Lundi 4 février 1 04 /02 /Fév 12:09

Amateurs et amatrices de jeux fétish, n'hésitez pas à faire un tour à la croisière élastique. Références des nuits fétish depuis pas mal d'années.

J'ai eu le plaisir de dîner récemment avec Francis, l'organisateur. C'est quelque chose à vivre au moins une fois dans sa vie.

Vous trouverez tous les détails là : http://www.nuit-elastique.com/site/attention-notre-prochaine-soiree-sera-e-nor-me/

ou en cliquant sur le flyer.

Amusez-vous bien

Z.

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Publié dans : Présentation - Par Z.
Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 11:08

Hello.

Enfin Janvier est fini. De mémoire de Z, depuis le début de notre aventure, je n'ai connu de mois aussi terrible. Entre les maladies, les annulations et les intempéries, ce fût catastrophique en terme d'organisations.

Mais comme à chaque malheur, quelque chose est bon, cela m'a permit de roder 2/3 concepts auxquels je pense souvent ces derniers temps.

Je vous en reparlerai très prochainement.

Voici l'agenda de la semaine prochaine, encore une fois, il fait la part belle aux après-midi, mais aussi une belle soirée en perspective Vendredi prochain avec une dizaine de couples et 20 hommes sélectionnés dans un ancien nouveau lieu (je me comprends).

Bonne semaine à toutes et à tous.

Z.

 

Mardi 5 Février

12h30

Pantin.

La belle Théodora, que nous avons vu il y a peu dans une belle limousine dans les beaux quartiers souhaite nous revoir. Seule comme à son habitude, pour un gang bang hard et faisant la part belle aux jeux sodomites. La Miss avouant un faible pour cette pratique de roué (Sade, la Philosophie dans le Boudoir, je vous le conseille, à lire d'une main).

gb barbara

 

Jeudi 7 Février

12h

Pantin

Enfin, nous recevrons Layla pour fêter dignement son anniversaire. Suite à la tempête de neige de la dernière fois, ce gangbang n'a pu avoir lieu.

Voilà qui sera réparé.

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Samedi 9 Février

21h30

Paris Xeme (Attention, dur de trouver une place rapidement dans ce quartier).

 

Petite soirée multicouples organisée en l'honneur d'une copine venant de St Martin.

10 couples  et 20 messieurs sélectionnés pour une soirée toute simple, sans thème particulier si ce n'est s'amuser toute la nuit.

 

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Vendredi 1 février 5 01 /02 /Fév 12:39

Je ne résiste pas à la tentation de vous parler de notre prochain concept de soirées.

Juste quelques indices, il me reste 3/4 trucs à gérer en amont. Patience, c'est pour le Printemps.

redalert

 

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Publié dans : Soirées - Par Z.
Vendredi 1 février 5 01 /02 /Fév 12:12

Vendredi 1er Février

17h

Pantin

 

La sublime Louna sera parmi nous, en direct du Nord, pour un bukkake qu'elle souhaite bien spermeux et bien crémeux.

Soumise Louna, venue pour le week end adore obeïr aux hommes et les regarder dans les yeux lorsque elle les suce à fond.

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Publié dans : Bukkake - Par Z.
Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 19:35

Bonne Lecture là aussi.

 

"Le jardin parfumé (Kamasutra arabe) - Cheikh Omar Ben Mohamed

Nafzaoui

 

Extraits

 

"Les Manières de Conjoindre

 

Apprends ô vizir – que Dieu te prenne en sa miséricorde – qu’avant de conjoindre, lorsque tu en

sentiras le désir, tu t’oindras de parfums, et ta partenaire aussi, puis vous badinerez tous les deux de

toutes les façons possibles, celles capables de susciter des sensations agréables, comme les baisers,

les morsures, la succion, l’humectage, l’embrassement, la pression, afin que la femme se sente

portée naturellement et avec agrément à la conjonction. Puis, après l’avoir serrée sur ta poitrine, tu

l’étendras sur le sol, l’embrassant sur la bouche. Tu feras varier à ce moment les jeux d’amour,

chevauchant sur ses cuisses, sur les sommets de ses fesses, baisant sa touffe, secouant le sommet de

ton instrument entre les deux lèvres de sa partie chaude, montant sur sa poitrine, palpant ses deux

seins, embrassant la bordure inférieure du menton et la pente qui descend jusqu’à la gorge,

appliquant tes mains sur ses hanches et ses flancs. Tu multiplieras ces procédés plaisants jusqu’à ce

qu’elle devienne malléable entre tes mains.

