça, il te gêne moins ( ha ha). Je te rappelle que tu es un soumis et que tu ne dois pas discuter mes ordres. De plus je me suis débarrassée de tes autres slips et caleçons. D’ailleurs demain, tu iras au travail avec le string de femme en dentelle. En parlant de dentelle je t’ai également acheté des jolis tabliers blancs. A partir de maintenant ta tenue à la maison quand nous serons seuls, sera seulement un string avec un tablier. Ici, tu es seulement autorisé à faire le ménage, les corvées, t’occuper de moi et me choyer. Si tu n’es pas en train de faire une de ces occupations, tu devras être à genoux ou allongé sur le grand tapis qui se trouve à l’entrée. Est-ce que tout cela est bien clair pour toi. » -« Euh, OUI Maîtresse. » -« J’ai un autre cadeau pour toi, c’est un masque offert par une compagnie aérienne qui permettra de te cacher la vue quand tu devras t’occuper de moi quand je serais un peu dénudée. Je n’ai plus envie que tu me regarde quand je suis nue ou en petite lingerie. Tu ne trouves pas que c’est très excitant de se faire laver et masser par un petit eunuque aveugle et dévoué. Ne t’inquiète pas, si l’envie me prend de vouloir te faire un cadeau, je n’hésiterai pas à te dévoiler un bout de mon anatomie( ah ah). » -« Maîtresse chérie, je ne peux pas me passer de votre corps de rêve. » -« Ne t’inquiète pas, tu pourras le chérir à volonté et ton excellente mémoire devra compenser ce sens en moins. Va à la cuisine chercher de la ficelle assez épaisse, attache-toi
les couilles avec, en laissant une bonne longueur afin que je puisse m’en servir comme laisse. Pendant ce temps là je vais essayer mes nouvelles chaussures. » -« Je suis prêt Maîtresse. » -« Très bien, mets toi à genoux enlève ton string et retourne toi que je puisse voir ton petit cul rouge. Je suis sur que tu aimes mes nouveaux talons aiguilles. Comme tu fantasmais de me voir avec ça, j’ai pris les plus haut possible. Maintenant je vais me reposer un peu sur le canapé et tu vas me servir de repose pieds. » Une fois que j’ai fini de lire mon magazine tout en reposant mes jambes sur le dos de mon mari qui était à quatre pattes ; je récupère la ficelle et commence à tirer dessus tout en mettant le bout de mon talon aiguille au bord de son anus. Le mettant ainsi dans une situation délicate, car il doit choisir entre se faire arracher les couilles ou bien se faire sodomiser par une chaussure. Tout en continuant de faire des à-coups à la ficelle, je décidais de reprendre la discussion. -« Puisque nous sommes bien installés, on va pouvoir discuter un peu. Au fait tu aimes toujours autant les talons hauts (ah ah). Bon restons sérieux, hier je t’ai donné une bonne correction mais je reste déçue par ton comportement. Tu n’as même pas pu tenir deux mois sans te branler. » -« Mais Maîtresse deux mois sans éjaculer, c’est impossible pour un homme.Et au début on avait fixé un maximum de deux semaines. » -« Tout d’abord, c’est moi qui fixe les règles et je peux les changer quand je veux. Ensuite tu n’es plus un homme mais un eunuque soumis. Donc je te propose un petit jeu pour te faire pardonner de t’être libéré sans mon autorisation. Voici un dé, et le numéro que tu feras indiquera le nombre de mois que tu devras attendre avant de me pénétrer. Bien sur d’ici là pas d’éjaculation mais seulement des massages de prostate afin d’éviter les accidents. Tu comprendras également que le chiffre 1 du dé serait une punition trop faible pour un cochon de ton espèce. Donc si par bonheur tu fais un 1 au premier jet, cela sera le chiffre des dizaines et tu lanceras le dé une deuxième fois pour connaître le chiffre des unités. Suis je assez clair mon chou. » -« Oui c’est très clair Maîtresse, mais pouvez avoir la bonté de relâcher un peu la pression sur mes couilles, car cela commence à être très douloureux.» -« Ne t’inquiète pas, la conversation est bientôt finie. Si tu veux avoir une position plus agréable, tu n’as qu’à décontracter tes fesses et la pression sur tes testicules diminuera (ah ah). Avant de lancer ton dé, tu dois savoir que ta pénitence s’allongera à chaque fois que tu ne seras pas un soumis parfait. » Heureusement pour lui qu’il n’a pas fait un 1, il s’en sort plutôt bien avec un 3. Cela fait maintenant presque cinq mois que mon mari n’a pas eu la moindre éjaculation. Je l’ai seulement massé sa prostate quelque fois afin récupérer son abondante liqueur que j’ai congelée au cas où je voudrais l’humilier en le rappelant à son statut de soumis avaleur de foutre. Il est toujours aussi adorable et attentionné puisque qu’il est en manque. C’est vrai que cela ne devait durer que 3 mois, mais à force de prendre des jours ou des semaines supplémentaires, il commence à trouver le temps long et il se tient de plus en plus à carreaux.