 

Quand tu la verra dans cet état, tu planteras ton instrument en elle avec force jusqu’à ce que sa

touffe et la tienne se rencontrent. Tu le frotteras contre les parois internes d’une façon parfaite. Cela

fait, vos deux plaisirs arriveront à point en même temps. Au cours de l’opération, tu n’oublieras pas

les trémoussements, la manipulation, les tapes, les coups de bélier, les échanges entre vous de

paroles douces, de ronflements, de ronronnements, de râles, de cris tels que “ Donne ” et “ Prends ”,

de succion des lèvres, de baisers sur les sommets des joues. Si vous n’agissez pas ainsi, la femme

n’aura pas ce qu’elle désire, n’atteindra pas son but, n’obtiendra pas son plaisir, et l’homme laissera

chez elle une impression désagréable.

 

Quand tu auras obtenu la satisfaction de ton besoin, tu presseras l’instrument entre ses cuisses, à

l’intérieur de l’appareil, et tu l’inviteras à les réunir sur lui afin de serrer de toutes ses forces. Il

sortira alors par un conduit étroit, et sa tête fera entendre une sorte de glouglou dans la partie

chaude féminine, bruit que vous aurez plaisir à entendre tous les deux.

 

Tu descendras de sa poitrine du côté droit, par rapport à elle : si la femme conçoit cette nuit-là,

l’embryon sera un garçon – avec la permission de Dieu. C’est en tout cas ce que les hommes versés

dans la science religieuse ont mentionné – que Dieu les prenne en son agrément. D’autres ont dit

que celui qui conjoint sa femme et la rend enceinte, s’il veut qu’il mette au monde un garçon, qu’il

pose sa main sur le ventre de son épouse et dise : “ au nom de Dieu, le Clément, le Maître de

miséricorde ! ” ; qu’il bénisse l’envoyé de Dieu – que le salut et la bénédiction de Dieu soient sur

lui – puis prononce les paroles suivantes : “ Ô Dieu, notre Dieu, crée cet enfant sous une forme

mâle et je lui donnerai le nom de ton Prophète – que le salut et la bénédiction de Dieu soit sur lui. ”

Son intention sera exaucée et le Dieu Très-Haut, s’Il le veut, créera cet enfant sous la forme mâle,

mettant en œuvre sa miséricorde et sa bénédiction.

 

Quand tu auras fini de conjoindre, ne bois pas de l’eau jusqu’à satiété, car cela relâche le cœur. Si tu

veux recommencer l’opération, faites vos ablutions tous les deux auparavant, c’est un principe

excellent. Ne laisse pas la femme se mettre sur toi, car je crains que son eau ne te soit nuisible pour

peu qu’elle entre dans ton canal urinaire : cette recommandation est faite par les médecins. Cette

position, à savoir la montée de la femme et son chevauchement sur l’instrument dressé, est

considérée par les amantes comme une faveur qui étanche leur soif de plaisir : elles éprouvent

beaucoup de joie à s’élever et à redescendre ainsi. Prends garde à ce que leur eau ne sourde sur toi

en cette position.

 

Évite aussi de faire beaucoup de mouvements après la conjonction : on dit que cela est détestable.

On aimera, par contre, rester dans la quiétude durant une heure. Quand le sexe sort de l’huis, ne le

lave pas avant qu’il ne se calme un peu. Dès qu’il sera bien reposé, lave son œil doucement, mais

pas à grande eau. En le sortant à la fin de la conjonction, quand tu te sépare de la femme, ne le frotte

pas en faisant sa toilette, car cela occasionne une rougeur de la peau qui reste en permanence.

 

L’opération elle-même de la conjonction se fait de beaucoup de manières, avec des jeux d’amour à

foison. On ne peut les recenser d’une façon complète. Tout cela – que Dieu en soit loué ! – est licite

avec l’épouse et il n’y a pas de mal à le faire, excepté ce qui ne correspond pas volontairement à la

nature même de l’instrument, en ne permettant pas la fécondation. Si tu veux, tu peux conjoindre ta

femme en faisant face à tous les côtés de son corps : à son dos, à son ventre, à l’un ou l’autre de ses

flancs. Elle sera debout, assise sur son fondement, dans la position de l’agenouillement ou de la

prosternation… ou dans toute autre position où il t’apparaîtra convenable ou possible de loger ton

instrument à l’intérieur de son huis, d’y prendre plaisir et d’y prolonger ta jouissance."

 

"Si tu veux, tu lui demanderas de s’étendre sur le dos et de placer ses deux jambes sur tes deux

épaules. Ou bien de se mettre la face contre terre : dans ce cas, après avoir fiché ton instrument dans

sa partie chaude, tu monteras et descendras sur ses fesses, opération considérée comme des plus

savoureuses, et qui accélère le venue de l’eau. Si tu veux lui sensibiliser les cuisses, sans faire entrer

ton instrument dans son huis, monte sur ses deux fesses après avoir placé l’un sur l’autre ses pieds

et serré ses cuisses sur l’instrument. Celui-ci sera ainsi en mesure de se frotter contre l’espace situé

entre les deux lèvres de l’huis et ce frottement sur la porte de la partie chaude t’épargnera la

nécessité de la pénétration. Toute méthode, toute variation emploiera en outre : la montée et la

descente, le frottement, le pilonnage, le polissage, l’ébranlement, le ronflement, le ronronnement,

l’embrassement, la pression, la succion, le mouillage dans l’huis, l’escalade des fesses, la palpation

des seins, le baisement de la touffe.

 

Conjoins-la comme tu voudras dans toutes les plis de son corps, comme tu voudras dans n’importe

quel endroit de celui-ci, excepté dans l’arrière du fondement. Toute opération en ce domaine, tu

l’accompagneras de badinage, de tapotements sur la terrasse de l’huis et sur le haut des fesses. Tout

ce que tu aimeras faire avec ton épouse, tu le réaliseras. Si tu ne peux t’établir solidement dans

l’huis, place un coussin sous les deux cuisses de ta partenaire, et frappe jusqu’à ce que te réponde le

toit de l’appareil."

 

"Parmi les façons de conjoindre les plus appréciées et les mieux au point, on trouve celles-ci :

 

Tu te glisseras entre ses cuisses et tu ficheras l’instrument dans l’huis jusqu’à ce que se rejoignent

les deux touffes. Alors tu donneras des tapes, tu descendras, tu l’agiteras dans son ventre à droite et

à gauche jusqu’à ce que votre plaisir à tous deux arrive en même temps.

 

Tu pourras aussi agir de même dans la partie chaude de ta partenaire allongée, la face contre terre :

on appelle cela « le séjour agréable sur le sommet des fesses ». Et pour toi, ce sera vraiment un

moment de bien-être.

 

Une autre position : tu étendras la femme sur le sol, la face vers toi, tu l’introduiras entre ses

cuisses, tu placeras sa jambe droite sur ton épaule, et sa jambe gauche sous ton aisselle ; cela fait, tu

ficheras ton instrument en elle.

 

Une autre position encore : tu lèveras ses deux pieds que tu placeras sur tes deux épaules, après

avoir mis un coussin sous ses deux fesses ; tu le ficheras en elle, en obtenant une grande

satisfaction, le coup étant appliqué sur l’endroit qu’il faut, la partie compatissante se trouvant prête

 

à recevoir le jet viril.

 

Une autre position encore : tu étendras la femme sur le dos et tu mettras l’une de ses jambes sur ton

épaule ; l’autre jambe sera libre de retomber à sa guise sur le sol. Tu ficheras alors ton instrument

dans sa partie chaude."

 

Il existe bien d’autre positions mais il me faut abréger. Quelque soit le chemin que tu prennes pour

arriver à la jouissance et au plaisir par le pilonnage, le tapotage sur l’huis, la rencontre des deux

touffes et tous les moyens employés pour approvisionner la sensation, les joies les plus savoureuses

se trouvent réunis dans l’opération de la conjonction, de l’enfournement. Tout cela, bien sûr, après

le badinage, les baisers sur le sommet des deux joues et sur le reste du visage, la succion de la

bouche, la palpation des seins, l’embrassement de la poitrine, du cou, de la bouche, la pression

légère, le chevauchement de la croupe, des ravissantes cuisses, la pâture menée partout sur ce beau

corps tendre et bien nourri, les baisers déposés sur la terrasse d’un kouss gras et lisse, les coups de

dents qui lui sont portés, le polissage de la partie supérieure des fesses, le grattage de la tête de

l’instrument sur les deux lèvres de la partie chaude, les paroles savoureuses qui excitent, tel ce cris

de la femme : « Prends ma partie chaude, elle fait partie de tes meubles ! », et la réponse de

l’homme : « Prends l’instrument, car c’est ton bouchon », ou cette injonction de la femme : «

Frappe avec ton instrument ce kouss qui t’appartient, plonge-le jusqu’au fond de mon réduit et

n’oublie pas de fureter dans tous les coins », enfin le ronflement, le ronronnement, le râle, le

bruissement des deux touffes..."

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Publié dans : Histoires - Par Z.
Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 19:13

Tout simplement magnifique.