Les corvées et le ménage n’ont été qu’une formalité pour lui, je n’ai eu que très peu d’occasion de m’en plaindre. De même que l’attention à mon égard était de tout instant. J’ai vraiment passé des mois formidables, où je me suis fait choyer. C’est maintenant un expert des caresses et des massages. Quand t’a moi, j’ai fait une utilisation intensive du vibromasseur et des cunnilingus. Un rien suffit à son bonheur, quand je le trouve irréprochable, je lui offre des récompenses. Comme par exemple : l’autorisation de tenir le vibromasseur quand je l’utilise, l’autorisation des voir ma poitrine quelques instants ou bien le laisser une nuit avec l’autorisation de bander (je lui enlève sa ceinture, mais je l’attache avec des anneaux en cuir bloqués avec des cadenas. Ses mains étant reliées au cou, et ses pieds au lit, cela lui laisse un peu d’aise pour dormir tout en l’empêchant de faire des bêtises.). J’ai également remarqué, qu’il était plus productif de le branler souvent en le laissant au bord de l’orgasme. Je trouve cela très excitant quand j’arrive quelques fois à voir sortir quelque goutte de liquide pré orgasmique. Bien sur plus la masturbation est intensive plus il faut augmenter le rythme des massages de prostate afin d’empêcher les accidents. Non, le plus difficile pour lui à été de tenir son régime et son attitude de macho en public. En effet je lui ai concocté un petit régime où il devait perdre progressivement quelques grammes par semaine. Au début j’ai dû augmenter ses jours d’abstinence, mais maintenant il a commencé à perdre son ventre qui m’horripilait. Sa plus grosse punition à été deux semaines supplémentaires pour avoir manqué de gentillesse à mon égard et d’avoir une attitude de macho lors d’un repas entre amis. En rentrant de la soirée, je lui ai donc demandé de se déshabiller, je lui ai attaché les mains dans le dos, enlevé sa ceinture de chasteté et mis à peu près à quarte pattes ( c’est à dire à genoux, les jambes légèrement écartées avec le torse sur un tabouret). -« Mon pauvre petit eunuque te souviens tu de la sensation d’être en moi, cela fait combien de temps que tu ne m’as pas pénétrée, j’ai bien envie de te laisser encore de nombreuses semaines comme cela. En effet j’ai été très déçue de ton attitude de ce soir. » -« Je vous demande pardon Maîtresse, et cela ne se reproduira plus. » -« Tais toi, tu aggraves ton cas, car tu sais très bien que je n’aime pas être interrompue quand je parle. Je disais donc, que tant que tu n’auras pas une attitude plus respectable, il est hors de question qu’on fasse l’amour. Je vais être gentille pour une fois et aujourd’hui tu n’auras que deux semaines supplémentaires. » Tout en disant cela, je passais derrière lui et lui mis un bon coup de pieds dans les parties. C’est hilarant de le voir se tortiller puis bizarrement depuis l’envie de se montrer comme un macho lui est passé. Un autre point que je n’aimais pas dans les anciennes habitudes de mon mari, c’était qu’il était continuellement affalé devant la télévision. J’ai donc fixé une règle très simple pour l’aider à utiliser modérément la télé. Tout d’abord il doit regarder l’émission qu’il souhaite debout en faisant le repassage. Et à chaque émission qu’il regarde, il a une punition qui augmente d’une semaine à chaque fois. C’est à dire 1 émission = 1 semaine supplémentaire, 2 émissions = 2 semaines supplémentaires, etc…Curieusement au bout de deux matchs de foot et donc de 3 semaines supplémentaires, il a préféré de lui même ne plus regarder la télévision.