Si comme moi, vous intéressez au libertinage, aussi bien côté scène que côté coulisses, je vous invite à visiter ce blog tenu par des gens fantastiques (je ne les connais pas.. enfin, pas encore).

Visitez ce blog et laissez leur des commentaires, ils le méritent assurément.

Z.

 

http://weblibertin.wordpress.com/

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Publié dans : Présentation - Par Z.
Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 16:14

En ces temps de grisaille où nous sommes tous plus ou moins downs, une forte envie d'escapade, d'évasion, de changement d'air nous titille tous... plus ou moins.

Ce billet est dédicacée à la Séverine (the Voice) et son chéri JeanMi.

Il parait qu'une Harley est habitée, même à l'arret.

 

Ma chérie et moi attendons impatiemment les beaux jours pour organiser une soirée où toutes les femmes viendront non pas en bus discothèque mais escortée par un club moto de la région parisienne..

Imaginez une arrivée pétaradante (pour amateurs de Fluide Glacial) avec des fous de motos :)

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La moto qu'enfourche ce salaud de Brad est une Royal Enfield.

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Publié dans : Présentation - Par Z.
Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 16:06

Pour une raison que j'ignore, les sms que j'envoie ne passent pas.

David, Phil (taxi), Christophe ainsi que tous les autres.

Vous êtes les bienvenus Vendredi et Samedi après-midi.

Au pire, si vous avez un doute, appelez moi au 06.58.29.97.49

Merci

 

Ps : J'ai reçu un sms concernant ma recherche de quatuor et d'orchestre de chambre pour une soirée au Château. Si cette personne pouvait m'appeler ce serait super.

 

Z.

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Par Z.
Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 06:44

Hello à toutes et à tous.

N'ayant plus de nouvelles d'Izumi, il est préférable de ne pas vous déranger. Le Gangbangshards était complet depuis la semaine dernière. J'en suis désolé les gars, ce n'est pas de mon fait. Ce sont ce qu'on appelle les aléas de l'organisation (mais c'est quand même hyper passionnant croyez pas).

 

 

Bien à vous tous.

Rendez-vous demain à 17h à Pantin pour le bukkake de la belle Louna.

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Publié dans : Humeur du moment - Par Z.
Mercredi 30 janvier 3 30 /01 /Jan 19:06

Sur le chemin du retour, Caroline est partagée entre une grande satisfaction et une certaine gêne. Une grande satisfaction, parce qu’elle a éprouvé un plaisir intense avec ces deux femmes, et une certaine gêne, car elle se rend compte qu’elle n’a pas hésité l’ombre d’un instant à faire l’amour avec une parfaite inconnue et une soubrette.


Elle contemple sa servante épuisée qui s’est assoupie sur le banc de la calèche. Elle est jeune et jolie et doit faire tourner bien des têtes. Le fait qu’elle semble tomber amoureuse d’elle la trouble beaucoup.


Le cocher mène la calèche aux écuries. Elodie se réveille, sourit à sa maîtresse. Les deux femmes descendent. En regagnant la maison, Caroline est saisie par l’odeur de cuir intense qui règne dans la pièce où on entrepose le harnachement. Elle regarde toutes ces selles luisantes, ces harnais, ces lanières… qui lui rappellent l’objet qu’elles ont porté chez Madame de Marans.


Le soir va bientôt tomber. Comme convenu, Caroline va porter à sa mère la lettre que Madame de Marans a rédigée après leurs ébats, et qu’elle lui a confiée cachetée. Elle donnerait cher pour savoir ce qu’elle contient, mais sa mère se contente de sourire après l’avoir lue, sans lui en dévoiler le contenu. Elles descendent à la salle à manger, où Elodie leur sert le dîner. Le repas est exquis et raffiné. Nulle comparaison avec la cuisine saine mais simple qu’on sert en Bretagne.


Après le dîner, Caroline suit sa mère dans le petit salon, où elles peuvent, pour la première fois depuis son arrivée, échanger les nouvelles. Caroline lui conte tous les petits événements qui ont émaillé sa vie à Rennes : le mariage d’une des servantes de la maison, l’arrivée d’un nouveau prêtre, les fêtes publiques ou privées. Sa mère lui raconte la vie à Paris, les fastes de la Cour, les mondanités. Epuisée par sa folle journée, Caroline peine à garder les yeux ouverts. Sa mère l’informe que le lendemain, elles se rendront à Versailles, et qu’elle doit se reposer pour être fraîche. Puis elle la laisse rejoindre sa chambre.