Sinon, j’essaie de trouver d’autres idées sur internet afin d’humilier mon mari. J’aime bien le voir faire le ménage en string avec son tablier en dentelle, et quelques fois je l’attache au manche du balai afin de lui maintenir les jambes attachées. J’aime également le fouetter avec des orties fraîches et tout spécialement sur ses fesses et sur ses testicules. Le soir, s’il ne lui reste plus de ménage à faire et que je souhaite faire une petite soirée entre copines ; Je l’attache tout simplement à une chaise afin qu’il puisse m’attendre tranquillement ( c’est bien lui qui au départ voulait m’initier au bondage). Mais bien sur pour la sécurité, il y a toujours un moyen pour lui de se détacher rapidement en cas de force majeur. Sois je pose une paire de ciseau sous ses fesses et je m’assure qu’il puisse l’atteindre en cas de besoin. Ou bien je réalise certaine partie du bondage avec du fil beaucoup plus fin (fil à couture par exemple) qu’il peut facilement casser en cas de nécessiter. Ce qui est important ce n’est pas qu’il ne puisse pas se détacher, mais qu’il ne puisse pas se détacher sans que je ne m’en aperçoive. Finalement le grand jour arriva. -« Ce soir mon chou, si d’ici là tu ne fais pas de bêtises, tu auras le suprême honneur que je t’autorise à me pénétrer avec ta petite bite minuscule.En plus l’idée de me faire un petit soumis, qui n’a pas joui depuis aussi longtemps m’excite tellement que je vais sûrement t’autoriser à me regarder toute nue. J’espère seulement que le fait de revoir mon corps déshabillé et le fait que ton dernier massage de prostate date de quelques temps déjà, ne va pas t’empêcher d’être à la hauteur. » -« Je ferais tout pour vous satisfaire Maîtresse adorée. » Donc le soir même, il m’avait organisé un repas superbe qu’il m’avait servi comme d’habitude avec son petit tablier en dentelle. Il était très tendre et très attentionné. Une fois qu’il eut fini la vaisselle, je l’invitais à me rejoindre dans la chambre. Quand il fut nu et fermement attaché aux quatre coins du lit, je le bâillonnais et lui enlevais sa ceinture de chasteté. Après le brin de toilette habituelle, je commençais à titiller son membre inutilisé depuis très longtemps. J’étais toute humide, car même si j’adore les cunnilingus et utiliser mon vibromasseur, rien ne remplace une bonne queue. A voir son excitation et la rigidité de son sexe, je crois que je vais bien pouvoir m’amuser. Je sortis donc le tube de crème que j’avais achetée à la pharmacie dont je badigeonnais copieusement son sexe malgré la notice d’utilisation qui préconisait de ne pas en mettre plus d’une noisette. Je complétais mon oeuvre en le recouvrant d’un préservatif. Une fois ces préliminaires effectués, je pouvais finalement m’installer sur son membre en érection. Moi qui avais toujours un peu de mal à me faire pénétrer au début, cette fois ci, il est rentré en moi avec une incroyable facilité tellement mon excitation était grande. -« Chose promis, chose du. Tu peux finalement me pénétrer. Ooh j’adore ça, me faire défoncer ma petite chatte. Tu as vu, je mets tellement de coeur à faire des va et vient que mes seins remuent dans tous les sens. Ma poitrine ne t’a pas trop manqué pendant ces quelques mois. Mais mon chou, on dirait que tu n’es plus content. Au fait, j’ai oublié de te dire, la crème est destinée aux éjaculateurs précoces, mais je crois que j’ai un peu trop forcée sur la dose et ton membre risque d’être relativement insensible pendant un certain temps (ah ah). Ne t’inquiète pas, moi je m’amuse comme une folle, et arrête de faire cette là car c’est toi au départ qui voulait être soumis. Trêve de bavardage, il faut que je profite de ta queue car je n’ai pas eu l’occasion souvent de la voir aussi rigide.»
De toute ma vie, ce fut l’orgasme le plus incroyable et le plus intense que je n’ai jamais eue. Je ne soupçonnais même pas que cela pouvait exister. Le fait de le dominer de cette manière était un aphrodisiaque très puissant. De plus c’est très excitant d’être sur un mâle utilisé en tant qu’objet sexuel et qui n’a pas la possibilité d’avoir du plaisir surtout si celui ci à été frustré pendant une longue période. Cela le rend beaucoup plus attentif au plaisir de la femme. Je conseille vivement cette expérience aux femmes qui ont envie de connaître des plaisirs intenses. Je l’ai laissé un bon moment attacher sur le lit avec le sexe bien raide pour qu’il puisse méditer à son statut de soumis. Et j’ai fini cette folle soirée par un bon massage de sa prostate. Mon petit eunuque était au bord des larmes lorsque je lui ai remis sa ceinture de chasteté. Cela fait maintenant plus d’un an que je contrôle la vie sexuelle de mon mari, et tout va pour le mieux. C’est maintenant un soumis parfait qui m’obéit au doigt et a l’oeil. Il est toujours là pour s’occuper de moi, il est prévenant et attentifs à mes désirs. Il est également très heureux et sait que son plaisir n’a aucune importance pas rapport au mien. J’ai de moins en moins l’occasion de le corriger, et de plus en plus l’occasion de le récompenser en lui offrant la vision d’une partie de mon corps dénudé. Malgré cette période de tranquillité j’ai quand même dû à une reprise lui donner une punition exemplaire qui selon lui à été la plus terrible de sa vie. Pour qu’une punition soit cruelle il ne suffit pas de taper suffisamment fort, il vaut mieux bien connaître la personne et savoir de quoi elle à peur, ce qu’elle déteste et ce qu’elle n’aime pas faire. C’est à dire connaître tous ses points faibles afin de pouvoir les utiliser contre lui. Des humiliations psychologiques peuvent être bien plus douloureuses que des punitions musclées. Moi, le points faible de mon mari, c’est qu’il est très jaloux et cela me fut d’une grande utilité afin de le punir d’avoir oser élevé outrageusement la voix contre moi. Tout se passa pendant les deux semaines de vacances que l’on passa dans le sud de la France. Le fait que j’avais proposé à une de mes copines de nous accompagner avait déplu à mon mari qui aurait souhaité que l’on passe des vacances en amoureux. De plus il ne pouvait pas la supporter. Il trouve que c’est une pétasse et une nymphomane qui adore collectionner les conquêtes. Il ne voit vraiment pas pourquoi je m’entends si bien avec elle. Après une bonne journée à la plage, ma copine le soir au resto, nous propose d’allez finir la soirée en boite. Et c’est à ce moment là que j’ai eu mon idée de punition. -« Oh oui, c’est une excellente idée, mais comme Franck est un peu fatigué, je vais le raccompagner à l’hôtel et je te rejoins dès que je me suis changée.» Il faut préciser que mon mari à horreur de danser, et qu’avant cela il ne m’avait jamais donné l’autorisation d’allez danser sans lui. Il était chou avec son air inquiet. Une fois dans la chambre d’hôtel, je commence à l’attacher nu sur une chaise. -« Comme d’habitude, tu n’as pas intérêt à bouger avant mon retour. » -« S’il vous plait Maîtresse, laissez moi venir avec vous, je ferais tout ce que vous voudrez. »