En chemin, Caroline se demande quelles relations sa mère entretient avec Madame de Marans. Elles se connaissent bien, elles sont sans aucun doute amantes et couchent ensemble. La nature du colis ne laisse que peu de doute sur l’intimité entre les deux femmes. Elle se souvient aussi que Madame de Marans connaît bien Elodie, et a déjà couché avec elle. Ont-elles l’habitude des parties triangulaires ?


À peine a-t-elle rejoint sa chambre que quelqu’un frappe doucement à la porte. C’est Elodie.


  • — Ah, Maîtresse, je vous guettais.
  • — Elodie, tu exagères. Ne crois-tu pas qu’il soit l’heure de se coucher ?
  • — Si fait. C’est pour cela que je suis là.
  • — Allons, sois raisonnable, laisse-moi dormir, rejoins ta chambre !
  • — Cela ne vous intéresse donc pas, de savoir ce que Madame de Marans a écrit à votre mère ?
  • — Quoi, tu sais ce qu’elle a écrit ? Tu as vu la lettre ?
  • — Non seulement je l’ai vue, mais je l’ai prise !
  • — Où est-elle ?
  • — À vous de chercher !
  • — Donne-la-moi.
  • — Venez la prendre !
  • — Allons, arrête, petite vicieuse, où est-elle ?
  • — Je la garde bien enfouie dans mon corsage, entre mes seins. Vous la voulez ?

Elodie lui sourit. Son regard pétille de malice. Elle est décidément très friponne, mais comment lui résister ? Caroline se laisse prendre au jeu. Elle attrape sa servante, qui se débat faiblement en riant. Elle la pousse sur le lit, s’accroupit à califourchon sur elle pour l’immobiliser, et dénude sa poitrine insolente. Elle ne peut résister à la tentation de s’emparer de ses seins magnifiques et de commencer à les masser. La soubrette ferme les yeux, et savoure sa victoire. Lorsque sa maîtresse lui effleure le bout des seins, tout son corps frémit de plaisir. Lorsqu’elle les fait rouler entre ses doigts et les étire pour les faire durcir, elle croit défaillir. Lorsqu’elle sent le bout de la langue de Caroline forcer ses lèvres, elle les entrouvre pour l’accueillir. Elles se font des langues, elles s’embrassent, se mordillent, mêlent leur salive.


Caroline se relève :


  • — Mais où est la lettre ?
  • — Peut-être est-elle tombée, peut-être est-elle descendue plus bas ?
  • — Décidément, tu es incorrigible.
  • — C’est le prix de votre curiosité. Allons, cherchez plus loin, et vous la trouverez.

Caroline lui relève les jupons. L’odeur chaude de son sexe est prenante. Elodie est excitée. Caroline résiste à l’envie de se pencher sur cette moule attirante, et s’empare de la lettre coincée sous la ceinture du jupon. Elle l’ouvre et la lit




Ma très chère Amie,


Comme vous me l’aviez demandé, j’ai reçu votre fille. Je n’ai pu résister à l’envie de pousser l’entretien plus avant. Votre fille est délicieuse. Vraiment. Vous vous méprenez sans doute sur son état d’innocence. Elle est certes encore jeune, et a le goût frais des fruits encore un peu verts. Mais elle a des aptitudes remarquables. Sans doute a-t-elle hérité de vous l’attrait pour les choses du sexe. C’est avec grand plaisir que je poursuivrai, si vous le souhaitez, son éducation.


Quant à votre servante, Elodie, elle est délicieusement vicieuse, et je ne peux m’empêcher de vous jalouser : vous avez là une perle à ne pas lâcher. Mais j’imagine que vous en faites vous-même bon usage, et que ses qualités n’ont plus de secrets pour vous.


Merci pour le merveilleux cadeau. J’ai hâte d’en expérimenter l’agrément. Me ferez-vous le plaisir de partager avec moi cette expérience ?



Votre dévouée et tendre amie.


Je vous rappelle que mon étalon est à votre disposition chaque fois que vous le jugez nécessaire.




Caroline replie la lettre et la remet dans l’enveloppe. Elle s’interroge sur le sens de la dernière phrase. Elle se doute que Mme de Marans n’évoque pas un cheval, mais plus vraisemblablement un homme bien membré. Son mari ? Son fils ? Un de ses domestiques ?

Elodie devance sa question :


  • — Vous vous demandez sans doute qui est cet étalon qui est évoqué à la fin de la lettre ?
  • — Tu le connais ?
  • — Je pense savoir de qui on parle…
  • — Qui est-ce ?
  • — Vous le découvrirez bien assez tôt. Mais, en parlant de cheval, voulez-vous que je vous montre quelque chose ? Venez, suivez-moi.

Elodie se libère, rajuste ses jupons et son corsage, et prend la main de Caroline. Elle la guide vers les écuries. La nuit est tombée. Les deux femmes avancent dans la pénombre. Caroline retrouve avec plaisir l’odeur de cuir mêlée à celle du foin et celle des chevaux. Elodie la mène dans le local de sellerie. Elle s’approche d’une selle posée sur un banc, la caresse. Elle chuchote à l’oreille de sa maîtresse :


  • — J’aime beaucoup cet endroit. Je trouve tous ces harnais, ces lanières, ces fouets, tout ce cuir très excitants. Regardez cette selle : n’est-ce pas un bel objet ?

Ce faisant, elle soulève ses jupes, enfourche la selle, et commence à onduler des hanches. Caroline s’écarte pour mieux la voir dans la demi-pénombre. Sa soubrette frotte son entrejambe sur le cuir luisant de la selle. Son souffle s’accélère, signe de son excitation. Sans lâcher ses jupes, qu’elle serre sous ses coudes, elle dénude sa poitrine, et prend ses seins. Sans dire un mot, elle offre à sa maîtresse le spectacle de son plaisir solitaire.


Excitée par la scène, Caroline soulève à son tour ses jupes, pour se toucher le sexe. À ce moment, on entend du bruit dans la cour, deux personnes qui parlent et s’approchent. Elodie fait signe de faire silence, se relève et entraîne Caroline dans le fond de l’écurie. Dissimulées dans le tas de foin, elles attendent. Elles voient alors, éclairés par la lueur d’une lanterne, le valet au sexe imposant et une femme que Caroline n’a pas encore vue pénétrer dans la sellerie. Comme dans un rituel bien rôdé, sans plus échanger un mot, l’homme accroche la lanterne à un clou, la femme laisse tomber ses vêtements à ses pieds. Caroline chuchote :


  • — Qui est-ce ?
  • — C’est le valet, celui que nous avons rencontré ce matin dans le couloir. Et elle, c’est Denise la lingère.
  • — On dirait qu’ils ont l’habitude de venir ici le soir.
  • — Oh oui, ils viennent très souvent.
  • — Et toi, tu viens souvent les observer ?
  • — Je trouve cela très excitant.
  • — Est-ce qu’ils vont faire l’amour ?
  • — Bien sûr, c’est pour cela qu’ils viennent, mais regardez plutôt, le spectacle en vaut la peine !

Caroline observe la lingère : Denise est un peu plus âgée que les deux jeunes filles, et a noué ses cheveux blonds en chignon. Elle a un corps plantureux. Sans être grasse, elle est musclée et massive, et son corps n’est que courbes et volumes. Sa peau est pâle, la lueur blafarde de la pleine lune accentue encore son blanc laiteux. Ses gros seins blancs sont couronnés de petits tétons roses. Elle pose ses deux mains contre le mur et semble attendre que son compagnon achève de se dévêtir. Sa position, appuyée au mur, les cuisses légèrement écartées, accentue la courbure de sa croupe ronde et ferme. Son compagnon est maintenant nu, et son sexe commence à se redresser. Denise l’implore :


  • — Dépêche-toi. Tu m’as trop excitée avec tes allusions salaces tout à l’heure. Depuis tantôt, je ne pense plus qu’à ça !
  • — Tu es excitée, hein, ma pouliche !
  • — Oui, j’ai envie que tu me baises, j’ai envie que tu me défonces. Viens.
  • — Montre-moi comme tu es excitée si tu veux que je te prenne.

Denise cambre les reins et ondule de la croupe, puis elle écarte les lèvres de son sexe.


  • — Regarde comme je mouille ! J’ai la moule qui dégouline . Et mon bouton est déjà tout gonflé. Viens, je t’en prie.
  • — Tu n’es pas honteuse, d’être excitée comme ça ? Est-ce que tu ne mérites pas une punition, de te mettre dans un état pareil ?
  • — Oui, punis-moi, tu sais que j’aime ça, fais ce que tu veux de moi, mais prends-moi vite.
  • — Tu te conduis comme une vraie jument en chaleur. Tu sais ce qu’on fait avec une jument ?
  • — Oui, mets-moi le licol, et le harnais.
  • — Je vais te dresser, comme tu le mérites.
  • — Oh, tu me tues.