-« Tu n’aimes pas danser et tu risques de me gâcher la soirée. Je trouve cela très excitant de m’amuser en sachant que tu es saucissonné. » Une fois qu’il est bien immobilisé, je vais à la salle de bain afin de mettre une tenue ultra provocante que j’utilise que dans l’intimité. De même je force sur le maquillage et je mets mes talons aiguilles les plus hauts. Ensuite je me masturbe à travers ma culotte jusqu'à elle soit très humide et pars retourner voir mon soumis. -« Alors mon chou, comment me trouves tu ?, Es que ma tenue te plait ?. Cela ne fait t il pas un peu trop pour sortir en boîte ? » Il me répondit avec les yeux exorbités : -« MAIS, tu ne peux pas sortir dans la rue comme ça, il va y avoir une émeute dans la boite. Tous les branleurs du coin vont te draguer. » -« Tu as raison, il faut que je modifie un peu ma tenue. » J’enlevais donc ma culotte, et lui mis dans la bouche. Je le bâillonnais rapidement avec un bas avant qu’il ait eu le temps de protester. Je lui bandais également les yeux et lui caressait ses testicules pour qu'il se sente à l’étroit dans sa ceinture de chasteté. -« Je ne sais pas si c’est la chaleur, mais ces quelques jours à la plage m’ont toute émoustillée. En plus le fait de ne pas avoir eu une bonne queue à l’intérieur depuis longtemps me manque terriblement. Je te promets d’essayer de ne pas trop boire, car tu sais bien que si je bois quelques gouttes d’alcool, j’ai beaucoup de mal à me contrôler, et cela enlève toutes mes inhibitions. Ce serait dommage que tu sois un cocu soumis ce soir (ah ah).» Sur ce, je lui mets des boules Quies dans les oreilles, et je vérifie qu’il ne peut rien voir et rien entendre. Ensuite je lui fais un bisou sur le front en faisant semblant de partir. Je me change avec une tenue plus raisonnable et je rejoins ma copine pour qu’on aille se défouler sur la piste de danse. En rentrant, je le détachais et l’installa près du radiateur de la salle de bain avec un cadenas et une laisse suffisant longue pour qu’il puisse utiliser les toilettes. -« Avant que je te remette tes boules Quies, je voudrais te dire de ne pas profiter de mon extrême bonté. Ce n’est pas parce que je te laisse tes mains détachées que tu dois faire des bêtises. Donc tu garderas les boules Quies, le baillon, ma culotte et le bandeau toute la nuit. Prends cette couverture car sinon tu vas attraper froid tout nu sur le carrelage. Sinon moi, j’ai passé jusqu’ici une superbe bonne soirée. Qu’est ce que les gens de la région sont chaleureux. Excuse moi de te faire dormir là mais j’ai besoin du grand lit. » Ensuite je lui ai fait un bisou sur le front. Je lui ai enlevé sa ceinture et je lui ai mis un grand coup de pieds dans les couilles. Une fois qu’il a arrêté de se tortiller, je lui ai remis sa ceinture de chasteté et je suis partie dormir. C’est seulement le lendemain que je lui ai révélé la supercherie, il s’est jeté à mes pieds en me remerciant d’être une bonne maîtresse et compagne. Sinon à part cette situation qui a été très éprouvante pour lui, il semble plutôt satisfait de son sort de soumis. Maintenant de temps en temps je le laisse me pénétrer même s’il n’a pas encore le droit de jouir. Soit j’utilise ma crème miracle pour les éjaculateurs précoce, mais il y a toujours l’inconvénient du préservatif. Soit je le laisse venir comme cela mais il