Denise, le dos toujours cambré, se caresse la fente. Le valet se dirige vers le mur d’en face. Il s’empare d’un harnais. Il passe le mors entre les dents de la lingère, serre des liens dans sa nuque, sur sa tête et sous son menton. Ce genre de licol semble avoir été fabriqué à dessein, fait aux mesures de la lingère. Il s’empare d’un second harnais. Elle lève les bras pour lui faciliter la tâche. Il serre un collier à son cou, croise les liens de cuir entre ses gros seins, les fait passer sur ses hanches, sur ses reins, puis entre ses fesses, pour venir les rattacher par-devant sur ses hanches. Le harnais sangle parfaitement les formes plantureuses. Le cuir, sombre et luisant, tranche sur la peau claire. Le sexe du valet a maintenant atteint une taille impressionnante : gonflé et dressé, il semble tressauter d’excitation.


Serrée derrière sa servante, Caroline sent une main se glisser sous ses jupes à la recherche de son sexe. Les doigts n’ont aucune peine à se glisser dans sa fente poisseuse, et à trouver son bouton érigé. Elle relève les jupons d’Elodie, et lui caresse la croupe. La jeune soubrette cambre les reins et écarte les cuisses pour lui faciliter l’accès à son sexe humide.


Harnachée et sanglée, la lingère, toujours appuyée au mur, recule ses fesses pour essayer de se frotter contre le vit de son partenaire. Celui-ci la taquine en reculant, puis se saisit d’une cravache. Du bout de la cravache, il lui caresse le dos, le cul, l’intérieur des cuisses. Il la passe sur l’entrejambe, l’enfonce dans la raie des fesses. Denise s’affole. Lorsqu’elle fait mine de lâcher le mur pour se toucher les seins, il lui donne un petit coup de cravache sur la fesse. Puis il s’approche, prend son sexe en main, et lui effleure l’intérieur des cuisses du bout du gland. Plusieurs fois, ils répètent leur jeu : elle fait mine de quitter sa position, il lui donne un léger coup de cravache sur le dos, sur les seins ou sur le cul, puis il frotte son sexe entre ses cuisses ou entre ses fesses. Le manège semble plaire à la lingère, qui gémit sans vergogne en cambrant les reins. Le valet s’empare alors des rênes, et la force à se mettre à quatre pattes sur le sol. Il l’enjambe et s’assied à califourchon sur elle, sans lâcher les rênes. Excitée par le spectacle de cette femme plantureuse harnachée comme une pouliche et chevauchée par cet homme au sexe dressé, Caroline prend la main de sa soubrette et la force à caresser son bouton avec énergie. La lingère leur offre maintenant la vision de sa croupe, de sa vulve écartelée par les liens de cuir, de ses gros seins lourds qui balancent. Le valet tire sur les rênes, la force à rejeter la tête en arrière et cambrer encore davantage les reins. Elle gémit plus fort lorsqu’il commence à passer le bout du manche de la cravache entre ses fesses, puis entre les lèvres de son sexe. Lorsque le valet accentue l’intromission, le manche s’enfonce sans difficulté dans le sexe trempé. Il l’abandonne, fiché dans son sexe, il se relève et va s’accroupir devant le visage de la lingère qui le regarde avidement, comme pour lui communiquer par le regard l’envie qu’elle ne peut exprimer par des mots. Il se saisit de son pénis, et commence à se branler. Le mors empêche Denise de faire ce qu’elle voudrait : sucer ce magnifique phallus et l’enfoncer au fond de sa gorge : elle souffre de désir inassouvi. Le valet le sent, il prend un moment plaisir à lui passer son sexe sous le nez sans cesser de le branler. Mais pour lui aussi, le désir est le plus fort. Il lui enlève le mors. Aussitôt, Denise laisse s’exprimer ses désirs :


  • — Oui, laisse-moi sucer ta grosse queue. Donne-la-moi.
  • — Tiens, suce ! Tu m’excites, avec cette cravache enfoncée dans ta fente.
  • — Ouii, c’est bon. Tu sais que j’adore ça, hein ? Mais j’aime encore plus sentir ton gros chibre me dilater la chatte.
  • — Patience, tu sais bien que je vais te le mettre. Mais moi j’aime bien que tu me suces à fond.

Denise s’applique en engloutir le pénis imposant de son partenaire. Il est si gros qu’elle a mal à la mâchoire. Quand il s’enfonce au fond de sa gorge, elle peine à respirer et manque étouffer. D’une main, elle lui triture les testicules. Il semble apprécier la caresse. Elle s’enhardit à serrer les boules, à les malaxer, sans cesser ses mouvements de bouche sur le sexe dressé.


Le valet n’en peut plus. Il se relève, vient s’accroupir derrière elle. Il retire la cravache, et place son gland contre le sexe trempé. La lingère donne un grand coup de reins pour le faire pénétrer, et commence à ruer. Il la prend par la taille pour lui imprimer le rythme d’un coït intense, presque brutal. Ses grands coups de reins font trembler ses jolies fesses, font balancer presque violemment ses gros seins. Elle gémit, implore son partenaire :


  • — Oui, tu me défonces, tu me fends, tu me combles. Oh !
  • — Tu aimes ça, hein, mon gros sexe !
  • — Oui, j’aime ça, continue, empale-moi.
  • — Et mon doigt dans le cul, tu aimes cela aussi ?
  • — Oh, oui, viens, tu me tues. Oh mets-le-moi, oui, enfonce-le-moi.

Affolée, la lingère agite son cul pour mieux s’empaler sur le sexe du valet. Caroline est subjuguée par la vision de ses nichons opulents, qui s’agitent en rythme. Lorsque la lingère commence à se les caresser d’une main, et à en triturer les bouts, elle ne peut s’empêcher de l’imiter, et de commencer à se pincer elle-même le bout des seins, tandis qu’Elodie continue à lui branler le bouton avec énergie.


L’excitation est à son comble. Poussée à bout par les caresses de sa servante, Caroline ne peut retenir plus longtemps la vague de plaisir qui la submerge. Elle ne peut tout à fait réprimer un couinement de plaisir, mais heureusement le son est couvert par les rugissements étouffés de la lingère. Le couple semble s’être engagé dans une longue chevauchée. La lingère n’en peut plus de sentir en elle ce sexe énorme qui la pénètre, qui la laboure, qui la comble. Lorsque, son plaisir passé, Caroline pense à en donner à Elodie, elle n’est pas surprise de constater que sa servante n’a pas pu attendre ses caresses, et se masturbe. Lorsque sa maîtresse lui enfonce deux doigts, elle continue à se taquiner elle-même le bouton, et explose très rapidement.

En face d’elles, la lingère a commencé à jouir de chaque coup de boutoir. Les yeux révulsés, le corps tremblant, elle gémit sans s’interrompre, et de plus en plus fort. Le valet n’en peut plus lui non plus. Il sort son sexe, le prend dans sa main, et le branle sur les fesses de sa partenaire. Rapidement, plusieurs longs jets de semence jaillissent et se répandent sur la croupe et le dos de la lingère. Il finit par se raidir et s’écrouler sur elle.


Caroline et Elodie profitent de cet instant d’inattention du couple pour s’éclipser discrètement par derrière. Caroline est encore toute retournée et excitée par ce qu’elle vient de voir. À peine arrivée dans sa chambre, elle s’écroule sur son lit sans même se dévêtir, et sombre dans des rêves humides.

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Publié dans : Histoires - Par Z.
Mercredi 30 janvier 3 30 /01 /Jan 12:49

Pas vous ?

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Publié dans : Soumises - Par Z.
Mercredi 30 janvier 3 30 /01 /Jan 12:15

chais pas pourquoi, mais quand je vois mon ami David s'empetrer dans ses relations sentimentalo-admistratives , me reviens cette belle citation d'Enstein :

Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue."

 

 Fais comme moi, pratique le lacher prise, ca le fait.

Z.

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Publié dans : Présentation - Par Z.
Mercredi 30 janvier 3 30 /01 /Jan 11:33

Jeudi 31 Janvier

14h

Pantin

Nous recevrons la belle Izumi pour un scénario assez pointu.

Je vous invite à le lire :

 

"Je souhaiterai 8 hommes de type européen avec de beaux sexes. 

Je serai en lingerie sous mon manteau. J'aimerais que le gang-bang se passe dans un lieu glamour, luxueux ..... A mon arrivée, je serai accompagnée par mon mari qui participera aussi (à ne pas compter dans le 8 hommes, lol) Les hommes seront de préférence habillés élégants, genre sortie de bureau. On est attendu pour prendre un verre et on fait connaissance, puis ils commencent à me caresser, ensuite je les ferai  bander par groupe de trois : je serai assise sur une chaise ou un canapé : j'en suce un et je masturbe deux autres. Lorsque j'aurai sucé tous les hommes, ils commenceront à me baiser, d'abord en levrette, puis ensuite allongée sur une table ... Puis encore si possible. Si possible toujours, ils éviteront d'éjaculer en moi pour le faire un bukkaké final."
Ce scénario sera aisément réalisable.
hegre-style-08
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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Mardi 29 janvier 2 29 /01 /Jan 22:02

Le final, petite photo prise...

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Publié dans : Gang Bang - Par Z.
Lundi 28 janvier 1 28 /01 /Jan 13:52

Petite Bande Dessinée à lire d'une main :)

Z.

Cliquez sur la photo ci-dessous pour accéder à l'album

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Publié dans : Histoires - Par Z.

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  • : 03/01/2009

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