doit me demander la permission avant de pouvoir jouir. A chaque fois que j’utilise cette méthode, j’ai effectué un massage de sa prostate peu de temps avant afin d’éviter les accidents. Les règles sont simples, il ne peut me demander cela qu’une seule fois lors du rapport afin d’éviter les jérémiades. Si je ne réponds pas où si je n’ai pas entendu, la réponse sera considérer comme négative. Bien entendu, au vu de sa situation de soumis, il serait très mal perçu qu’il demande de jouir si sa Maîtresse n’a pas déjà eu son orgasme. Si le soumis demande plus d’une fois, ou s’il demande avant que sa Maîtresse n’ait fini, sa punition sera d’un grand coup de pieds dans ses parties. Au début il y a eu de nombreux rapports interrompus, et j’ai du finir à l’aide de sa langue ou de mon vibromasseur. Mais il a rapidement compris que c’est seulement s’il allongeait les préliminaires, qu’il aurait une chance que je finisse avant lui. Ce n’était pas évident pour lui, car après tant de sevrage il était très difficile de se contrôler. La première fois qu’il réussit à me faire jouir de cette façon, ce fut dans la position de la levrette. -« Maîtresssee adorée, est ce que ton humble soumis peut jouir ? » -« Bien sur que NON, allez retire moi ton sexe de là. » -« Pourquoi Maîtresse, ce n’est pas juste. » -« Pas de jérémiades, sinon tu risques d’avoir un bon coup de pieds où je pense. Ce n’est pas parce que tu as fais des progrès et que tu es devenu un amant performant que tu dois te permette d’oublier ton rôle de soumis. Cela compense seulement le nombre de fois que tu as joui sans que j’aie terminé pendant toutes nos années de mariage. » Il y a quelque jours je l’ai finalement laissé jouir, lors d’une partie de jambes en l’air mémorable. Pour lui ce fut un moment merveilleux et son orgasme le plus intense qu’il ait eu. Quant à moi, le seul fait de sentir ce liquide chaud à l’intérieur de moi, m’a provoqué un deuxième orgasme de suite. Il m’avoua que tout ceci valait largement tous les supplices que je lui avais fait subir. Pour cette occasion spéciale, j’ouvris une bouteille de champagne pour moi, et lui décongelait pour lui sa petite bouteille qui contenant plus d’un an de son sperme que j’avais précieusement gardé lors de tous ses massages de prostate. Il porta un toast pour sa Maîtresse et épouse adorée, tout en avalant d’un trait sa précieuse liqueur. Je pense que maintenant, il a perdu sa mauvaise habitude de se branler, et j’envisage peut être de lui enlever progressivement sa ceinture de chasteté. Nous sommes toujours aussi complices et amoureux qu’au premier jour. Je suis fière et heureuse d’avoir un mari aussi parfait. Le seul problème, c’est que mes amies sont un peu jalouses, et qu’elles ne comprennent pas pourquoi Franck a autant changé durant cette année. C’est vrai que maintenant il n’a plus les mêmes attitudes de macho qu’avant et qu’il est très serviable. En plus maintenant qu’il a retrouvé la ligne, il est encore plus sexy.
Lun 15 oct 2012 1 commentaire

ce recit est celui d'un grand ou d'une grande malade etc ertainement faux, ce sontd es fantasmes d'un branleur ou d'une branleuse en train de se palucher de la main gauche tout en tapant d'un doigt de la main droite sur l'ordinateur

ce n'est meme pas vraisemblabe ni excitant

jacky - le 05/08/2015 à 18h44